Chapitre 4

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Un lendemain de soirée est toujours dur a assumé surtout pour les garçons qui but beaucoup dans la soirée et avoir fait des mélanges d’alcool. Il avait tout de même le visage fatigué et gueule de bois. Max qui passait dans le salon leur faisait la réflexion.

  • Franchement les gars vous avez une tête de zombi, qu’est-ce qui vous a pris de boire autant et puis il m'a semblé que sans alcool ? 
  • Ho papa on n'était pas aussi déchiré que tu penses et puis il faut bien qu’on s’amuse
  • A ouais, qu’est-ce que tu penses le fait que tu te sois endormie dans la voiture et que tu ne te réveiller pas, que j’ai même dû te porter comme si tu étais un gamin et toi Paul qui a vomis plusieurs fois sur toi et qui ne réagissait pas quand on te parler ou même que Sophia à du te laver 
  • Mais j’étais fatiguée…
  • Nan Paul, il n'y a pas que la fatigue, on t’a retrouvé nu dans le canapé Et cette nuit, tu as fait que de bouger et parler dans ton sommeille.

Tout penaud les adolescents ne parlaient plus et contenta de baisser la tête, il avait tout de même honte de ce qu’ils ont fait. Même s’il avait honte auprès des adultes, il se sont amusé à leur façon. En tout cas la discussion ne les arrêtera pas pour faire des soirées comme celle-ci, d’ailleurs un de leur amis majeur organisera un barbecue sauvage dans la foret prêt un lac, il attendait cela avec patience.

  • Enfin bon, en tout vous êtes interdis d’aller en soirée pendant un mois et je veux savoir où vous allez même si c’est l’épicerie
  • D’accord papa 
  • Depuis le réveille Paul eu mal à la tête depuis son réveille mais n’en parler à personne. Il n'aimait pas se plaindre et ne pouvait tout simplement pas. On lui à inculte depuis tout petit qu’un homme ne se plaint pas et doit être fort. Il fermait de temps en temps les yeux tout en plissant les yeux en espérant que la douleur soit moins forte mais la douleur est toujours là. Sophia qui passait dans le salon pour prévenir que le repas était prêt, elle remarquait que Paul avait des douleurs quelque part.
  • Paul tu as mal quelque part ?
  • Non, non c’est bon

Sophia s’avait très bien que sa servait à rien insister ou quoi que ce soit.

Le repas fini, les garçons montait dans la chambre pour jouer à la PS4 qui est dans la chambre de Léon. A vrais dire la chambre ressemblais plus a une salle activité qu’a une chambre mais il l’adorait. Pour les parents il était hors de question de mettre la console dans le salon. Assis sur le sol, les garçons allumer la télé et la console pour commençait à jouer dans la bonne humeur.

  • On se fait une partit en championnat et après on se fait un d
  • J'espère que tu plaisante ? Tu es vraiment nul en duo mais bon je vais y réfléchir

La partit venait tout juste de commencer, les garçons commençaient à se crier dessus. La tension était là, Paul commençais à s’énerver parce qu'il arriver pas attraper sa proie devant lui.

  • MAIS MERDE TU FAIS CHIER, DEGAGE 
  • Certainement pas, c’est ma proie alors on dégage d’ici

Pris de rage, les garçons oublie leur partit qu’il pause leur mannette sur le sol et attrapa le tee-shirt de l’un de l’autre. Chacun leurs tours il se frapper en se donnant des coups de poing. Ni l’un, ni l'autre s’avait pourquoi ils réagissaient comme cela.

  • Mais tes un connard Paul 
  • Non mais c’est l’hôpital qui se paye de la charité, tu es vraiment stupide

Alors que les garçons se battait, la porte s’ouvrit au volet sur max. Il sépara les adolescents et débrancha la console.

  • Vous vous voulez que je vous aide ? Qu’est-ce qui se passe dans vos têtes pour vous battre et hurler dans la maison.

La tête basse, tout penaud les garçons s'excusèrent.

  • Faite donc vau de devoir, sa évitera de vous battre et après occupez-vous autre chose que la console  
  • On va les faire 

Ayant peur de se faire remonter les bretelles qu'il ne discuta pas pour les devoirs alors ils s’installaient sur la table de salon avec les affaires d’écoles. A peine commencé que Léon se plaignait qu’il ne comprenait pas à l'exercice de physique et encore moins les mathématiques. Il ne comprenait pas pourquoi on mélange les chiffres et les lettres surtout que ça ne sert strict à rien selon lui.

  • Arrêt de râler, ce n’est pas compliqué lui dit Paul avec agacement
  • Ouais bah moi je ne suis pas un génie comme toi
  • Mais regarde, si tu multiples sa part x et que tu divise ça te fait un total de 1 
  • Je n’ai rien pigé mais tant pis, d'ailleurs je ne suis pas un génie et loin de là

Ayant fini depuis longtemps et avoir avancé les devoir de la semaine prochaine. Il préférait prendre de l’avance sachant qu’il ne savait pas s’il allait pouvoir travailler avec les parents dans le coin quand il rentrera.

