Tu veux faire quoi plus tard ?

Parvenir à aujourd’hui.

Le temps à l’envers (je pense) une ambition pratique pour construire la réalité – que je tente – d’une formule (cadavérique) aux relents mortuaires (mais quel but (à cet effet)?) de systématiser de vérité – ponctuelle – à la limite – des frontières – capsules (compter) sans digestion.

Cartographier le Makhine – il le fait – (ou tenter) une représentation dimensionnelle (je confesse) de ma détresse (je rencontre des obstacles (lorsque je) tellurisant quelques ambiguïtés) dont l’origine serait l’essai perpétuel – sans finalité.

Tatout – l’île.

Ma drogue tampon. Je pars loin. Et je me rappelle. L’ambition de la société humaine à son sujet. Amener une part de la population à sonder l’aérien. Contre toute forme de réalisme qu’ils prêchaient, l’autorisation de s’enfoncer vers le haut. Trop haut. Scindé.

J’ai pris mon choix comme un rail dont je n’étais pas l’aiguilleur. Qui est-il alors ? Une causalité m’impliquant mais me destituant du pouvoir. En partie. Puisque la volonté se dissout. Je meure de déterminisme. La science et ses pièges. Que je ne peux exprimer. De manière transparente. Entre deux points A et B. Géométriquement repéré dans la pensée. C’est là ma volonté de l’instant. Mais face à l’impossibilité.