Chapitre 1 : La pluie

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« Le fils du Loup passera le chemin des Milles Guerres. Il découvrira son héritage en combattant le Monstre affamé. Son appel au combat brisera ces infâmes chaînes. Je serai libre, je serai furieux et le Monstre retournera à sa place comme cela doit être. Puis je me tournerai vers vous qui m’avez trahi. L’Honneur brillera tel jadis »

Le Dieu Banni, ses dernières paroles avant l’Oubli, la prison des Dieux.

La pluie battait le sol et les arbres de la forêt en un opéra relaxant, dont la continuité n’était rompue que par la Sainte voix du canon et les lointains tirs de mousquets. Un chœurs dont le chant était empreint de vérités, éclairant de quelques flashs lumineux le soir venant. Vrolf cherchais un abris a cette pluie diluvienne lorsque il remarqua ce trout de terre sous les racines d’un énorme chêne. Il fit signe a Fnior et lui montra l’abri de fortune qu’il venais de trouver entre deux buissons. Spatieux, l'abris aurais très bien pu servir de cabane de chasse. Seul le plafont était trop bas, impossible d'y être debout mais l'ont pouvais tout de même s'y asseoir.

Épuisés, trempés, leurs uniformes en lambeaux, ils s’était enroulés dans leurs couvertures respectives et allongé dans l’abri naturel chacun a une extrémité. Bien qu’ils dormais ils avait une bonne vue sur les alentours pouvant voir toutes personnes venant dans leurs direction, dont la route en bas de la colline qui menais au gué qu’ils avais défendue au prix du sang quelques instant plus tôt.

Même si ses yeux était clos, Vrofl ne dormais pas réellement, la bataille n’était pas finis et bien qu’il se trouvais loin des derniers combat qui rugissait encore au loin, des soldats ennemis en déroute pouvais toujours passer par là. Ce qui serait étonnant de se côté de la rivière mais il tenait tout de même fermement son pistolet à silex sous sa couverture, chargé et prêt a tirer. Juste au cas où.

Malgré la pluie battante et le canon qui résonnais au loin il entendit quelqu’un arriver dans sa direction, pataugeant dans la boue que cette pluie infâme avais crée. Il ouvrit les yeux et chercha l'intrut du regard. Il reconnu l'uniforme qui avançais face à lui et referma presque immédiatement ces yeux fatigué, déssérant sa prise sur son arme. Les pas stoppèrent juste devant les buissons.

La voix d’un jeune homme grommela à travers le tambour de la pluie :

  • Mais bordel il est ou cet Adjudant… Marre de pataugé dans cette foutue forêt.

Ont entendis un canon faire feu, puis au loin une réserve de poudre sonnat tel un souvenir de l'enfer de plomb de la journée. Vrolf rouvrit les yeux: Qui se plaid de ce temps magnifique, dans cette si belle forêt ?

L’homme, de profil regardant dans la direction de l’autre rive, était vêtu d’une cape a capuche verte avec deux bandes blanche brodé d'or verticales qui allais des épaules jusque en bas. Élément caractéristique des Cavaliers Tireurs de la Garde de l’État Major. Les "Beaux planqués". En dessous on pouvait voir son uniforme vert a bandes blanche. Sous la cape on devinais une sacoche a sa ceinture en plus de celles pour les balles et la poudre. Ses bottes de cavalerie en cuir était pleinne de boue. Contrairement a l’usage il ne portais pas son encombrant et ridicule casque a brosse.

Ses cavaliers d’élites de grand prestige était, techniquement, affecté a la protection du camp et plus particulièrement de l’État Major. Cependant ils était surtout utilisés comme messager pour transmettre les ordres et rapporter les rapports des différentes unitées sur le champ de bataille. Il avais aussi la réputation d’être des planqué, n’allant que très rarement au combat sauf si l’État Major subissait une attaque directe ou en tant que cavalerie de choc de réserve. A usé en dernier recourt, c’est-à-dire jamais. Raison pour laquelle il n’y avais que des fils de l’aristocratie ou de la grande bourgeoisie. Héritiers de personnages puissant, d’une manière ou d’une autre.

