De retour au dortoir Dess s’allonge dans sont lit exténuer.

- Dis moi Yonne c’était quoi le truc qui a explosé en nuage de fumé hier ?

- C’est rien juste un projet personnel.

- Là tu en dit soit trop ou pas assez.

Yonne sort d’un tiroir une tablette métallique qui peut se déplier en deux. Dess la saisit et l’inspecte sous toute les coutures.

- C’est quoi ?

- C’est sensé être un livre..

- Un livre ça, sa marche comment ?

Yonne pose sa main sur la tablette, des pages d’un bleu translucide jaillisse entre la couverture métallique. Sur la dernière pages est illustrés d’une image de Yonne et Dess en cours d’Histoire.

- Mais c’est nous sur sur ce desseins, quand ta eu le temps de nous dessiner.

- Je l’ai pas fait.

Il tourne la page cette fois un dessins avec Mr. Reuel et un autre avec l’explosion dans la chambre.

- L’appareil fabrique un livre qui contient tout les passages de ta vie à partir de tes souvenirs.

- C’est incroyablement, mais comment sa arrive à lire tes souvenirs ?

- L’aura rien de plus, c’est aussi la source d’énergie qui l’alimente.

- Donc cette « aura » peut aussi alimenter certaines machines ?

- Je suis pas une expert sur le sujet mais oui.

Subitement les pages se mettent à vibrer puis disparaissent un rayon de lumière.

- Comme tu le voit c’est encore qu’un prototype.

- C’est toi qui la inventer ?

- En partie.

Le lendemain Dess décide d’aller à la cafétéria. Il arrive devants une gigantesque serre végétale en verre, d’où émerge du toit la cime de plusieurs arbres. A l’intérieur Dess se retrouve dans une véritable forêt amazonienne ; le sol est recouvert d’herbes et de plantes luxuriantes, les murs de lianes et de racines. Au milieu de cette jungle éclairé par le soleil, des tables en bois sur le sols tandis que d’autre sont percher sur des arbuste. Dess arrive devant un buffet qui propose une grande quantités de nourriture variée : du poisson chat, du bœuf de Kobe, des fleurs de courgettes. Et aussi des criquets, des langues de dragon de Komodo, des œufs d’émeu à la coque … Dess se met à une table vide. Pendant qu’il mange, une voix masculine lui demande si il peut s’asseoir, Dess accepte. Face à lui un être couvert d’écaille, muni de griffes digne de celles d’un varan et d’une tête semblable à celle d’un iguane. Il déguste un bol de scolopendres qui dégoûte un peux Dess.

- Je m’appelle Riz. Dit l’homme lézard

- Moi c’est Dess...

Bizarrement s’entende bien assez vite, pendants qu’ils discutent, il entendent les bruit d’une dispute venant du buffet. Tout à coup Riz, imperturbable, s’arrête de manger, se lève en soulevant son plateau et se décale de quelques pas. Dess étonné, tourne la tête en direction du vacarme. Sans crier gare, un gars taillé comme une armoire à glace, s’écrase sur la table en emportant au passage le repas de Dess. Une fille aux cheveux écarlates surgit d’un air agressif.

- La prochaine fois je te pète toute les dents connard.

Elle regarde Dess d’un air énerver qui ne bouge pas d’un poils. Elle quitte la salle directement après. Riz s’approche de Dess sont plateau toujours en mains.

- Tu va voir on si habitue au bout d’un moment.

Après un cours de sports très éprouvant pour lui, Dess raconte sur le chemins sa mésaventure à Yonne.

- Et là elle me regarde avec un aire furax, j’ai eu peur d’être le prochains.

- Vu ce que tu me dit sa doit sûrement être Ashe, en général elle est plutôt ranger mais évite quand même d’avoir à nouveau affaire à elle.

Sur la route ils voient un attroupement de personne, ils s’avance et observent une petit fille à corne apeuré, au prise avec l’un des trois garçon aux yeux rouge et ses chevalier sombrent qui lui arrache brutalement son collier. Personne n’intervient face à cette scène tous regard avec des regard fuyant comme si il faisaient semblant de n’avoir rien vu. Le seul qui lèvent le petit doigt c’est Yonne qui intervient.

- Qu’est ce que tu fait Isaac ! Yonne se place entre la petit fille et les gardes sombres.

- Pourquoi t’interpose-tu quand le jeu commence à devenir intéressent ?

- Arrête de te cachez derrière tes gardes sale suceur de sang.

