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Ô toi, femme aimée femme désirée,

Près de toi je suis aveuglé,

Toi qui est plus brillante que le soleil,

Toi sur qui la nature veille.

Ton regard d'or ne me quitte plus,

Loin de toi je n'existe plus,

Ô toi fille de Dieu, ange céleste,

Pourquoi me fuis-tu comme la peste ?

Ta douce lumière inonde mes sens,

Quelle douleur que cette romance,

De toutes tu es la plus resplendissante,

Pour toi mon amour sans fin je chante.

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