Avant que j'annonce mes dévotions et que j'évolue sur mes addictions, je ferme les yeux sur la somme des additions du mal, qu'on perpétue en refusant de révolutionner nos actions. Ce monde se divise à cause de nos interactions. Plus d'éligibilité, car les hommes ne sont plus élus par vote, mais par fond. Pas moyen de voir l'Afrique se développer et s'épanouir, car les gars du type Mao Zedong n'ont pas encore visité ce continent. Mais je ne remets pas en cause nos héros, car se révolutionner, c'est écrire une nouvelle histoire avec le stylo des aînés, en y associant les résultats des autres. J'aurais aimé voir Sankara vivre jusqu'aujourd'hui, et Mandela sortir plus tôt de sa prison. J'aurais tout donné pour que Lumumba ne revienne pas, qu'il parte car sa femme serait toujours libre. Mais en vrai, ce sont les victoires du néocolonialisme. Alors la révolution s'est partir sur leur base en changeant d'entourage, et en suivant l'exemple d'Ibrahima traoré.–
The Sybarite Lyriciste