Se sentir entouré
Jamais, oh vraiment ce non, je n’avais pas su
m’en décharger comme j’aurais pu.
De cette interminable bouffée
de vent en descente, on pouvait
vaguer sûrement dans l’une de ses saisons si pleines et
inachevées.
Mon pardessus était, virtuellement, scintillante au soleil
de mes petits tracas d’un hebdomadaire et du quotidien
pesant sur moi.
Un long chemin
vers de la glace foisonnante d’hiver
et vers de tempêtes inconfortables d’automne
d’une existence bien seule
m’incitait ainsi au cœur du feuillu feuillage
de mon introspection.
Il ne finissait pas d’être si opportun
qu’il en connaissait suffisamment sur terre,
pour s’en préoccuper de mes longues lassitudes
de mes viles actions, sûr et passés, moins évidente
en souvenirs.
Il était frais et indolore.
Ce doute sur ce qu’il pouvait bien
l’orchestrer magistralement
me faisait vaciller et du coin de l’œil et mon cœur vif.
Il suscitait cette vie d’intérieure.
Son sourire en éclat béat scellait
une de mes plus modestes traditions
au cœur de ma peau flambante
d’un parchemin à déchiffrer.
Oui, la tonitruante carapace avait
à fondre dans le feu de l’amour et de la passion.
C’est tout cela en même temps
que j’espérais.
Je voulais bien entendu toucher
cette importante personne, ma confidente à moi.
Cette femme ou fiancée aurait partagé
bien des épreuves.
Elle aurait participé à notre vie des plus intimes
et à ses nombreux tourments, les plus obscurs
de notre symphonique âme,
si ce n’était pas ou peu
endolorie de torpeurs immondes.
Car, plus que tout,
cette bonne couveuse de bons sentiments
aurait procuré ce léger panaché pétillant
en mon sein en mes soins.
Elle sentirait ce rhume et la grippe venir
quand l’excès de tout au tout ralentirait la santé
et surtout le moral.
En trouver une nécessiterait ce parcours faramineux
fort peu sympathique !
Chaque pas avançant que nous faisons
nous rapprochait ainsi
d’une si fiable et joviale citoyenne.
Elle constituerait un sérieux atout
sur notre savoir-être dans l’intimité de nos secrets.
Un jour, vous trouverez vous aussi la personne
faite pour vos besoins, vos baskets, vos chaussures.
Qu’elles soient toute de laine, de nylon, de soie,
le tout accommoderait les vastes
échoppes de cordonneries,
les vastes parcelles commerçantes
des non-dits les plus polichonnes.
Tout se produirait dans l’impact
de vos choix sélectifs.
Cet présence voulue malgré ses défauts latents,
transcenderait et notre esprit et notre sacré,
et notre identité.
Le plus important demeure ceci
en toute humilité :
une mise en relation
de notre éducation, de notre extérieur
faisant bon accueil à cette amour-là.

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