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Valériane San Felice

Valériane San Felice
Agdistiae est un monde où chaque être humain naît avec une maitrise de l'Essence autour de trois grands Linéages : les Chloridae qui maitrisent l'Essence végétale, les Animae qui sont dotés de l'Essence animale et les Vulcae pour l'Essence minérale. Il ne s'agit pas de grande magie mais d'un confort pour la vie quotidienne.

Seul un Linéage était doté de grands pouvoirs dans tous les domaines de l'Essence : les Mages, aujourd'hui disparus.

Lelyâh se réveille en bordure de forêt, amnésique. Elle va partir à la quête de sa mémoire et se trouver au milieu d'intrigues de pouvoir car certains veulent conquérir le monde ce qui risque d'engendrer un déséquilibre destructeur. De son côté, Bastus, fils cadet de la Régente de la Contrée Cybeline est appelé à renforcer les armées Animae à la frontière du territoire. Il va se retrouver en première ligne des ambitions de sa mère : conquérir Agdistiae. Aussi loin que remonte la mémoire des hommes, jamais un Linéage n'avait déclaré la guerre à ses voisins.

Avertissement : ce texte contient quelques scènes d'intimité charnelle et de traumatismes de guerre.
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Valériane San Felice
Bastien se retrouve au Japon après cinq jours d'amnésie complète, Archy veille sur lui. Oswald poursuit une quête vengeresse. Cyrielle l'attend, elle a peur pour lui.
Qu'en est-il de Tempérance, l'adolescente joviale, coincée au milieu du tumulte ? Et Jonas, toujours dans la fuite ?
Où nous mèneront les échanges enflammées d'Harold et Suzanne ?
Des personnages haut en couleur et une quête qui va les mener plus loin qu'ils n'osent l'imaginer.

Avertissement : -18ans. Cette histoire contient des faits relevant du tribunal pénal et de crimes contre mineurs. Il n'en fait aucunement l'apologie mais cherche à les dénoncer au travers d'une fiction.
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Valériane San Felice
Un pêle-mêle de mes poèmes en tout genre. Petits instants qui raconte la vie, ses bonheurs et ses tourments.
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Valériane San Felice
R'yline, jeune danseuse au service du roi des Eflammes n'a qu'une obsession : être et rester la favorite, enviée et désirée de tous. Kamal, prince Eflammes vit uniquement pour ses livres et pour les chiffres, au grand damne de son père. Malheureusement, le jeune homme est devenu héritier suite à la mort brutal de son frère, deux solemnum plut tôt. Invisible aux yeux de Kamal qui n'a d'yeux que pour ses ouvrages, R'yline se met en tête de faire succomber le prince. Mais rester la favorite du roi tout en séduisant l'héritier n'est pas sans risque. A ce jeu, la nymphe pourrait fort bien se brûler les ailes.

Avertissement : déconseillé au moins de 18 ans : quelques passages érotiques ainsi que certaines scènes qui peuvent heurter la sensibilité (rapport intime subi).
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Valériane San Felice
De retour sur Altéphée, Hugo est face à une étrange réalité : le temps s'écoule beaucoup plus vite que dans son monde. De fait, Ezio doit sous peu trouver une fiancée, Météora est devenue adulte et Lisa est repartit vivre dans la nature. Le garçon n'a pas le temps de se remettre de ses émotions qu'un messager arrive essoufflé au château : un monstre de bois et de feu attaque la côte d'Altéphée.
Arrivé sur place accompagné de ses amis, Hugo se retrouve nez-à-nez avec Chloé, celle qui aime en secret. Que fait elle ici ? Comment est-elle arrivée dans ce monde ? Et pourquoi son amie se retrouve-elle avec l'ennemi ?
Autant de questions qui vont mener notre jeune héros au-delà des terres connues pour affronter un monstre marin des plus redoutables.

Cette aventure est une histoire écrite à six mains, ma plume s’est mise au service de la créativité de mes enfants, nourrie ensuite de mon imagination. Merci à eux de m’avoir offert ces moments de partage en famille des plus précieux. Hugo n’aurait jamais vu le jour sans eux, mes deux tiberiums magnifiques !
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Valériane San Felice
Notre histoire débute le jour de la sélection des Saïbans. Akma, aspirante vise à rejoindre les troupes d'élite. Elle s'est entrainée durant dix révolutions avec sa soeur V'andale pour ce moment. Elles pourront ainsi avoir une vie plus confortable même si cela signifie aller patrouiller à la frontière où les escarmouches avec les Arrocks font chaque années de nombreux morts.
Nous suivrons ainsi Akma et V'andale évoluer au sein de la hiérarchie Saïban en première ligne et découvrir ce qui se cache derrière les attaques ennemies.
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Valériane San Felice
Émilie se hâte. Avec ce dossier urgent imposé à la dernière minute, elle est sortie en retard. Elle a pris une douche rapide avant de mettre sa nouvelle robe d'été blanche avec une large ceinture bleu marine. Camille doit déjà être en train de l'attendre. Elles ont décidé hier d'aller prendre un verre ce soir car son amie doit lui parler de ses soucis. Elle aimerait des conseils. Lorsqu'Émilie arrive, elle est soulagée de voir que Camille n'est pas encore arrivée. Elle choisit une table au fond de la pièce, au calme, avec des fauteuils pourpres qui ont l'air cosy. Au bout de vingt minutes d'attente, son amie n'est toujours pas là et aucun message pour expliquer son retard. Émilie commence à s'inquiéter. Et elle a bien envie d'aller aux toilettes, mais elle n'est pas motivée à bouger. Au bout de trente-cinq minutes, elle s'agace. Si elle ne pointe pas le bout de son nez dans les deux minutes, elle file. C'est décidé, elle rentre ! Camille va l'entendre ! L'envie d'Émilie n'est plus tenable et elle a bien trente minutes de transport en commun. Elle n'aime pas aller dans un endroit public pour ça, mais là, pas le choix. Elle se dirige vers les toilettes et s'enferme à double tour. Ell
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Valériane San Felice
En réponse à un challenge d'épouvante-horreur sur le thème du monstre du placard.
Ou comment sortir de sa zone de confort et aller dans un genre qui me hérisse tellement le poil que je claque la porte avant de l'avoir ouverte...

