Trop de femmes se font une fausse idée des hommes. Les considérant comme des salauds misogynes, des détraqués sexuels ou des pigeons à plumer, elles passent à côté de leur véritable nature.

Ces malheureuses ont souvent trop vécu parmi les oisifs vicieux au cœur intoxiqué, des impuissants en fait, qui recherchent dans de perpétuelles sensations sexuelles un remède à leur incapacité ; ou bien parmi ces petits bonhommes interchangeables à la vie étriquée et aux ambitions atrophiées, qui meurent comme ils vivent : sans le moindre bruit.

Les vrais hommes sont d'une autre espèce. Ils savent se passer des femmes, entité invisible puisque seule compte la leur. Ce qui leur tient lieu de passion, de volupté, c'est l'aventure, construire ou faire fructifier leur fortune, la découverte, le rêve et la route pour l'atteindre. Plus elle est sinueuse mieux l'apprécieront-ils puisqu'elle symbolisera le chemin parcouru. Pour certains, sachez qu'un combat peut occuper sens et cœur. La femme n'est alors qu'un surplus, agréable certes, mais qui ne détermine pas leur existence.

Trop de femmes se font une fausse idée des hommes. Et pour cause, ces portes-paroles ne sont pas des femmes mais des sous-produits féminins, des roturières de l'espèce qui tapinent sur le net et se mettent minables de troquets en troquets comme de vulgaires ouvriers.

Leurs tares s'accouplent alors à celles des sous-produits masculins, pour le pire et non le meilleur. De ghosting en chemsex, en passant par les week-end fastueux au camping et la mise bas d'un futur utilisateur Tinder naît la guerre des sexes ...

Et le néo-féminisme.