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Loulouttre
je me suis réveillée ce matin avec l’impression d’avoir dormi cent ans, mon amour dormait encore, je ne l’avais pas entendu se coucher hier soir…
Je n’avais pas envie de le réveiller, il dormait du sommel du juste. Alors, je me suis collé contre lui, et je me suis rendormie…
Puis, plus tard, nous nous sommes carréssés mais ni lui ni moi n’avions vraiment envie d’aller jusqu’au bout… qui des deux à eu la caresse de trop, le geste déplacé… toujours est il que nous avons franchi le Rubicon… J’ai franchie le Rubicon… véni, védi, Vici… il avait fiére allure mon gladiateur.
Aprés l’amour, j’avais envie de… rien ! J’étais en vacance, je me sentais encore en vacance, alors que je paressais sur le torse de mon héros… immobile, muette… prête à m’endormir de nouveau… pour me réveiller de nouveau et le caresser encore...et encore… j’étais folle de lui.
Il bougeat en premier, brisa le silence…
- Tu sais ce qu’il va se passser si on ne bouge pas
- Oui, je le sais !
- On va s’endormir à nouveau
- oui et alors
- se caresser à nouveau
- Oui quel mal y a t’il ?
- Faire l’amour à nouveau
- qu’y a t’il de génant à ça !
- Rien, gagnons du temps, faisons encore l’amour… tout de suite… et ensuite…
- il n’y eut pas d’ensuite… a midi nous n’étions toujours pas levés
Pendant que maman était dehors, j’ai pris ce qu’il fallait dans la cuisine… nous n’avions plus besoin de nous lever
vers les 14 Heures j’entendis toquer à la porte de la chambre… maman s’inquietais, une mére ça s’inquiéte toujours… je l’ai rassurée… je courru me blottir à nouveau contre mon héros, il était insatiable… je n’avais pas envie que ça s’arrete...mais nous avions faim, alors faute de vivre nous nous nous sommes rendus
Aprés le souper, pantagruesque… papa nous retins et oh ! Impensable, je ne croyait pas cela possible…
La porte de son bureau bunker s’ouvrit, j’eut droit à y rentrer.
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