Ses hommes était des cavaliers de salon dont la langue fourchue était habitué au goût du cuir. Ignorant par quelle bout tenir un sabre et encore moins leur carabines qui ne servent que lors des entrainnement au tir. Ils sont haïs tant par l'infanterie que par la cavalerie régulière qui porte peut de gens de familles puissantes.

Vrolf refermât les yeux avec un dégoût au visage et lui répondit d’une voix fatigué mais suffisamment forte pour pallier à la pluie et une batterie chantant la Véritée :

  • Sur ta droite le planqué.

L’homme resta silencieux. Vrolf rouvrit alors les yeux, se demandant pourquoi il ne lui répondais pas. Il était devant lui sous la pluie, regardants autour de lui. Vrolf comprit qu’il ne le voyait pas, il se redressât donc, dégageant la couverture et poussa les branches de buissons devant lui, l’invitant a venir s’abrité.

  • Ici sur t’a droite.

L’homme ne se fit pas prié, il sauta presque dans l’alcôve pour échapper a la pluie. Accroupie il enleva sa capuche et se présentat. Au loin une escarmouche faisait jouer les mousquets.

  • Soldat Bretlenn Oslein, 2ème de Cavaliers Tireur de la Garde. Je cherche l’adjudant Draguur.
  • Il est devant toi soldat. Ils me veulent quoi ? Dit Vrolf fatigué.

Il chercha dans sa sacoche de ceinture, trouva se qu’il cherchait et tendis une enveloppe sans sceaux de cire a Vrolf.

  • Mes félicitations mon Capitaine.

Vrolf l’a prit non sans grimace. Tout se qu’il voulait c’était un repas chaud, un lit sec au coin d’une cheminée et une femme pour le masser. Apprendre que l’on était promu de cette manière n’était jamais bon signe. Bien sûr aux vu des pertes subis ce n’était pas étonnant, mais Vrolf savais que ses gentilshommes de l’État majors ne l’appréciais guère et l’absence d'un sceau de cire sur l’enveloppe était un signe de mépris non dissimulé de leurs part. Il pria pour que ce ne soit pas le Vieux Loup, le général Scheflimp.

Il l’ouvrit, en tira le papier que l’enveloppe contenais sur le rythme des mousquets tout en le dépliant.

Avant de lire le contenue du message il vérifia la signature. C’était le général Scheflimp, cela n’annonçais rien de bon…

Il était effectivement promu capitaine, en plus d’être nommé 1er officier du Corps des Sauterelles. Ou l’inverse, avec le général Scheflimp il fallait toujours se demander pourquoi on avais été promu a tel grade et pourquoi affecté a tel lieu ou a tel unitée. Il y avais toujours une mauvaise surprise ou quelque chose de tordu avec lui.

On lui demandais aussi de faire le compte des survivant. Demande inhabituelle qui prouvais que, pour une fois, ils avait lu son rapport par l’intermédiaire du messager. Normallement on comptais les vivant, ce qui voulais dire que la bataille, dans sa globalité avais tourné boucherie.

Dans le grondement d'un canon il se tourna vers Fnior toujours enroulé dans sa couverture, enlassant sa carabine de précision comme un enfant son doudou.

  • Fnior….. FNIOR !
  • J’suis épuisé et la bataille est finit pour nous. Un canon le coupa. Par Ribdil laissez moi dormir…..

Le messager sembla sursauter en entendants la voix de Fnior venant de l’autre côté l’alcôve, il ne l’avais pas vu.

  • Tu dormira cette nuit Mr Loutre. En dehors de Heinka tu sais qui a survécu ?

Fnior releva va la tête. Il avais tout aussi mauvaise mine que Vrolf. Des mèches rousses dépassais de son béret de tireur, ses yeux bleu et sa peau claire amplifiais son regard glacial. Sa joue était marqué d’une ligne rouge dessiné par une balle qui l’avais éraflé. Son visage était froid et dur. Il regarda son nouveau capitaine puis le messager, qui se senti mal à l’aise, et regarda de nouveau Vrolf. Il y eu un silence, puis Fnior répondit d’une voix sûr bien qu’il était évidant qu’il était épuisé.

