Essai d'une partie de go
J’étais là devant ce Goban ce jeu de bois de 361 cases. La partie démarrait, au début je ne pouvais sonder l’esprit de mon adversaire. Le début de jeu est similaire à tous, les coups du début sont toujours connus et répétitifs. Après on entre dans le chuban (le milieu de partie), c’est là qu'on commence la partie. Mon but est de gagner mon territoire tel un empereur cherchant à conquérir le maximum de terrain. Puis je vois que mon adversaire essaye d’envahir mon pays. Ses soldats sont envoyés seuls sans defénse est-il prêt à sacrifier ses hommes comme ça perdre des vies, des rêves, des familles… mais je vois que pour lui conquérir est si important, c’est vrai qu’à l’âge féodale le terrain est signe de richesse. Ses soldats se sont retrouvés coupés du monde à moi de les assassiner pourtant mon adversaire su installer un souffle de vie parmi ses soldats abandonnés. Mais c’est chez moi ! J’ai tellement investi, tout mon cœur est sur ce terrain vague entre colline et rivière je ne veux pas laisser mon territoire conquis. Mais pourtant mon adversaire chercha à faire vivre ses hommes. La bataille dure ; des soldats sont abandonnés morts aux combats. Après une bataille acharnée et beaucoup de sang versé, mon adversaire à réussi à construire une ville chez moi. Mais après la bataille sanguinaire dans laquelle une cité a été construite chez moi. Le siège autour de sa ville me permis de conquérir tous les champs alentours. C’est là que je compris, le défaut de mon adversaire est sa cupidité. Je gagnais la partie j’ai aperçu chez lui plus que son visage, plus que ses pensées mais une partie de son âme ... perfide sa cupidité maladive.
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