Doux désir

5 minutes de lecture

Ma vie se résume en deux mots : Travail et maison.

Entre mon bureau et ma demeure, il y a une distance d'une heure. Pendant cette heure, je prends le temps de vider mon esprit et me remémore l'époque où j'étais célibataire. C'était l'époque où il n'y avait que ma femme et moi, bien avant les rencontres parents-école ou le manque d'intimité devenu une habitude.

Ce moment, où ma femme n'était pas constamment épuisée par le train-train quotidien de la vie. J'avais une magnifique jeune épouse au physique enviable, qui faisait tourner la tête et émoustillait tout homme croisant son chemin, moi y compris. Dès que je l'ai vue la première fois, j'ai su que c'était sur son joli visage que je voulais éjaculer tous les jours.

Je me rappelle encore nos nuits endiablées, de toutes les fois où j'ai l'ai empoignée par les cheveux, enrouler autour de mes poignets, en la sellant comme une jument, à quatre pattes, les jambes écartées et le dos courbé au plus bas du sol, pendant que je chevauche au sommet son joli petit cul blanc comme de la neige. mais c'était avant, avant l'arrivée des enfants et des responsabilités. Ce n'est pas que je n'aime pas ma famille, au contraire, ils sont ce que j'ai de plus précieux au monde. C'est juste que tout ce vacarme m'étourdit et ma femme, cette jolie blonde de naissance, aux yeux bleus qui autrefois faisait battre mon cœur à en perdre la raison, manque à ma vie.

Maintenant, c'est toujours le même refrain. Elle est en permanence épuisée ou peine a gardé les yeux ouverts quand je rentre du travail le soir. J'e ne peux me rappeler la dernière fois que j'ai ramoné sa chatte d'une main sur sa gorge et l'autre main sur son pubis, positionné derrière elle, en la faisant faire des va-et-vient sur ma queue. C'est à ce moment qu'elle crie mon nom. C'est comme une douce mélodie à mes oreilles qui pousse mes testicules à décharger à l'intérieur d'elle jusqu'à la dernière goute.

Je prenais ensuite plaisir à regarder sa chatte palpiter tout en expulsant ma semence, qui coulait au long de sa fente jusqu'à inonder son magnifique anus.

Maintenant, ma vie est une série de gestuel automatisé, programmer d'avance. Même les femmes au alentours, je ne les regarde plus. D'ailleurs, je suis tellement fatigué par mon boulot que j'ai peine à garder l'œil ouvert dans le train, sur le chemin de la maison et une fois à la maison, je me contente de me satisfaire sous la douche.

Tout ce foutre perdu alors que celle-ci aurait pu recouvrir son joli visage comme avant, quans notre relation était encore fraiche. La voir se lécher les babines de ma semence comme une chienne qui reçoit de la sauce sur le coin de la gueule.

-- Hmmm... Finalement, je vais la réveiller. Cette fois-ci, mes mains ne me suffiront plus.

Chance pour moi, en rentrant, les enfants étaient déjà au lit. À peine arrivé sur le seuil de la porte, ma graine était déjà au garde à vous, à sa pleine extension au point de me faire un mal de chien. J'ai de la difficulté à marcher, car chaque frottement dans mon pantalon, est comme la main d'une femme qui effleure mon paquet du bout de ses doigts sans réel intention d'aller plus loin. Comme une punition infligée parce que je lui ai mal léché la chatte. Le genre de punition qui me fait perdre le contrôle et me donne envie de mourir entre ses cuisses.

Je me suis alors dépêché d'aller sous la douche pour ensuite me glisser dans le lit conjugal où elle semblait endormie.

J'effleure le bas de son dos avec mes lèvres et le bout de ma langue chaude, elle me repousse en marmonnant qu'elle est trop fatiguée.

Je replique en la suppliant de me laisser gouter à sa fente humide ainsi me laisser introduire ma langue dans ses deux trous comme un chaton qui boit du lait chaud à la hâte, jusqu'à aspirer l'âme de sa moule.

Elle reste sur sa position: Non!

Je ne vais pas abandonner, alors je lui ai suggére de me tendre ses fesses en position cuillère tout en la promettant qu'elle n'aura aucun effort à faire. Juste me tendre sa pêche afin que mon membre se trace un chemin vers son tunnel humide, mais elle refusa.

Je l'a supplie de m'accorder que cinq minutes, mais elle reste sur son refus:

-- ''Non, je suis fatigué et je dois me réveiller tôt pour emmener notre fils à son rendez-vous médical''

Alors, je me tourne sur le dos, fixe le plafond en me demandant à quel moment ma vie est devenue si monotone, toute en espérant que la saucisse entre mes jambes se ramollisse, mais rien à faire.

Je n'arrive pas à dormir ni à débander. Je n'ai pas eu d'autre choix que de me mettre sur le dos, empoigner ma queue fermement à l'aide de mes deux mains, l'un au-dessus l'autre et pomper ma queue avec rage et envie de ne pouvoir toucher à cette femme qui est mienne, tout en fixant des yeux la courbure de son dos étaler sur le lit, à coté de moi.

Je l'imagine face à face assise sur moi, glisser lentement sur le long de ma queue, le bout de son sein dans ma bouche, mordillant son mamelon en la regardant dans les yeux, se tordre de plaisir et de douleur à la fois.

J'ai pompé ma verge si fort face à cette vision et avec une telle violence que mon sperme gicla à l'autre bout du lit, car si je n'avais pas vidé mes couilles engorgées de foutre à ce moment, j'aurais certainement perdu mes boules, qui se trouvait être bleuté dû à l'accumulation de sperme.

Il ne m'a fallu que d'une minute pour que tout gicle.

Ça n'a pas toujours été comme ça avec elle. Avant, c'était une femme qui aimait se faire posséder par tous les orifices. On m'avait dit qu'avoir des enfants ça changerait une vie, mais je n'imaginais pas que cela était autant significatif. Ce n'est pas une mauvaise chose en soi d'être focalisé sur les enfants bien sûr, mais parmi toutes ces responsabilités, je me suis perdu. Pourtant, Lydia m'avait promis que rien ne changerait. Qu'on serait toujours moi et elle dans notre petit monde une fois les enfants endormis. Maintenant, ce n'est qu'elle et les enfants.

Néanmoins, je suis un homme accompli professionnellement. Jeune entrepreneur de 36 ans, en 15 ans, j'ai construit un empire dans l'immobilier.

Parfois l'idée d'aller voir ailleurs me trotte dans l'esprit..

Annotations

Vous aimez lire Lynda Turnier ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0