Les correcteurs ça bosse dans l'édition et dans la presse.

En général c'est plutôt, gris, raide mais honête, métier oblige !

Rigueur, précision, conseils de réecriture sont au service de l'oeuvre.

Celui, qui comme Le Bougeois Gentlihomme se pique de savoir

alors qu'il n'en n'est pas, sera la risé de la plateforme

surtout s'il frène l'élan créatif, c'est comme, on le déclarait

au grand siècle, crime de lèse majestée !

Car oui, la grandeur est dans l'inspiration nullement dans l'imitation.

Messieurs les tristes donneurs de conseils,

vous nous casser les pieds ou plutôt les ailes et vous n'avez pas le droit

car vous ne nous publierez pas.

Arrêtez de vouloir nous mettre en situation professionnelle

alors que vous n'y connaissez rien.

Un artiste ça se soigne, se bichonne, se papouille.

On l'encourage, le protège, le câline.

On lui fait un café, une tizane, un coussin dans le dos.

Arrêtez parce que tout ce qui ressort à travers vos pseudos exploits gramaticaux

c'est la méchanceté de votre instit de CP !