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Chapitre Quatre : Le passé tumultueux de Lyvain


« Il fut un temps ou la vérité avait rendu ce monde en paix, mes parents furent l’un d’eux.

J’étais petit, ils m’aimaient, jusqu’au divorce, la dispute les sépara.

Des années je pleurai sans m’arrêter jusqu’à mon beau père ou la relation fut très sévère et je l’aimais pas, c’est un membre des devoirs.

À quinze ans, je voulais le tuer.

À seize ans, pour moi, ma destinée était d’être désigné dans la faction vérité.

Mon beau père était très secret et malhonnête.

Il m’avait mal traité, j’avais hâte de partir et accomplir ma quête ultime ; protège la société et retrouver mes parents.

Pourquoi être dans la faction bonheur ?

On m’a forcé, du moins la société, y a pour moi trois grands qui dirigent : Le travail, le devoir et la société. »

« Mais tu ... »

« Oui, je veux sauver notre société, ils nous dirigent ! »

« Ce sont les lois de la nature. »

« Combien de révoltes ont eu lieux en plus de mille ans ? »

Puis une femme de trente trois ans avec des cheveux bleus, arriva derrière lui et l’assomma.

Lyvain fut prisonnier. Il leva ses paupières.

« Ou suis-je ? »

Un garde l’observa.

« Tu es une pourriture de la société ! »

« Qui m’a bouclé mes mains ? »

Le garde l’arrosa d’eau fraîche.

Une femme avança et montra un collier.

« J’ai perdu mes parents moi aussi. »

« ça nous fait un objectif commun. »

« Seulement la faction bonheur est celle qui doit obéir et toi tu crois dire vérité. »

« Tu me crois pas ? »

« Je suis une vérité, j’ai fait intrusion ici pour te libérer, je t’ai vu à l’Amphi, tu as été … courageux et fort ! »

« Alors c’est quoi la vérité ? »

« Les différences créaient des guerres et la philosophie ; ces factions, ça sert à rien ! Ils croient obtenir une société parfaite. »

« Par ou commencer ? »

« Par celui qui a créer ce système »

« Tu penses à ... »

Elle libéra Lyvain et s’enfuirent dans la nuit.

Galiana alerta et contacta les autres factions pour « Fugue »

Elle avait beaucoup d’amis dont elle leur avait fourni beaucoup de bonheurs !

Lyvain courut et escalada les obstacles.

« Je t’amène dans la faction vérité. »

« Et ? »

« En échange, tu te tais ! »

« C’est poli là bas. »

« On ne connaît pas toujours les vérités, sauf celles qui sont fausses. Connais toi même la vérité et tu en sauras plus ! »

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