Le Vois-tu ? ô ma charmante et tendre douleur !

Ces liens sans cesse se détruire lentement

Vois-tu ? disparaître cette écho de lueur !

Et ce sourire qui s'efface, doucement.

On dit bien souvent que le temps efface tout !

Mais pourquoi pas l’ombre de ta douce présence ?

Ton sourire ? si beau soit-il oui, je l'avoue

Maintenant il ne me reste que ; ton absence...

Toi qui étais comme, mon si brillant espoir

Au final tu t'en vas... et moi, là, je suis seule

Encore dans ce noir, laissée au beau désespoir.

Je suis une fleur que l´on ne peut arroser

Je suis tel un vase vide qui perd splendeur

Je suis semblable au vent, destiné à errer

Chiihir0