  • Heinka donc... Lidonni, peut-être Grolk. Il fit une pause. Trefeun aussi mais il a pris une balle dans la cuisse.
  • Ou ? Demanda Vrolf avec instance.
  • A l’endroit ou les médecins coupe systématiquement la jambe.
  • Tu en est sûr ?
  • Oui, il est tombé sur moi j’ai bien vu le sang et le trou sur son pantalon.

Le messager en fit une drôle de tête. Vrolf lui, grimaçais.

  • Pauvre Trefeun… et c’est tout ?
  • Non, il y a aussi l’autre enculeur de mouettes, Esprald.
  • Tu en est sûr, Esp est vivant ? Demanda Vrolf d’une voix résigné.
  • Je vois pas qui pourrais courir vers nous en sautillant de joie avec un volaille dans les mains sous cette pluie.

Ils se retournèrent vers les buissons qui les cachais et virent un homme blond dont l’uniforme était en tout aussi mauvais état que les leurs, sauf celui du soldat Oslein. Il sautillais tout en courant vers eux sous la pluie diluvienne. Son pantalon d'uniforme était brun de boue. Il tenait se qui ressemblais a un canard dans ses mains. Dans les derniers mètres qui le séparait de l’abri provisoire, Esp glissa sur la boue et finit sa route sur le ventre toujours en tenant fermement le canard qui cancanais de terreur. Il arriva pile sous l’abri et dit en arrivant devant Vrolf :

  • J’ai le dîner mon adjudant !

Puis il tourna le regard vers le messager et dit avec agressivité :

  • Lorgne pas sur mon canard ou tu va tâter de mes bottes !
  • Laisse le tranquille Esp. dit Vrolf tout en se disant que avec un canard pour cinq, ou six si Grolk était vivant, ils n’irais pas loin.

Esp se releva, réalisant que son uniforme était plein de boue. Il s'assit tenant toujours son canard.

  • Donc, nous sommes cinq. Il regarda le soldat Oslein d’un air sinistre.
  • Mon Capitaine, vous devez aller le dire directement à l’État-Major, de vive voix. C’est ce que le général m'a dit.

Vrolf le regarda étonné, puis relus la lettre depuis le début.

  • Rooooh, z'ètes Capitaine maintenant.... Chouette on pourra avoir des rabais sur les poulettes !

Les regards de Vrolf et Fnior en disais long : ils le cannonais du regard. Oslein observa la scène avec attention.

Vrolf relus plus attentivement la lettre, faisant abstraction d'un canon plus proche que les autres. Scheflimp lui demandais effectivement de lui fair son rapport de vive voix et dans les plus bref délais. Lui annnoçais sa promotion et...

Il se tourna vers Oslein étonné, le jeune homme s'inquiéta.

  • Mon Capitaine ?
  • Tu n'a pas lu la lettre gamin ?
  • Certainement pas monsieur. S'indigna Oslein.

Esp s'étonnat.

  • Naaan, un planqué qu'y a des principes. Par l'couilles de Creliox...
  • Esp, ferme là ! Râla Fnior.

Vrolf tendis la lettre a Oslein avec un regard sérieux, son geste fut accompagné par le chant de l'artillerie.

  • Je sais pas ce que tu a fait soldat Bretlenn, mais les Fleurs de soie ne t'aiment pas. Bienvenu dans le Corp des Sauterelles.

*  *  *

La frontière entre le jour et la nuit, entre le chien et le loup, commençait à se faire sentir. Vrolf avançait en tête suivis de Fnior et de Oslein, Esprald ferment la marche. Ils parcourais péniblement le champs de bataille devenu silencieux, jonché de cadavres d'hommes et de chevaux. Quelques pièces d'artillerie ponctuais le paysage, support en bois détruit ou tube fendu par le hasard d'un boulet. Il ne s’agissait que de petit canon à la portée limité. Les plus grosses pièces était à l'arrière à l’abri de leurs homologues ennemis.

Les groupes de nettoyage des deux armées rassemblaient les cadavres pour les compter pendant que des officiers de l'Ordre Noir, un des rares reste de l'administration de l'Empire jadis, tentait de les identifier, lorsque c'était possible. Leurs uniformes avais toujours eu une connotation lugubre, paré d'un grand manteau noir et d'un chapeau circulaire caractéristique totalement démodé. Ils notait inlassablement les noms des malheureux sur une table portative que leurs assistants, ridiculement habillé comme des laquais, déplaçais tout les trois cadavres. Parfois il tirais son pistolets et achevais les mourants après leurs avoir demandé leurs noms, balançant l'arme fumante à un assistant qui se dépèchais de le recharger sans se brûler les doigts. Une haine impuissante se lisais sur les visages des soldats qui passais devant la scène ou qui effectuais la tâche ingrate du déplacement des morts.

