Le manteau de fourrure rouge

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Marie Jo:

'' L'exposition de mon artiste à ma galerie d'art s'est déroulée avec succès, attirant l'élite du milieu artistique et des célébrités. Comme je le prévoyais, ma nouvelle artiste a fait ses débuts remarqués dans le monde de l'art. Cependant, j'avais sous-estimé la présence d'un certain Laurent à l'événement, une figure médiatique qui a failli voler la vedette. Malgré cela, sa présence s'est avérée fructueuse, avec un investissement de deux millions dans des œuvres d'art et des dons de toute sorte venant de Christopher Laurent et de sa femme Lydia.

Une légère contrariété s'est installée, notamment parce que je n'ai pas pu passer du temps avec ma fréquentation qui était présente. Quoi qu'il en soit, je retrouve Lydia ce soir autour d'un dîner, mêlant affaires professionnelles et discussions personnelles. Avant de la rejoindre, j'ai un petit détour à faire.''

Pendant ce temps du côté de Chris

Chris, submergé par sa lourde journée de travail, ne percevait pas le passage des heures ni le départ de tous les employés du bureau. Il faut dire aussi que son absence au bureau l'après-midi où il surveillait sa femme anfin de la surpprendre avec son amant a engendré une charge de travail considérable à rattraper, nécessitant des journées intensives dans les jours à venir. Comme on dit, «le temps, c'est de l'argent !» Sa femme le comprend, même si ce n'est pas exactement ce qu'il souhaitait. Il aurait préféré lui consacrer plus de temps, surtout sachant qu'un homme lui tourne autour et que Marie Jo, cette menace maintenant persistante, plane au-dessus de son mariage.

Son assistante Carolanne : Monsieur Laurent, je quitte. Avez-vous besoin de quelque chose ?

Chris : Quelle heure est-il ?

Carolanne : "Il est 19 heures. J'aurais pu rester plus longtemps, mais j'ai des projets pour ce soir. Si vous n'avez plus besoin de moi, je vais partir." dit la jeune femme pressée.

__"19 heures déjà !?" s'exclame Chris. "Je n'ai pas vu la journée passer. C'est parfait, Carolanne, je n'ai besoin de rien. Bonne soirée et sois prudente. Je vais fermer la boite."

Carolanne : Merci Monsieur Laurent. À demain.

Chris, contrarié de ne pas avoir réussi à joindre sa femme au téléphone, tombe sur sa boîte vocale. Immédiatement, son esprit se mit à imaginer des scénarios. Il ne cessait de se répéter de reprendre ses esprits. De toute façon, il se prépare à la fermeture, et il termine quand même plus tôt que d'habitude, car en temps normal, il ne rentre jamais avant minuit. Après avoir tout fermé, il se dirige vers le garage souterrain. Cette semaine, Chris prit la descision d'aller au travail en voiture par peur de tomber sur Marie Jo dans le train.

Alors qu'il s'approche de sa voiture, Chris remarque un imposant SUV de la marque Mercedes-Benz stationné à proximité. Conscient que le stationnement est privé et qu'il était le seul au bureau, tous ses sens se mirent en alerte. Avançant lentement, il sortit son porte-clés, équipé d'une matraque déployable d'au moins un mètre de long lorsqu'on appuie sur un bouton. Mentalement, il se prépare à toute éventualité, prêt à se défendre au besoin, déterminé à se battre pour sa vie. Soudain, la porte du SUV s'ouvrit et une femme en émergea. C'était Marie Jo, vêtue d'un imposant manteau de fourrure rouge qu'elle maintenait fermé entre ses mains. Ses talons aiguilles Louboutin résonnaient dans tout le parking alors qu'elle avançait vers moi avec une démarche à la fois sexy et provocante. Tellement irrésistible qu'elle aurait pu ressusciter un mort.

__"Marie Jo ?!" lança Chris d'une voix interrogative. "Que fais-tu ici ? Comment as-tu retracé mon lieu de travail ?"

Marie Jo : "Tu es un Laurent ! Il suffit de taper ton nom sur Google pour retrouver l'adresse de tes bureaux. Puis-je te parler ?"

__"Bien sûr," répondit Chris, le cœur battant la chamade. De toute façon, comment aurait-il pu refuser, compte tenu de la manière dont elle était arrivée.

Elle fit signe à son imposant garde du corps de rester en retrait, tandis qu'elle s'approchait davantage de Chris. Pendant ce temps, le colosse reculait pour attendre la jeune femme près de la voiture. La présence de cette femme était si imposante pour Chris qu'il avait l'impression d'avoir en face de lui une cheffe d'État. Son parfum enivrant continuait de balayer les cinq sens de l'homme marié.

__"Allons dans mon bureau," dit Chris en lui indiquant la direction d'un geste de la main.

Arrivée devant l'ascenseur, elle l'attrapa par le col et l'entraîna en direction des escaliers. Là, elle le pousse rudement dans les escaliers, le faisant trébucher en position assise sur une marche. Muet comme une taupe, il se sentait dépassé par les événements.

Marie Jo : "Tu pensais vraiment que je ne t'avais pas reconnu hier sale porc? " lui chuchote-t-elle en passant délicatement ses doigts le long de son visage.

__"Écoute, Marie Jo," commença Chris en tentant de retirer la main de la jeune femme de son visage, "tu es une femme extrêmement attirante. Cette fois dans le train restera gravée à jamais dans ma mémoire, mais je suis marié à Lydia, qui se trouve être ton amie."

