la solitudes des proches

Une minute de lecture

Ne t’es-tu

jamais senti, toi, ce

va-nu-pieds que

tu es,

enveveli

sous un petit sentiment

profond et persistant que l’on

appelle la solitude des proches ?

De sincère à

touchante,

elle recouvre ta face

brune

et s’étire

sans en déployer

tous ses contours monstres qui

t’étreignent,

s’étendent de mal en pis

et t’anesthésient

sous son charme de

tes aises.

Véritablement

tu en

ressors

malade

toi,

l’homme

de mystère

derrière ton visage en

fin de vie.

On ne

reconnait

que

les travers

perfides et des habitudes

prises

au détour d’un désespoir

acharné

de ses coups.

Des petites manies

qui, derrière les autres, s’accumulant

te durcissent

dans l’errance des journées

sans fin

et

durent ainsi un temps d’échelle d’homme

insondable.

Oui, Mesdames,

la solitude détruit

celui qui le porte.

Votre conjoint, peut-être ?

Encore plus dans les tourments,

les viles maladies

viennent en usurper

sa place,

tes jours de

trépas

se rapprochant

pour raviver

de néant à néant

de béta à idiot

un dégout pour soi.

La solitude te tuera

si tu ne cueilles

dès aujourd’hui

les fleurs du matin

et son bouquet

si sympathiques

quand ils sont ainsi réunis

et parsemés dans un

jardin

qui ne se fane pas.

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