ATTENTION : ce texte contient des passages explicitement érotiques ainsi que des scènes de violence et de torture.
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Défi
Valériane San Felice
17h30, l'alarme de mon téléphone sonne pour m'avertir qu'il est temps de partir chercher les loulous à la garderie. Encore deux feuilles à préparer, un post-it pour ne pas oublier ce que je dois installer en arrivant demain, et la consigne du jour pour l'alternante. Je pars : le sac, la gamelle et le manteau et... demi-tour j'ai oublié de faire un point avec le directeur sur le projet en cours. Bon, cette fois, on y va et... je croise une collègue et en éternelle bavarde que je suis ma bouche s'emballe avant que la raison n'ait pu lui intimer d'avancer car il est 17h45, que j'ai 30 minutes de route si tous les feux sont au vert, et la garderie ferme à 18h30. 17h55, la voiture démarre et me voilà à 18h25, 5 minutes de marge, large ! Et là, jogging mental : -le grand commence son analyse Minecraft (oui, il n'a pas encore trouvé le mode d'emploi pour raconter ces journées au grand dam de ses parents, mais nous décrit en long, en large et en travers ses constructions...), -le plus jeune qui m'explique le travail de maths du jour, -mon cerveau m'informe que le diner de ce soir est le chili à réchauffer, que la gamelle du plus jeune (qui ne peut manger le repas de cantine pour cause d'in
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Valériane San Felice
Installée lassivement sur son sofa, elle sent le désir la submerger. Elle y a pensé toute la journée. Enfin, elle va pouvoir l’assouvir ! Mais il n’arrive pas... Levée à l’aube, seule dans son grand lit, l’idée a emergé à peine le pied posé au sol. Tout en prenant le petit-déjeuner, cela est devenu comme une ritournelle : Et pourquoi pas essayer ? Pourquoi ne pas sauter le pas ? Après tout, si elle devait être déçue, ce ne serait qu’un peu d’argent de gaspillé. Bon, certes pas qu’un peu d’argent. Mais elle pouvait se le permettre avec son salaire d’avocate. Partie prestement pour une audience, elle n’a plus eu le temps de garder cela en tête. Mais à peine l’horloge de l‘église faisait-elle résonner les douze coups de midi, que l’envie revint. Pressante cette fois. Il était difficile de se concentrer sur autre chose, même pendant le repas. Bon, c’était décidé, ce serait pour ce soir. Elle ne ferait pas les choses à moitié, le grand luxe ! Elle prit le temps d’effectuer les coups de fil nécessaire à l’organisation de cette soirée, puis repartit pour une nouvelle audience. A vingt heures, enfin libérée ! Elle se dépêche de rentrer car elle a commandé ce moment de plaisir pour vingt he
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Valériane San Felice
— Allo maman, coucou, c'est ta fille. Écoute, je reçois du monde samedi et j'aimerais leur préparer ton couscous qui est à tomber ! — Bonjour ma puce. Oui, aucun souci. Tu as de quoi noter ? — Oui, bien sûr. Je t'écoute... — Alors, il te faut 1 kg de semoule de taille moyenne. C'est important la taille, sinon ça change le goût. Tu l'as bien noté, moyenne la semoule. — Oui, maman t'inquiètes. Ensuite ? — 1kg d'épaule d'agneau. — T'arrêtes un peu ?! — Comment ça, je croyais que tu la voulais ma recette ? Et puis ce n'est pas une façon de parler à ta mère tout de même ! — Ah euh... Non maman, c'est Théo, il est en train de tirer la queue du chat. Vas-y, tu peux reprendre. — Donc j'en étais où... Ah oui, six cuisses de poulet, douze merguez. — Ça pique ? — Ben oui, Lucie, ça pique les merguez. — Rah, maman pas toi, Théo. Il me dit que sa langue le pique. Attends je vais voir. Mais Théo, c'est de la moutarde que tu as pris, pas de la mayonnaise, bien sûr que ça pique ! Prends un peu d'eau et un bout de pain, ça passera. Bon désolé, maman, tu peux continuer. — Le sucre. — Comment ça "le sucre" maman ? Je t'ai jamais vu mettre du sucre dans ton couscous. Beurk, t'es sûre que ça va ? — Oui
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Valériane San Felice
Plus les limbes l'enveloppaient, plus l'encre noire de sa tristesse inondait ses draps. Chaque jour, sa quintessence disparaissait dans le brouillard de sa déraison. Seule la chaleur d'un corps, l'espace d'un instant, faisait renaitre en elle un éclat de vie. Illusion ?
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