Les chevalier sombrent se poussent laissant apparaître Isaac, un cancrelat habiller comme un prince beaux à l’extérieur mais immonde à l’intérieur, avec son aire narquois qui donne l’envie de l’incendier sur-le-champ.

- Tu m’a traité de quoi infâme mortel, je ne suis pas l’un de c’est bâtard qui se nourris de sang directement dans la nuque du moindre passant, je suis un compte vampire moi !

- Sa te fait marrer d’attaquer plus petit que toi à plusieurs. C’est vrai ça il est où Warren d’habitude tes toujours cachée derrière ton frangin, il doit sûrement comme tout les jours suivre Victor comme un petit chien vous qui lui léchait les pompes à longueur de journée.

- Je ne veux plus entendre un mot ! Hurle Isaac, Garde ! couper lui la langue.

Les chevalier sombre dégaine leur lames et s’avance d’un pas dangereux vers Yonne qui ne semble pas vouloir fuir.

Dess qui est rester dans la foule, panique en voyant le fils de leur épée. Il regarde autours de lui mais personne ne semble vouloirs faire quelque chose, certain se cache déjà les yeux face à ce qui va arriver. Il aperçoit au loin une troupe de garde qui s’en va, ne sachant pas comment attirée leur attention il saisit une pierre . Elle frappe la nuque d’un des gardes qui se retourne assez en colère, Dess se cache dans la foule.

Les chevaliers de Isaac entoure Yonne, l’un d’entre lui attrape le bras il tente de s’en défaire mais il n’y arrive pas, trois autre lui maintienne le bras et les jambe tandis que le dernier sort un couteau et tente de lui faire ouvrir la bouche pendant qu’il se débat frénétiquement.

Surgit de la foule une unités de garde armé, leur capitaine disperse la foule lance à la main, Isaac rappelle ses gardes qui jettent Yonne au sol.

- Ce n’est pas encore terminée. Lance Isaac, contraint de partir.

Dess aide Yonne à se relevée, quand il est à nouveau sur ses jambes il repoussent Dess d’un révère de manche.

- Sa va ?

- Ouais c’est bon, je peux me relevé tout seul. Répond Yonne qui semble reprendre son souffle.

- Tes sûr ? Redemande Dess

- Je te dis que oui

Pendant quelque seconde il se met à l’écart comme pour se calmer, il revient alors un peu plus détendu.

- Suit-moi je sait ou on pourra allez souffler. Affirme Yonne

Les deux reprennent leur route.

Ils arrivent devant une grande maison en bois rustique sur l’enseigne est gravée « la Grande Salle », avec un peu l’ambiance d’une taverne une sorte d’énorme hall sur deux étage ouverts, dans lequel se trouve un bars, une bibliothèque, des bornes d’arcade… Le lieux est vraiment très animée. Yonne donne à Dess une bourse d’or.

-Dépense pas tout trop vite, tu en as qu’une seul par mois. Affirme Yonne en se dirigeant vers les pouf.

Tandis que Dess déambule dans la salle il sent une main lui tapoter l’épaule, c’est Riz. Ils commencent alors à discuter autour d’une partie d’arcade. Bien plus tard Dess cherche Yonne dans tout la maison mais ne le trouve pas. Il le découvert à l’extérieur adosser à un murs. Il semble perdu dans c’est pensée et de pas de très bonne humeur.

- Pourquoi tes pas à l’intérieur ? Demande innocemment Dess.

- Je repense à tout à l’heure, je tes vu partir et quand tes revenue les garde sont arriver.

- Ouais c’est moi qui les est rameter.

Il se lève avec un aire à la fois surpris et furieux.

- Pourquoi ta fait ça ?

- Bah pour t’aider.

- Je tes jamais demander de m’aider !

Le ton se mit à monter.

- Tu voulez que je fasse quoi ils allaient te couper la langue.

- Je m’en sortait très bien sans toi !

- Sans rire, c’est pas ce qui en avait l’aire quand il te tenez avec un couteau sous les yeux !

- C’est pas par ce qu’on partage une chambre qu’on est ami et que tu dois te mêler de mes problèmes !

- Je tes sauvais la vie, tu devrais me remercier !

- Pourquoi tu te mêlent des affaires autre, sa c’est ma vie j’en fais ce que je veux retourne dans la tienne. Yonne irascible part laissant Dess à la Grand Salle.

Dess essaye tant bien que mal de rentrer au dortoirs, en marchant il n’arrente de penser à ce qu’a dit Yonne rien qu’ a penser à cette ingrat il serre les poing de colère. Mais il avait peut-être raison, peut être que c’était un mauvais choix de venir de Refuge.

