Carnetderoses
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" Et me voilà parée de mon plus beau manteau, celui qu’on hérite sans le vouloir, taillé dans le tissu râpé des rancunes familiales. "
Années 2000. Une adolescente découvre une lettre bouleversante, tapée à la machine par sa grand-mère disparue depuis longtemps, et adressée à un inconnu. Elle ne comprend pas tout, mais les mots la bouleversent profondément. Cette femme, qu’elle a à peine connue mais qu’elle a toujours aimée avec force, semble avoir vécu une histoire que personne ne semble vouloir évoquer.
Son père, distant, reste vague à ce sujet. Et pendant que le silence s’épaissit, sa propre vie se complique : ses parents vont se séparer, elle découvre l’amour, les déceptions, les premières vraies questions.
À mesure qu’elle cherche à comprendre ce que cache cette lettre, elle découvre peu à peu l'histoire de sa grand-mère, dans les années d’après-guerre. Une époque marquée par les non-dits, les conventions, les choix impossibles. Et ce qu’elle découvre résonne étrangement avec ce qu’elle vit elle-même.
Ce qu’elle pensait être une simple lettre devient le fil d’une histoire enfouie, qui l’aide à comprendre non seulement qui était sa grand-mère, mais aussi qui elle est en train de devenir.
Années 2000. Une adolescente découvre une lettre bouleversante, tapée à la machine par sa grand-mère disparue depuis longtemps, et adressée à un inconnu. Elle ne comprend pas tout, mais les mots la bouleversent profondément. Cette femme, qu’elle a à peine connue mais qu’elle a toujours aimée avec force, semble avoir vécu une histoire que personne ne semble vouloir évoquer.
Son père, distant, reste vague à ce sujet. Et pendant que le silence s’épaissit, sa propre vie se complique : ses parents vont se séparer, elle découvre l’amour, les déceptions, les premières vraies questions.
À mesure qu’elle cherche à comprendre ce que cache cette lettre, elle découvre peu à peu l'histoire de sa grand-mère, dans les années d’après-guerre. Une époque marquée par les non-dits, les conventions, les choix impossibles. Et ce qu’elle découvre résonne étrangement avec ce qu’elle vit elle-même.
Ce qu’elle pensait être une simple lettre devient le fil d’une histoire enfouie, qui l’aide à comprendre non seulement qui était sa grand-mère, mais aussi qui elle est en train de devenir.
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Fragments d’Âmes – Journal Poétique
Au fil des années, ce carnet s’est tissé comme un journal intime en vers et en rimes, capturant les émotions, les pensées et les instants de vie qui jalonnent mon parcours. Chaque période y laisse son empreinte, reflétant les hauts et les bas, les rêves et les doutes, les rencontres et les absences.
À travers ces textes, je navigue entre l’ombre et la lumière, explorant l’amour, la solitude, l’espoir, le temps qui passe… Ce recueil est un miroir de l’âme, un écho des saisons intérieures, où chaque mot se fait confidences et chaque vers, un morceau d’éternité.
Au fil des années, ce carnet s’est tissé comme un journal intime en vers et en rimes, capturant les émotions, les pensées et les instants de vie qui jalonnent mon parcours. Chaque période y laisse son empreinte, reflétant les hauts et les bas, les rêves et les doutes, les rencontres et les absences.
À travers ces textes, je navigue entre l’ombre et la lumière, explorant l’amour, la solitude, l’espoir, le temps qui passe… Ce recueil est un miroir de l’âme, un écho des saisons intérieures, où chaque mot se fait confidences et chaque vers, un morceau d’éternité.
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Défi
Papi, Pépé, Papou, Papychou, Grand-Pi ou bien encore Dadou... Ces jolis petits noms, je ne te les ai jamais donnés. Non, parce que tu n’existes pas. Enfin, c’est ce que l’on a toujours cru. Mémé Marie n’en a jamais soufflé mot. Pourtant, malgré sa disparition qui ne date pas d’hier, ma mémé chérie a pris soin de laisser quelques traces... L’a-t-elle fait exprès ? Je dirais que oui, la connaissant. Ces indices sont discrets, mais suffisants pour celui qui voudrait vraiment découvrir qui tu es. Il y a une quinzaine d’années, j’ai trouvé une lettre tapée à la machine. La voici : Clermont-Ferrand 17.11.1956 La réponse à ta carte de ce jour sera les duplicatas suivants. Je ne peux répondre à tes mensonges. En effet, tu sors de l’hôpital... mes duplicatas vont te le prouver sur-le-champ. Tu oses mentir à un tel point ? Mes parents et moi, il y a un an que nous avons compris. Mon père va s'en occuper sérieusement, vois-tu, car n'oublie pas qu'il y a mon fils. Tu as abandonné tes trois enfants, Joël ne fera pas le quatrième. J'ai été renseignée par certaines personnes du parc, en permission, qui revenaient d'Alger, et bien, c'est très joli, mais moi, je ne pardonne plus. J'élève mon fils g
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Il était une fois, une petite princesse qui ne voulait pas dormir. Elle s'appelait Cléa et possédait tout de la choupinette royale : des boucles à spirales dorées, des joues en trampoline et des yeux aux éclats de luciole en fête. Chaque soir, avant de fermer les yeux, la petite princesse faisait un tas d'histoires. Elle sautait sur son lit à baldaquin, faisait tournoyer ses oreillers marshmallow et criait : — Moi, j'aime PAS aller au dodo ! La Reine, sa mère, soupirait en remontant la couverture sur son petit nez : — Ma belle au bois sans-dodo, le sommeil est très important pour devenir une vraie princesse. C'est pendant la nuit que tu grandis et que... — Moi, j'aime PAS aller au dodo ! répétait la petite princesse en croisant les bras. Cléa s'endormait toujours de plus en plus tard, après avoir compté tous les moutons-nuages du royaume. Et chaque matin, elle se réveillait de plus en plus grognon, avec les cheveux dressés en pétard et les yeux gonflés comme des pop-corns prêts à exploser. Mais un matin, en se regardant dans son miroir, elle remarqua quelque chose d'étrange : un petit poil noir avait poussé sous son menton. — Maman ! Maman ! cria-t-elle, affolée. La Reine qui donna
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Exercices d'écriture du célèbre livre " Écrire : Un plaisir à la portée de tous " de Madame Faly Stachak. Si cela vous chante, pourquoi ne pas y participer ?
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