Je ressens son excitation, sa passion, son amour sincère. Ses hormones en ébullition, elle fixe le corps dénudé de Pete. Tous deux allongés dans le même lit s'observent, leur amour transi par une tendresse immense.

— C’était génial, Pete !

— C’est un honneur de t’avoir comblée, ma chérie.

— J’ai adoré ta langue…

Elle reprend un léger instant sa respiration.

— Le moment où tu m’as prise était encore meilleur.

La voix de Tatsuya est très sensuelle, tandis qu'elle caresse doucement la joue de Pete.

— J'aime tellement les traits ovales de ton visage encore juvéniles.

Pete fixe le regard de sa femme.

— Ton regard azur ajoute une touche unique à ton charme.

La sueur coule sur leurs visages joyeux, alors qu’ils s’enlacent en s’embrassant avec passion.

Ses baisers se sont améliorés, mais ses lèvres sont un peu sèches.

Après quelques longues secondes, ils rompent leur langoureux baiser.

Je devrais emprunter du baume à Aurélie pour régler ça.

Malgré son souffle haletant, Tatsuya laisse glisser sa main sur la literie encore chaude.

— Les draps sont vraiment sales, Pete !

— Ne t’en fais pas, je m’occuperai de les laver.

Pete laisse glisser sa main sur le bras de Tatsuya, remontant jusqu'à son épaule.

— Je suis très heureuse que tu sois devenu si doué.

— Je ferai n’importe quoi pour ton bonheur.

Tatsuya prend la main de Pete, puis la pose dans ses longs cheveux encore humides.

— Tu as vraiment transpiré, ça rend tes cheveux bruns encore plus beaux !

— Merci ! Cependant, j’ai mis du temps à te faire sortir du sexe traditionnel !

— Je suis désolé de ne pas avoir compris tes besoins plus tôt.

— Je suis heureuse que tu comprennes désormais, et tu sais que j’aime tes beaux iris ambrés.

Tatsuya glisse sa main dans les courts cheveux noirs de Pete, tout en fixant son regard.

— Tu sais que j’aime vraiment le sexe et j’apprécie les efforts que tu fais pour moi.

Elle l’embrasse délicatement, puis se redresse afin de s’asseoir au bord du lit.

— Mais on devrait s’habiller, c’est ça ?

Pete reste allongé, Tatsuya saisit un mouchoir sur la table de chevet, s’essuie l’entrejambe.

— Exact ! Henri ne va pas tarder, et s’il nous trouve tout nus, on va se faire gronder !

Elle se penche en avant, ramasse sa jupe courte…

Ses sensations s’effacent…

Depuis le regard de Pete, j'observe le tissu qui glisse sur ses jambes.

Ses longues jambes et son petit cul ferme sont juste parfaits.

— Pete, tu n’aurais pas vu ma culotte ?

Tatsuya s'exprime sans aucun trouble, tandis que son regard scrute le dortoir du poste de garde.

Le silence s'installe un court instant.

Elle récupère son soutien-gorge accroché sur l’un des supports d’armure.

Pete fixe sa poitrine pendant qu'elle l'enfile.

J’adore les petits seins de Tat, et aussi la façon dont elle ajuste les bonnets de son soutien-gorge.

Tatsuya ramasse son maillot au pied du lit, l'enfile… Le col échancré offre une vue plongeante.

— J’adore ce que je vois. Est-ce que tu cherches à m’exciter ?

Tatsuya ne prête pas attention aux propos, son regard continue de balayer la pièce.

Je ressens que cela frustre Pete.

D’un geste, il attrape la culotte au sol près de lui, puis l’agite entre deux doigts.

— C’est cette jolie culotte que tu m’as jetée au visage quand on a commencé que tu cherches ?

— Petit cochon insatiable ! Donne-moi ça.

Tatsuya avance sur le lit à quatre pattes, chevauche Pete pour récupérer la culotte d’une main.

— Tu m’offres une jolie vue plongeante là !

D’un geste sensuel et avec un regard provocateur, elle se relève au-dessus de lui.

Enfile lentement sa culotte.

Pete durcit au niveau de son entrejambe.

Je n’aime pas observer ce genre de scène, mais je n’ai pas le choix.

— J’adore ton regard provocateur ! Cependant, je croyais que tu préférais les noires ?

— En effet, mais c’est agréable de changer parfois.

— Impossible de rester calme avec une telle vision. Où l’as-tu prise ?

— Mizuki me l’a prêtée hier, tu te rappelles pourquoi la mienne était sale ?

— Bien sûr que je m’en souviens, tu t’en es servi pour…

— J’adore te voir rougir et durcir.

Tatsuya ne dit rien, observe…

— Que dirais-tu de le refaire, là, tout de suite ?

— Je suis partante !

Au moment où ils s’embrassent, les sens de Pete s’effacent…

Il m’est agréable de revenir à ceux de Mizuki.

J'ignore pourquoi, mais c'est elle que je préfère observer. C'est comme un lien, un souvenir, je ne peux pas le décrire, c'est vraiment un ressenti.