Il ne faut pas lui en promettre, juste lui en donner.

Oh que oui, cette adoratrice du sexe masculin savait lui vouer toutes les formes d'adoration possible.

Pour commencer, elle adore passer sa main sur le pantalon et ressentir les réactions des membres virils sous ses doigts baladeurs.

Sentir le petit oiseau grossir sous ses caresses, estimer la taille de la pine, la forme des joyeuses, elle en salive par avance.

Lorsqu'elle estime que le petit jésus est devenu bien rigide, elle se délecte à faire glisser la braguette, faire sauter un bouton,

et descendre lentement le pantalon du mâle en le regardant avec ses yeux pleins de gourmandise.

Ses yeux redescendent sur le caleçon gonflé par le popol maintenant plutôt bien en forme.

Quelques petites caresses supplémentaire, et un petit bisou sur le gland à travers le dernier rempart qu'elle commence à retirer.

Apparaît un gland bien gonflé, puis elle découvre une tige bien rigide qui palpite déjà, arrivée aux bijoux de famille elle fait une pause

pour détailler cet ensemble 3 pièces très viril avant de faire valser le sous-vêtement devenu gênant pour la suite des opérations.

En bonne gastronome qu'elle est, elle remonte et passe sa langue en partant des joyeuses tout le long de l'organe du mâle, histoire de "goûter" à la bête.

Comme attendu par cette fine experte, le vit palpite sous son doux lappage et se tend encore plus.

Elle ne va pas faire la goulue de suite, mais s'attarde quelques minutes à lécher doucement cette belle trique, n'oubliant pas les deux réservoirs.

Sans prévenir, sa fine bouche s'ouvre et englobe délicieusement le champignon viril qui chapeaute cette belle quéquette.

Commence alors une douce valse qui mélange aspirations de la trique, rotation de la langue sur le gland et savant massage des coucougnettes d'une main douce mais ferme.

Elle gobe le zizi, avales le zob, bouffe le braquemart comme une mort de faim.

Une main vient saisir le bazar à sa base et vient en renfort, branlant l'organe au rythme de ses pompages du dard par ses lèvres humides.

La belle passionnée savoure l'instant, l'homme à sa merci de sa gâterie, elle contrôle, elle maîtrise, elle sais le faire durer,

pour son plaisir à lui mais aussi pour le sien à elle car elle sait que pratiquer la sucette la rend folle.

Après d'interminables minutes à s'empiffrer de cette grosse baguette, elle décide d'en finir, de l'envoyer au 7ieme ciel et quand à elle de recevoir sa récompense finale.

Alors ses lèvres se font plus serrées autour de la saucisse, sa main plus ferme à la base de ladite biroute, et sa langue encore plus insistante sur le frein de l'asperge.

Le rythme lui aussi à changé, plus rapide, plus vif, enfin elle ressent le sexe qui n'en peux plus, et la production des 2 usines qui gicle au dehors de l'outil.

Une, deux, trois... elle à compté 7 salves de semence qui se sont écrasées sur son palais, une preuve pour elle du bon travail effectué.

Elle se redresse, qu'elle est fière de son oeuvre d'experte en sucette, se dit elle en regardant le cigare à moustaches se remettre de ses émotions.

Vivement le prochain Phallus!