Ne savant plus quoi faire, les garçons décida jouer au jeu de société et demanda à max de jouer avec eux. Le père de famille aime jouer au jeu, c’est même une passion, alors quand les adolescents lui demandaient il n'allait pas refusait. Les partis de Uno s’enchainent et Paul perdit presque toute les partit. Il faisait bien comprendre qu’il n'aimait pas perdre et au bout un moment il laissa tomber et en crient

  • C'est bon je laisse tomber en plus vous tricher, on se fait un Monopoly
  • Ho le perdant veut changer de jeux, bon aller on y va
  • Mais non ce n’est pas vrais, de toute façon je vais vous éclater
  • Attention à ton langage jeune homme

A peine la partit commençait, Paul acheta plusieurs terrains et une prison. Père et fils se regardait dans les yeux et se compris tout de suite leur stratégie qu’avait ensemble et se mette à collabore. Les partit s’enchaine et Paul râler de plus en plus.

  • Bande de traite, se mettre à 2 contre 1 c’est déloyal
  • Ho non on appel sa une collaboration, on va te ruiner

Au final c’est Max qui gagnait et Paul qui perdait, frustrer il croisa les bras et bouda tout le monde jusqu'à Sophia appela tout le monde pour manger. En arrivant dans la cuisine, Paul sentit l’odeur qu’il détester, il se mit à faire une grimace rien qu’en sentent l’odeur. Léon rigolait sans se cacher. En voyant les plats arriver, il confirmait qu’il n'allait pas aimer donc rien manger. Pris de dégout et regardait Sophia avec une tête de pitié :

  • Je n’aime pas le poisson et encore moins les carottes 
  • Goûte un peu, je suis sûr que tu vas aimer
  • Non, je n’aime pas ça 

Résigné à goûter, il prit sa fourchette et goûta un petit morceau puis recracha avec dégoût. Toute la famille se mit à rire à cause de la tête qu’il venait de faire. Sophia pris du jambon et des pâtes qui rester dans le frigo et donna le jambon et mis les pâtes dans micro-onde. Tous mangeaient tranquillement et les parents demanda aux adolescents débarrasser la table avant aller regarder la télé dans la chambre de Léon. Le film est lancé sur la télé et les garçons bien calé sur le lit et regarder le film. Léon agacé que Paul parle tout le temps, pour lui faire comprendre il mit une main sur la bouche et un doigt sur ces lèvres pour lui montrer de se taire. 

  • Mais tu n'es pas bien, tu veux m’étouffer ? 
  • Ferme-la, tu arrêt pas de causer, ça te dit de faire du vélo à la place du film ? 
  • Yep, je vais mettre les baskets

Tellement impatient de la proposition, Paul se mit à courir dans la maison. A vrais dire quand il est chez ses parents, il n'a pas forcément le droit de sortir même si la plupart du temps il fugue la maison. Les parents sont assez stricts avec leur fils enfin sa c’est ce que les parents montrent. Paul faisait tout de même attention au jour où il peut sortir ou pas sinon les conséquences sont graves pour lui.

Max qui regardait la télévision sur le canapé du salon, entendit du bruit dans les escaliers et en observant les deux adolescents, il voie Paul courir dans les escaliers et aller mettre les chaussures tout en criant à son meilleur ami

  • Paul on ne court pas dans la maison et encore moins dans les escaliers à moins que tu veuilles faire un séjour à l’hôpital.

Les chaussures au pied prêt à sortir, Paul se mit à crier en bas des escaliers, pour dépêcher son meilleur ami. Agacer de la situation Maxime pris Paul par le bras et l’assis le canapé de force. Pas très enchanté de la décision de Maxime, Paul se met debout pour partir.

  • Tu restes ici jusqu’à je t’autorise de partir, il me se semble que je t’ai dit de ne pas courir ?
  • Oui je sais, mais il faut partir maintenant, profiter du beau temps
  • Je suis d'accord mais est-ce une raison de courir et de crier dans la maison ?
  • Non

Il gonfla les joues pour montrer qu’il était soulé, il n'aimait pas être sermonnait par un adulte, enfin comme chaque enfant qu’il soit jeune ou un peu plus vieux. Il resta tout de même tranquille sur le canapé en guettant les escaliers. Paul est un adolescent qui a besoins de bouger, d'ailleurs chaque personne connaissant Paul, savait qu’il ne tenait jamais longtemps assis à san rien faire même quand il regarde la télévision il devait toujours s’occuper, que ça soit les dessins ou même être sur le portable. Les parent aimer pas cet aspect de leur fils, en même temps c’est pas comme s’il l’aimait comme leur fils !

Léon descendit les escaliers et se dirigeait vers la sortit de la maison. Maxime autorisa Paul de rejoindre son fils en espèrent qu’il soit un moins énergique en revenant à la maison.

