• Non mais c’est quoi encore cette note, tu es vraiment un imbécile de première.
• Ho va te faire foutre, en quoi ça te regarde ?
• Tes sérieux ? Enfin bon je m’en fiche de tes notes je n’ai tout simplement pas envie qu’on me pointe du doigt pour dire que tes un incapable même si tu en est un

Toujours et encore le même discours depuis la 6eme, les parents ont toujours voulue à ce que Paul est le meilleur note pour faire de bonne figure. Alors que le jeune adolescent n’en avait rien à faire des remarques, il est parti se réfugier dans la chambre.

Casque sur les oreilles, la musique a font. Paul s’est mis à dessiner sur le bureau qui était plutôt bien ranger. L’heure de manger arriva rapidement et Paul ne fais pas attention à l’heure ni au cri de Dimitri qui l’appela en bas des escaliers. Toujours concentré sur le dessin, Paul n’entendit pas la porte s’ouvrir et s’entait quelqu’un le prendre par les cheveux.

Trainer au sol en tirant par les cheveux, il ne c comprenait pas ce qui se passe mais impossible de faire quoi que ce soit. Arrivée devant les escaliers le père s’arrêta et le regarda dans les yeux

• Quand on t’appelle tu rapplique est-ce clair ?
• Oui

A ce moment-là il s’avait qu’il ne pouvait pas répondre à son géniteur qui avait les yeux furieux et a tout moment il pouvait être frapper.

• Pour la peine tu ne dormiras sans manger, tu prendras ta douche à l’eau froide et tu présentes tes excuses auprès de ta mère pour tout à l’heure

En regardant dans les yeux il sentit la rage qui dégager de son père, des frissons parcourus dans le corps de Paul rien ne présage de bon. Alors que le blond détourna la tête pour échapper au regard de son père. Celui-ci en profitait de le pousser dans les escaliers. Dégringolant les escalier Paul atterrie sur le ventre sur les marches et le visage contre le sol, larmes aux yeux mais évitait de montrer ses émotions même si ce n’est pas évidant de cacher les émotions actuelles. Il ne voulait pas montrer ses faiblesses devant les parents car les géniteurs les exploiteraient pour lui faire du mal

• Il me semble que je t’ai demandé quelque que choses ?

L’adolescent ne voulait absolument pas s’excuser auprès de sa mère, Mais s’il ne le faisait les conséquences serons grave.

A peine fini la conversation, Paul se retournait pour aller dans sa chambre

• La prochaine fois que tu me réponds encore comme ça et c’est la cave sans manger pendant une journée.

Pas émotion, aucune parole ni même un hochement de la tête que Paul remonta les escaliers tranquillement sans faire de bruits. Les parents sont toujours aussi durs quand il n’y a pas d’amis à la maison. La priorité des parents était de faire les parents model et faire en sorte de Paul soit le meilleur à l’école.

Ayant pris des affaires pour la nuit Paul se dirigea vers la salle de bain et entra sans fermer la porte à clef puis déposa les affaires. En se déshabillant l’adolescent se regarda dans le miroir et remarqua de nouveau bleu apparaitre sur le torse alors que d’autre disparaisse petit à petit.

L’eau était tellement gelée, qu’il était limite de se mettre en dessous. Il dû s'y mettre plusieurs fois pour pouvoir y entrer. La seule façon de rentrer sous l’eau et de pouvoir se laver était de rentrer sans poser de question. Alors qu’il se lever, il s’entait un frisson, un danger imminant, en se retournant il aperçut son père derrière lui entrain de l’observé et il était nue. A ce moment l’adolescent prit conscience que c’était le début du cauchemar.

Il avait les yeux écarquillés, et prêt à crier mais Dimitri lui empêcha en lui couvrant la bouche et l’autre main parcourait le corps qui atterrie sur l’intimité du jeune adolescent. Le géniteur pris le pénis en main et fit des va et vient plus ou moins vite, la larme coula le long des joues, il savait que dans c’est moment-là il ne pouvait rien faire à part se laisser faire. Paul se mis à pleurer ne sachant plus quoi faire à part se laisser faire. Il avait horreur quand son père lui faisait ce genre de chose monstrueux. L’acte dura quelque encore quelque minute.

