L’AMOUR serait une fiction qui sort la vie du continuum plat du temps et la propulse en geyser vers les champs phlégréens de la création de chaque instant.

LA MORT serait un contre-état, l’âge post-punk de toute existence, l’inacceptable anti-énergie qui nous révolte, l’inexorable silence qui nous emporte dans les trous noirs, là où Dieu chuchote aux neutrinos de bien garder leurs incommensurables secrets.

LA VIE serait une suite de contrats que nous ne négocions jamais avec des collaborateurs hasardeux et si nous avons de la chance, ils nous seront bienveillants.