Un jour il faudrait purger ses salopards et laisser les médecins faire leurs travaille. Au moins certains pourrait être sauvé... Se dit Vrolf avec dégoût.

Dans le même temps les prêtres tant de l'Unique que du culte Sylvestre effectuais les dernier rites pour les morts et ceux qui le serais très bientôt. D'un commun accord les deux cultes effectuais les rites mortuaire d'usage en de tel condition, de l'un ou l'autre culte selon les signes d’appartenance pouvant être visible sur les cadavres. C'était bien là le seul moment ou les deux groupes religieux ne s'entre-tuaient pas.

Deux prêtres supérieur des deux cultes discutait, la petite troupe passa devant eux en les saluant d'un mouvement de tête. Les deux homme leurs rendirent leur salue par des regards aussi triste que froid devant se massacre. Devant eux des hommes portait une civière en une triste procéssion des plus sacrée. Tous ceux qui passait devant enlevaient leurs couvre-chef en signe de respect. Seul les Rois, certains généraux et les Maîtres de Guerre avais le droit à ce type de respect et comme il y avais longtemps que les Rois n'allais plus en première ligne et que les généraux..... Cela ne pouvais être qu'un Maître mais qui ? Vrolf devins nerveux, fatigué il accéléra le pas vers la procession dans le but de voir le visage des hommes qui portait la civière et celui du malheureu dessus. Fnior le suivis avec la même crainte, Esprald dapassa allègrement Oslein qui ne comprennais pas se qui ce passais.

Il y avais de plus en plus de monde qui accompagnais la procession, les officiers eux aussi l'accompagnais mélé à la troupe. Quelques officiers de cavalerie en faisais de même, pied à terre, suivi de leurs montures et de leurs sous-officiers. Vrolf était de plus en plus nerveux, il n'y avais que deux Maîtres de Guerre sur ce flanc que les officiers et la cavalerie accompagnerais, Nomildo et Heinka. Une masse compacte de visage froid et au regard vide entourais maintenant la civière. En arrivant devant Vrolf, se freya immédiatement un chemin dedans en jouant des coudes et des épaule, tout en disant d'une voie forte empreinte de crainte: Poussez vous, poussez vous !!!

Les hommes se retournais devant lui étonnés, le laissant finallement passé créant un couloir dans la masse jusqu'a la civière. Il n'était pas étonnant qu'un officier ou un sous-officier agisse de cette manière. La perte au combat d'un Maître de Guerre dans une unitée était quelque chose de douloureux. Il était de son devoir de s'assurer qu'il ne s'agisse pas de son Maître de Guerre. Il arriva à 2 mètres de la civière, les têtes en dessous se tournère vers lui. Une grosse voix se fit entendre parmis elles: C'est Julio Nomildo. Vrolf se détendit en entendant la voix famillière de Heinka.

-Va mon frère, je prend la relève, fit un homme dans la foule qui marchaient à coté de Heinka.

Ils firent l'échange sans que cela ne gène la procession dans sa route vers le camps, lentement mais surement. Vrolf tourna les talons et fit le chemin inverse suivit d'une montagne au visage balafré, rouge de sang et noir de poudre. Une fois sorti ils s'arrétèrent, très vite rejoind par Fnior, Esp et Oslein.

-Comment ? demanda Vrolf

-Obus à fragments, il est mort sur le coup.

Heinka porta son regard vers Fnior et Esprald et s'arréta sur le jeune homme. Il le fusilla du regard.

-Ces messieurs souhaitent maintenant connaitre les détails des discussions de la troupe ?

Des sourires gentillement moqueurs apparurent sur les visages. Oslein était rouge de panique, paralysé.

-Heu...

-Doucement l'Ours du nord, c'est une jeune et nouvelle Sauterelle. Évite de le tuer tout de suite.