Dimitri eu ce qu’il voulait et repartit comme si de rien était, Paul était anéanti et se laissa tomber dans la douche et pleura à chaud l’arme tour en faisant attention à ce qu’on ne l’entende pas. La faim était là malgré elle, mais impossible d’aller chercher de quoi manger dans la nuit à cause des caméras installées dans la cuisine comme pour la chambre. Les parents aimer espionner leur fils surtout le père qui fantasmé sur l’adolescent nue.

Paul s’habilla et descendit les escaliers pour rejoindre la cuisine qui était ouvert sur toute la maison. En se dirigeant vers les placards du haut pour se prendre un verre, la mère le stoppa dans son élan.

• Qui ta autorisé à venir ici ? Dit-elle avec les bras croiser
• Je voulais juste me prendre un verre d’eau et après je remonte dans ma chambre
• Tu as le droit qu’un seul verre et tu me feras prier aller aux toilettes avant d’aller au lit et pars la même occasion quand je rentrerais dans ta chambre demain matin, je veux que tu sois réveillé.

Il hocha la tête et buvais son verre pour ensuite remonter dans la chambre tout en restant discret. La chambre était plutôt sobre mais peu de chose dedans, juste le nécessaire, mais avant de rentré dans celle-ci il allait aux toilettes.

Sur les coups de 6 heures du matin, la lumière s’alluma dans la chambre et un air frais rentra dans celle-ci. Reconvié sur lui-même, Paul frissonna et ne bouger plus mais un seul coup la couverture s’enleva et réalisa que sa mère était devant lui avec son visage colérique. Habituellement Paul se leva avant qu’elle arrive dans la chambre, s’il ne se réveiller en retard il se dépêchait de se préparer avant l’arrivée de sa mère mais ce matin-là il n'avait pas entendu son réveille sonner.

• Tu comptes te lever quand le pisseux ? Tu as intérêt de te laver
• J’y vais tout de suite à la douche
• Pas de changement de draps ce matin, ils vont finir par se sécher

Paul se leva rapidement et partit à la douche comme l’avait demandé sa mère. Il faisait meilleur dans la salle de bain mais rapidement Paul allait se refroidir à cause de l’eau froids qui coulera sur le corps. Une fois que la douche est finie, il se prépara pour le Lycée et partit directement comme il n’avait pas le droit de manger le matin, a vrais dire, beaucoup de chose qu’il n’avait pas le droit.

L’aire était encore fraîche et le vent soufflé beaucoup, Paul croisait quelque voiture qui allait au travail ou qui finissent pour aller se coucher. Arrivé à l’arrêt bus, Paul remarqua que le bus n’était pas arrivé et une éclaire éclata pour s’enchaîner avec un torrent de pluie. Il était trempé.

Le bus arriva 1 heure de retard, ce qui fait qu’il devait aller à la vie scolaire qui se pris aussi 2 heures de colles pour le mercredi après-midi.

A l’heure de la pause Paul rejoignit son meilleur ami depuis toujours et discuta de la fête qui se déroulera vendredi soir après les courts.

• Je crois que je vais me la faire Lucie ! En plus j’ai occasion en or pour me la farcir !
• Tu en as pas marre de te taper plein gens ? Si ça continue tu vas te taper tout le monde
• Mais mec, Tu ne peux pas comprendre l’extase que ça me procure de coucher avec une personne ?
• Ouais enfin chaque week-end tu changes de personnes et en plus tu fais des partouses.
• Et alors ? Franchement je ne vois pas où est le mal ? Et peut-être un jour tu voudras le faire av…
• Même pas en rêve, Fais ce qui te chante mais vient pas te plaindre que tu es des problèmes ou quoi que ce soit. Aller sa viens de sonner, on a sport aujourd’hui
• Tu plaisante ? Putain je n’ai pas mes affaires de sport
• T’inquiète je te prête des affaires de sport en revanche ça va être trop grand pour toi

Les garçons allaient à leur salle de classe pour attendre le professeur qui rentra quelque minute et fit l’appel. La salle de sport était au fond de la cour, alors les élèves la traversèrent tout en discutant bruyamment et se changeais au vestiaire.

Paul se mettait toujours à la même place, la place dont il était sûr qu’il allait être le moins vu des autres en plus le vestiaire était assez grand pour accueillir tous les garçons sans se marchait dessus. En sortant de des vestiaires, Le professeur interpella Paul pour sa tenue de sport qui était largement trop grand pour lui.