Quand il lèvent les yeux de sont esprit il aperçoit arrivant vers lui Isaac accompagner de sa garde, il baisse la tête et tente de se faire le plus petit possible. Quand il passe près deux il sent une odeur pestilentiel émaner de c’est chevalier noir ainsi qu’un air froid qui semble les envelopper.

- Stop ! Ordonne Isaac d’une voix net

Comme les gardes Dess s’arrête de marcher et se retourne vers eux.

- Je te connais toi, tu était avec se minable de Yonne.

- Non, je crois que vous vous trompez de personne je connais pas de Yonne. Répond Dess un peu stresser.

- Tu ose me mentir en plus de ça, je tes vu l’aider à ce relever.
- Non, je...eux….

- Garde saisissez-le.

Dess encore à bonne distance se mit à courir aussi rapidement que possible mais il sentit très vites quelque chose lui attraper la cheville et l’envoyer au sol. Deux fantassins l’attrape par les bras et le traîne jusqu’à Isaac.

- Tient le petit rat essayer de fuir.

- Mais je vous rien fait moi.

- Qu’est ce que j’en est à faire, vous tous minable petit mortel ne méritez que d’être éradiquer, ce serait déjà fait si vous ne vous cachiez pas derrière vos dieux.

- Mais qu’est ce qui va pas chez toi !

- Ce qui ne va pas, vous devriez être reconnaissant envers nous pour vous laisse foulez le même sols, mais non depuis que nous sommes arriver nous n’avons eu que du mépris et des insulte c’est mon devoir de vous montrez où est votre place.

- Tes un grand malade tu sais ça.

- Tu sait quoi je suis dans mes bon jour si tu t’agenouille et que tu m’implore pour ta survie je penserait en t’épargner.

Isaac ce mit à observait Dess en attendant sa réponse d’un sourire n’arquait qui démontre le plaisir malsain qu’il ressent à cette instant.

- Va te faire foutre, sale suceur de sang.

- Garde, lapidez-le.

Dess essaye de se débattre du mieux qu’il peut mais il ne relâche pas leur poigne, il sorte leur arme prêt à l’abattre.

- Stop, Isaac qu’est ce que tu fait ! Crie une vois grave au loin

Les garde ne font plus un geste, appairait alors Warren comparer à son frère il a une carrure beaucoup plus imposant mais malgré tout il se ressemble comme deux goutte d’eau avec cette éclat dans le regard qui te dit de ne pas lui faire confiance.

- Arrêt de t’amuser Victor nous attend on est pressait.

- Laisse moi en finir avec lui et j’arrive.

- Non suis-moi immédiatement.

- Mais mon frère lui et son ami ma humilier il nous a humiliez il a oser nous comparer à c’est bâtard de rejeton vampirique il doit payer.

- Bien fait vite

- Merci mon frère, je vais le démembrer morceau par morceau puis le brisez en deux.

- Non ! Répond Warren

- Pourquoi !

Warren gifle sont frère violemment, lui qui se tenait droit fier il quelque seconde et maintenant la tête baisser avec un regard terroriser.

- Qu’est ce que je tes appris !

- Je… Je. Isaac bégaye en essayant de répondre.

- Dans ce genre de situation le meurtre n’est pas la meilleur de solutions, il faut envoyer un message à tout les énergumène de leur espèce pour qu’il apprenne à nous craindre.

- Co … Comment on fait ça.

- Des fois je me demande si nous sommes vraiment frère tout les deux.

- Garde tabassez-le, ne le tuait pas mais faites en sorte qu’il ne puissent plus marchez correctement. Maintenant suis-moi si on nous voit ici on aura des problèmes.

L’un des garde frappe Dess au ventre d’un coup fulgurant, l’impression que ses tripes lui remontent dans le torse tandis qui recul de quelque pas. Il tente de répliquer à son tour mais second gardes lui assené une droite au menton qui le sonne sur l’instant avant que le douleur monte et qu’il touche le sol. Il voit Isaac et Warren s’éloigner tranquillement tandis qu’il se mettent en ronde toute autours de lui et l’enchaîne de coup de pied effréné pendant qu’il se protège impuissant la tête avec c’est deux bras.

Vient alors le premier crac, l’une de ses côte ce casse sous le déluge de coup, une douleur horrible parcoure son corps qui le fait serrer encore plus fort la mâchoire. Tandis qu’une seconde cote se casse Dess relâchent un crie de douleurs effroyable, le spectacle est horrible, il titubent au sols inerte face au coup répéter des chevalier, il n’a même plus la force de se protéger.