Heinka posa un regard inquisiteur sur Vrolf qui lui tendis la lettre. Il la pris après quelques secondes d'un duel insoutenable, la déplia et lu.

-Ce vieux troll suceur de champignon n'est toujours pas mort ? Pute à Gnorrols ! Ils ne pouvaient pas tirer sur la tente de commandement avec leurs artilleries, plutôt que sur toutes ses pauvres âmes....

Fnior le coupa:

-Tu abuse Heinka, cette fois les Gnorrols nous ont été bien utiles. Sans eux leurs artillerie nous aurais éparpillé dans la rivière.

Heinka lui lanca un regard froid doublé d'un haussement de sourcil.

-Soit, pour une fois ils ont prouvés leurs utilités.

Esp et Vrolf souriait.

-Heu... C'est quoi un Gnorrols ? demanda timidement Oslein.

Tous se retournèrent sur lui, les yeux écarquillé. Heinka répondis de sa voix d'ours :

-Sérieusement gamin ? Tu vien d'ou ?

-L'ïle forteresse de Mertholke, Maître.

-Ah... Je comprend mieux. S'étonnat Esp. Ils nous ont refilé un super planqué. Au moins si on a besoin de construire des fortifications Oslein sera là pour jouer l'ingénieur.

Tous éclatèrent de rires.

-Oui, mais moi je ne quitterais pas le fort à la Gudrianni. Réthorqu'a Oslein.

Esp lâcha une insulte en Gudrial. Les reste du groupe ricana. Cela leurs permis de dégager la lourdeur des derniers évenements. Fnior s'adressa à Oslein :

-Tu vois l'officier en noir là-bas ? Il désigna d'un mouvement de tête l'homme occupé à compter les mort, il pris son pistolet des mains d'un lacquai en demendant plus fort son nom à un pauvre bougre.

-Le Questeur ?

-Oui c'est ça, regarde au niveau de ces bottes.

Les yeux d'Oslein doublèrent de volume lorsqu'il vu la petite créature habillé de la même manière que le sinistre personnage qu'il suivais. Haut de 50cm sa tête atteingnais les genoux de l'homme uniquement grâce à son chapeau. Il remarquais maintenant qu'il y avais un autre tas de corp beaucoups plus petit que le premier qui n'était remplis que des semblables de cette créature. Certaines, elles aussi, comptais les morts. De loin il devina une barbe noir, des oreilles pointue dépassant du chapeau dont la peau était d'un jaune terre. Il avais à sa ceinture un poignard et ce qui ressemblais à un pistolet.

-Qu... Qu'est-ce qu...

-Ce sont des Gnorrols. Des mercenaires et des soldats du Roi Gnorrol Kekupi le 3ème. Tu n'a jamais entendus parler d'eux ?

-Seulement dans les comptes et les vielles légendes.

Oslein sentit que quelque chose tappais sa botte droite. Il se retourna et regarda par terre. Il vit une de ses créatures le regardant la tête levée. Sa peau jaunatre entourais ses grands yeux bleu accentué par un long nez crochu et des oreilles longue et pointue. Sa grande bouche révela une dentition de cauchemars a en faire pleuré un dentiste lorsqu'il lui lanca d'une voix aïgus :

-Kiti Tuba To'To Pulmikini Guba Kuti Kiti.

Vrolf suivis :

-Je crois que Heinka connais bien cette phrase.

Lui, Esp et Fnior ricanèrent de nouveaux. Heinka grogna légèrement, le visage fermé.

-Comment ça ? Qu'a t-il dit ? ?

-Il viens de parié qu'il en a une plus grosse que la tienne. Fit Esp. Il sont plutôt du genre arrogant mais sur ce point je te conseil de te méfier. Ils ont beau être petit ils sont bien équipés les bougres.

Oslein ecquarquilla les yeux, dégouté autant par les paroles de Esp que par la petite créature qu'il regarda de nouveau. Il remarqua qu'il portait un uniforme que lui avais caché sa petit tête. La créature refit quelques mots, comme impatient d'avoir une réponse.

-Nous somment attendus au camps, en marche. Dit Oslein sur un ton soudainement sérieux, se mettant en marche vers le camps. Les autres le suivirent, ricanant.

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