Se sentir entouré

2 minutes de lecture

Jamais, oh vraiment ce non, je n’avais pas su

m’en décharger comme j’aurais pu.

De cette interminable bouffée

de vent en descente, on pouvait

vaguer sûrement dans l’une de ses saisons si pleines et

inachevées.

Mon pardessus était, virtuellement, scintillante au soleil

de mes petits tracas d’un hebdomadaire et du quotidien

pesant sur moi.

Un long chemin

vers de la glace foisonnante d’hiver

et vers de tempêtes inconfortables d’automne

d’une existence bien seule

m’incitait ainsi au cœur du feuillu feuillage

de mon introspection.

Il ne finissait pas d’être si opportun

qu’il en connaissait suffisamment sur terre,

pour s’en préoccuper de mes longues lassitudes

de mes viles actions, sûr et passés, moins évidente

en souvenirs.

Il était frais et indolore.

Ce doute sur ce qu’il pouvait bien

l’orchestrer magistralement

me faisait vaciller et du coin de l’œil et mon cœur vif.

Il suscitait cette vie d’intérieure.

Son sourire en éclat béat scellait

une de mes plus modestes traditions

au cœur de ma peau flambante

d’un parchemin à déchiffrer.

Oui, la tonitruante carapace avait

à fondre dans le feu de l’amour et de la passion.

C’est tout cela en même temps

que j’espérais.

Je voulais bien entendu toucher

cette importante personne, ma confidente à moi.

Cette femme ou fiancée aurait partagé

bien des épreuves.

Elle aurait participé à notre vie des plus intimes

et à ses nombreux tourments, les plus obscurs

de notre symphonique âme,

si ce n’était pas ou peu

endolorie de torpeurs immondes.

Car, plus que tout,

cette bonne couveuse de bons sentiments

aurait procuré ce léger panaché pétillant

en mon sein en mes soins.

Elle sentirait ce rhume et la grippe venir

quand l’excès de tout au tout ralentirait la santé

et surtout le moral.

En trouver une nécessiterait ce parcours faramineux

fort peu sympathique !

Chaque pas avançant que nous faisons

nous rapprochait ainsi

d’une si fiable et joviale citoyenne.

Elle constituerait un sérieux atout

sur notre savoir-être dans l’intimité de nos secrets.

Un jour, vous trouverez vous aussi la personne

faite pour vos besoins, vos baskets, vos chaussures.

Qu’elles soient toute de laine, de nylon, de soie,

le tout accommoderait les vastes

échoppes de cordonneries,

les vastes parcelles commerçantes

des non-dits les plus polichonnes.

Tout se produirait dans l’impact

de vos choix sélectifs.

Cet présence voulue malgré ses défauts latents,

transcenderait et notre esprit et notre sacré,

et notre identité.

Le plus important demeure ceci

en toute humilité :

une mise en relation

de notre éducation, de notre extérieur

faisant bon accueil à cette amour-là.

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