Vie dé péché

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Elle est la fille sans qui tu as le goût d’exister,
Celle dont le prénom et le souvenir ne savent que t’attrister,
Celle qui en partant t’a laissé avec le cœur arraché,
Celle dont l’absence te condamne à une vie de péché…

Regarde-moi perdu dans une vie d’ivresse,
En plein délit de vitesse,
À deux cent sur l'autoroute de l’avenir,
Ne pensant à demain, je ne sais pas comment aujourd’hui va se finir,
Surement avec un pétard pour trouver sommeil,
Ou avec une belle à la recherche du pays des merveille,
Grillant chaque billet comme si l’argent était infini,
En priant pour que cette soirée ne soit jamais fini
Sans dessus dessous les des boîtes de nuit,
Pour ne pas penser à celle qui t’a fuis,
En espérant que l’after dure jusqu’à la prochaine soirée,
Si la Féérie ne pouvait jamais s’arrêter,
Tu ne penseras pas à elle,
Qui pourrait te faire retrouver le sourire avec un appelle,
Qui avec un sourire te ferais faire le tour de terre,
Oui elle qui t’a mis à terre,
La princesse qui a fait de toi un roi,
Mais tu ne pensais qu'à toi,
Toujours perdu dans tes écrits et tes égotrypes,
Tu n'es qu’un sale type
Prince devenue clowns rien de plus
Dire qu'avant tu partais en pensant que tu conquérais le monde en prenant le bus,

Oui je suis celle qui faisait lever ton sale cul de feignasse,
Tu courais après un peu de tune bien que ça te dépasse,
Mais il fallait construire avant que le temps nous trépasse,
Mais comme tous les petits cons avec le temps tu te lasses,

Traitez-moi de salaud,
Mais j'ai fait ce qui me semblait juste par défaut,
Plus tôt que de m'enfermer dans la nostalgie et le dépit,
J'ai préféré dire tu es la femme de ma vie mais tant pis,
Si on ne finit pas comme le destin et nos cœurs nous le dicte,
Plus tôt que nous détruire comme si l'amour heureux n’était qu’un mythe,
Parce que perdu dans le torrent du quotidien cette interminable peine,
J'oublierai que tu es la seule et unique reine,
Tirant un trait sur nos péchés, nous trompant et nous égarant,
Le soir nous aimant comme si nous avions vu aucun amante ou aimant,
Est-ce vraiment à quoi se résume notre avenir, ?
Est-ce a ça que le destin nous dicte de devenir ?
S’encastrer dans une routine,
Qui tout y compris notre amour piétine.
Oui je suis peut-être trop immature,
Est-ce pour ça que je jette le bonheur en pâture,
Mais tu sais bébé je suis jaloux et possessif,
Mais tu restes libre comme l'air et je reste passif,
Ne te retiendrais jamais si tu dois poursuivre ta vie sans moi,
Vu que je ne t'offrirai jamais un avenir de soie,
Tes ambitions te mèneront toujours loin de mes horizon,
Et mon manque d'ambition sera toujours ma plus grande liberté et prison.

Oui sale fils de lâche,
Tu fuis la routine et les attaches,
Je t’ai toujours répété que tu manquais de panaches,
Petit con de la femme de ta vie tu détaches.

Nous essayons tant de mal de profiter de nos vies, que on s'enfuit
Même si l'amour nous rattache mais on coupe le fil et fuis,
Dans cette vie courte combiens d'erreurs nous faudrait-il,
Pour comprendre que notre vie ne tient qu'a un fil,
Nous séparant, nous détruisant avant de pleurer,
Ravager mais quand nous reverrons nous verrons comme si rien de tous c’était arriver
Deux foutu orgueilleux sont tomber amoureux,
Mais incapable de baiser leur égo pour être heureux,
On sait combien on s'accomplit dans la vie ensemble,
Mais autodestructeur j'aime quand tout se désassemble,
Toi tu aimes l'ordre nous ne dansons jamais aux mêmes rythmes,
Comme une même mélodie qui sépare nos âmes,
On rame dans l'océan de la solitude,
Mais aucun de nous ne demandera quiétude,
Elevé dans cette fierté qui nous asservi,
Aucun de nous n'a voulu servir, et gâcher sa vie,
Après tout pourquoi se sacrifier pour une historie déjà morte,
Pas assez chrétiens pour croire que même l’espoir ressuscite
A croire que malgré nos prières,
Nous ne pouvions éviter l’enfer,
Même si avec nos actions nous aurions pu changer notre funeste destin,
Nous préférions rester à ce nous-même incertain.

Oui petit con tu ne t’es battu,
Tu aurais pu sauver notre couple perdu,
Mais tu es reste là avec ton air abattu,
Pourquoi tu n’as pas pris cette main que je t’ai tendu,

Perdu dans le torrent de nos egos,
Nous avons essayé de soigner nos tourment avec deux mots,
Mais trop concentrer sur nous même pour entendre nos cries,
De notre solitude nous sommes épris,
Vivre comme nous l'entendons est ça la liberté?
A croire que pour vivre heureux nous sommes trop buté…
Perdu dans les temps modernes et sa psychose,
On essaye d'être logique en ignorant les effets et les causes,
Pour cause nous vivons comme des fou logique,
Ignorant tous ces sentiments magiques,
Nous tournant le dos,
Refusant d'être pris dans le flo,
Trop flou nous ne savons que nous regarder nous-même,
Tel et le salut et la disparition de nos âmes,
Alors sur l’autoroute de la vie pour oublier ma damnation dans la débauche je m’enfonce,
Si une fille me fait de l’œil je fonce,
Défoncer comme jamais je cherche une mort rapide,
Plus tôt que subir celle que m’offre ma vie sans toi qui est si vide,
Regarde-moi à faire semblant d’être heureux,
C’est plus facile que de construire une vie à deux,
Je fuis l’amour car le bonheur je ne le mérite pas,
Sinon je serai resté à vie, à vivre entre tes bras...

Elle est la fille qui pouvez te sauver,
Celle qui te faisait rêver,
Mais ton amour de la dépression t’a fait t’en éloigner,
Afin que dans cette vie de pécher tu puisse te noyer.

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