Caprices, câlins et coin : les 10 commandements
1. Quand je dis non, c’est NON.
Et non, ça ne devient pas “oui” à la troisième tentative de négociation avec des yeux de chaton de Shrek.
2. Un caprice = une conséquence.
Le verre est renversé volontairement ? Tu nettoies. Tu fais un scandale ? Direction la chambre. C’est pas l’hôtel ici, c’est l’école de la vie.
3. Le coin n’est pas une humiliation, c’est un stage intensif de méditation forcée.
Version mini-Zen : tu réfléchis, tu respires, tu reviens calmé (normalement ^^').
4. Lever la main sur maman ?
Interdit. Ligne rouge. Une petite tape symbolique pour te rappeler que je suis ton parent, pas ton punching-ball.
5. Je ne sors pas de la pièce pour ton caprice.
C’est toi qui vas réfléchir dans ta chambre. Et non, la chambre n’est pas une boîte de nuit, donc pas de fête improvisée là-dedans.
6. Un enfant n’est pas le chef de la maison.
Spoiler : le frigo, la télécommande et l’emploi du temps ne t’appartiennent pas. Ici, c’est papa/maman les boss (gentils, mais boss quand même).
7. Le ton peut monter.
Si au bout de trois fois tu n’écoutes pas, la quatrième sera version Dolby Surround 7.1. Tu ne pourras pas dire que tu n’as pas entendu.
8. L’amour est inconditionnel, les câlins reviennent toujours.
Mais d’abord, on règle la bêtise. Les bisous, c’est après la tempête, pas pendant le scandale.
9. Les responsabilités, ça s’apprend jeune.
Tu salis, tu nettoies. Tu déranges, tu ranges. Tu joues, tu assumes. Bref, bienvenue dans la vie réelle.
10. Je suis ton parent, pas ton colocataire.
Je t’aime plus que tout, mais je ne vis pas sous ta dictature. Tu m’appelles “maman/papa”, pas “mon esclave personnel”.
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