Les garçons arrivèrent au parc, apercevant des pré-adolescent au loin d’eu qui faisait du sket. Rien de plus normal dans un parc. Mais en les voyant ça ne les enchanter pas de les voir ici, pour eux les jeunes adolescents sont juste des gamins qui font joue-joue, alors qu'eux il s’entraine à faire des figures comme des athlètes alors qu’aucun d’eux fait de la compétition.

Pas un mot, pas un regard, il se comprenait comme des jumeaux. Il s’avançait sur la piste et commençais à intimider les deux amis qui était là avant et qu’il ne faisait aucun mal. La piste était assez grande pour tout le monde mais non, Léon et Paul avait décidait autrement. Paul faisait tout pour les faire partir, leur frapper, les insultes et plein autre chose. Au bout de quelque minutes les jeunes garçons partit du parc.

Content d’avoir pu les faire partir, il se mit à danser leur victoire et enchainais les figures sur la piste. Paul tombait régulièrement et Léon riait et se moquait de son ami. Prêt à s’élancé, Paul se sentit propulsait dans les airs et tomba sur son épaule droite et entendu un craquement. Le jeune garçon se mit à hurlait de toute ces forces et tenait son épaule qui lui faisait souffrir.

Léon qui entendu son ami, il se mit à courir de toute ses forces. Choqué de la situation, Léon regardait autour de lui et observait un groupe de personne plus âgé plus qu’eux. Le plus urgent est appeler les pompiers et c’est ce qu’il fit. En expliquant la situation au téléphone Paul crier de douleur et Léon pleurait au téléphone.

Environ 15 minutes les pompiers sont arrivait sur place et posait des questions au jeunes. Léon ne savait pas quoi leur réponde étant donné qu’il n'avait pas vue la scène de ces propres yeux. Quant à Paul avait du mal à d’écrire ce qu’il c'est passer comme sa était rapide et puis il était sous le choc. Paul sur une civière avec, les pompiers le transportait dans le camion et Léon montait aussi. Sur le chemin Léon appelait sa mère pour expliquer la situation.

Arrivait à l’hôpital, les pompiers annoncer au médecin l'état du patient et ce qu’il c’est passer. Pris en charge par les médecins et les infirmières du service, il l’emmena dans une chambre pour l’auscultait. Alors que les soignants le pris en charge et prêt à couper le tee-shirt pour regardait la blessure mais aussi lui faire passer des radios, des scanners. Prêt à découper le tee-shirt, Paul se mit hurler sur le personnelle.

  • Il est hors de question à ce que vous me toucher et encore moins le bras sinon je vous butte Est-ce clair ?
  • Jeune homme on est là pour vous soigner et calmez-vous

Paul avait pas du tout confiance envers les soignants et il ne voulait pas être soigné. Il se débattit comme il put même si la douleur du bras était intense. Insulter, leur cria dessue. Personne n'arrivait à le calmer et le médecin donna l’ordre de lui donner un calmant. Au bout de quelque seconde, Paul se calmait et s’endormit, à ce moment les soignait pouvait le soigner sans lui faire mais aussi ne pas être blesser par Paul.

Les parents de Léon attendaient dans la salle d’attente, il trouvait hyper long sachant que personnes est venu pour donnait des nouvelles de l’adolescent. Inquiet de la situation, Maxime demandait souvent à l’accueille des nouvelles ou du moins le voire mais aucune réponse. Alors que toute la famille était assise, le médecin arrive et les appela pour se dirigeait dans son bureau qui n'était pas loin de l’accueille.

  • Je ne suis pas sensé vous en parler mais vue que les parents ne sont là, je vais vous expliquai ce qu’il a. Après avoir passé des radios, scanner et soigner toutes les blessures sur le corps, Monsieur Travier à une luxation de l’épaule ainsi l’épaule déboité qui a était remis en place, en le soignait la personne avait remarqué des bleus sur le corps et certain sont très impressionnant
  • Ho et bien Paul est un adolescent qui se bat beaucoup au lycée et un peu cascou quand il fait du vélo, c’est pour cela qu’il a beaucoup de bleu
  • Je vois en tout cas nous le gardons pour cette nuit en observation et si tout va bien demain il pourra sortir.

La mère de famille la remercie et se dirigea dans la chambre suivit le reste de la famille. En rentrant dans la chambre Paul se stoppa et regardait son meilleur ami allonger sur le lit, les yeux rouges, une attelle au pied gauche et une attelle qui maintenait son épaule. 

  • Salut mec
  • Et mec, 

Aucun des garçons savait quoi dire en présence des parents alors il se regardait dans les yeux pour au final se mettre à rigoler. Ne comprenant pas les parents demandait ce qui se passer parce qu’il n'y avait rien pour rire de la situation. Tout le monde discutait de tout et de rien mais surtout de l’accident et demander des novelles, bien entendu Paul resta fidèle à lui-même et disait que tout aller bien alors qu’il avait mal à l’épaule mais aussi à la cheville. L’heure passait très vite et ils étaient l'heure des visites de partir alors ils se disent au revoir et Partit  

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