Marie Jo : "Ce n'est pas ce que tu me disais lorsque ta langue naviguait de mon clitoris à mon anus, ou lorsque tu plongeais ta tête dans ma chatte au point de t'étouffer", répliqua la séduisante jeune femme d'un ton provocateur.

Chris rougit et embarrassé par les paroles de Marie Jo :

__"Je m'excuse. Ça n'aurait jamais dû aller aussi loin," répondit Chris en se relevant.

Elle le pousse à nouveau sur la marche en gardant son talon aiguille solidement ancré dans la chair de sa cuisse pour le dissuader d'essayer de se relever à nouveau.

Marie Jo : "Assieds-toi", dit-elle sévèrement.

Elle recule pour entrer dans le champ de vision de Chris et laisse tomber son superbe manteau de fourrure exotique, dévoilant une petite culotte rouge en dentelle, au bord aussi fin qu'un fil dentaire, associée à un porte-jarretelles orné de diamants de la même teinte, soutenu par des bas rouges translucides en dentelle. Le haut de son corps est complètement dénudé, exposant à Chris ses magnifiques seins en forme d'entonnoir, aux mamelons dressés comme des soldats au garde-à-vous.

Chris reste figé face à cette vue délicieuse. Son cerveau lui crie de se lever et de partir, mais sa verge avait déjà perdu la bataille, prête à décharger toutes ses munitions, et elle s'en aperçut. Chris sorti sa graine, la tenant entre ses main d'un air sévère en disant à Marie Jo:

__C'est ça que tu veux?

Elle le regarde droit dans les yeux.

Marie Jo : Oui, Laurent. Fais-moi payer mon insolence !! lui lance-t-elle fébrilement.

Elle n'eut pas besoin de le répéter deux fois. Chris fut pris d'une rage bestiale, d'abord parce qu'il avait si souvent imaginé ce moment depuis leur dernière rencontre, mais en plus, il n'arrivait plus à contrôler ses bas instincts. Il se relève alors brusquement, empoigne la jeune femme par la gorge, la plaque au mur, renifle son odeur tout en contemplant son corps comme une hyène détectant l'odeur de sa proie. Elle fixe Chris du regard sans dire un mot, se mordillant la lèvre inférieure, s'abandonnant totalement aux mains du jeune cadre immobilier. La soumission de Marie Jo face à son emprise alimente la bestialité de Christopher qui la retourne. Elle se positionne, les deux mains appuyées sur le mur, ramenant son postérieur rebondi vers lui.

Chris s'agenouille devant les fesses écartées de Marie Jo, prêt à lécher son anus et sa chatte. Les gémissements de Marie Jo s'intensifient à mesure que Chris s'active. Puis, se relevant, il courbe le dos de Marie Jo pour avoir un accès direct à son intimité. Positionné derrière elle, ses mains toujours appuyées sur le mur, il attrape l'un de ses seins pour s'y accrocher. Il la pénètre si profondément qu'il ne prend même pas le temps de vérifier dans quel orifice sa verge atterrit.

Marie Jo pousse alors un cri mêlant douleur et plaisir à l'unisson.

__Chuuut. Dis-t-il Christopher dépourvu de pitié, le destin a décidé que c'est à cette endroit que ma graine allait atterrir.

Il la baise si vigoureusement que le bruit de leurs peaux qui claquent résonne dans toute la cage d'escalier. Pendant que Chris massacre le trou de Marie Jo à l'aide de sa batte bien raide, d'une raideur jamais atteint à ce jour pour qui que ce soit, pas même pour sa femme.

Il lui chuchote alors :

__Tu veux ma bite, hein. C'est ça que tu es venu chercher ? Dis-moi que tu la veux !!

Marie Jo : ''Oui c'est ce que je veux''. C'est ce que je suis venu prendre! C'est tout ce que tu peux donner? muremure difficilement la jeune femme entre deux gémissement.

Ses mots vexèrent l'ego de Chris. Alors, il entoure sa taille fine de ses deux bras, la forçant à lâcher prise sur le mur, pour la ramener vers lui avec brutalité. Il déverse une pluie de baisers sur sa nuque et son épaule tout en continuant sauvagement à dominer son orifice.

Les gémissements de Marie Jo excitèrent tellement Chris, qu'il prit d'une envie irrépressible de décharger son foutre. Il la pousse alors rapidement au sol, face à lui, lui ordonnant d'ouvrir la bouche. Il se masturbe dans sa bouche jusqu'à ce que son éjaculation remplisse la gorge de la jolie jeune femme. Du coup, la séduisante femme, complètement nue, avale la semence de Chris sans en laisser échapper une goutte. À cette vue, l'excitation de Chris augmenta et sa graine se raidit de nouveau, il était prêt à lui ramoner l'entre-jambe pour un deuxième round.

Alors que Chris s'apprête à lui lécher un sein, le téléphone de Marie Jo sonne. Elle regarde l'écran, mais ne répond pas. La sonnerie du téléphone de Marie Jo suffit pour que Chris reprenne ses esprits. Il vérifie du même coup son téléphone, constatant trois appels manqués de Lydia. Marie Jo remet son manteau de fourrure, lance un sourire complice à Chris et s'en va. Perturbé, Chris sourit en retour, réalisant à quel point la situation était stupéfiante. Chris se retrouve seul dans l'escalier, reprenant lentement ses esprits après l'intense moment qu'il vient de vivre avec Marie Jo. Son cœur bat la chamade, son esprit est encore embrumé par l'excitation et la confusion. Il se demande ce qui s'est passé et comment il en est arrivé là.

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