Il est facile de juger sans comprendre. C'est ce qu'il va m'arriver lors de cette "vision nocturne" avec un homme d'une quarantaine d'années. Alors que nous rions à gorge déployée, un clic métallique fend le silence. Un tour de clé dans la serrure avant que la porte ne s’ouvre, et voilà que mon cœur s'emballe. Cet homme entre tel un courant d’air. Sec, barbu, les sourcils froncés comme s’il portait en lui une colère permanente. Il referme la porte derrière lui sans douceur, ne lève même pas les yeux vers moi. Un simple regard, même fugace, aurait suffi à… mais rien. Bonjour Aaron comment tu vas, ta journée s'est bien passée ? Bonjour Davinia, ça va, ça va. Mon rendez-vous avec des investisseurs pour la bâtisse de la rue Saint Jean a été concluant. Est-ce que je me pince pour vérifier si j'existe. Même pas un regard sur moi, ignorance totale. Il ne manque pas d'air. Sa manière d’ignorer mon existence n’est pas seulement froide, elle est hostile. Quelque chose dans son attitude fermée et son regard fuyant me rebute d’emblée. Renfrogné, cet homme m'est immédiatement antipathique. Le voilà maintenant qui monte à l'étage sans se retourner. Et alors que je me prépare à mon tour à aller d

Ce "Dictionnaire du Pervers Narcissique" est une œuvre unique en son genre, conçue comme un miroir tendu aux manipulateurs et une bouée de secours pour leurs victimes. Structuré sous forme d’abécédaire, cet ouvrage s’adresse d’abord aux pervers narcissiques eux-mêmes, exposant sans détour leurs stratégies, leurs failles et la toxicité de leurs comportements.

Mais il est aussi un exutoire pour ceux qui ont souffert sous leur emprise. En découvrant cette première partie, les victimes y trouveront une forme de soulagement, une revanche symbolique sur les abus subis : chaque mot, chaque définition dévoile sans fard la vraie nature du manipulateur, mettant en lumière son hypocrisie, ses mensonges et son besoin maladif de contrôle.

La seconde partie, quant à elle, leur est entièrement dédiée. Elle offre un espace de compréhension et de reconstruction, permettant à chacun de poser des mots sur ses maux et de se libérer, lettre après lettre, de l’emprise toxique.

Cet ouvrage est une arme pour ceux qui veulent voir clair, se reconstruire et ne plus jamais être la proie d’un prédateur psychologique.

Oui, c'est la cata. Cat mot anglais pour "chat". Comparés au royaume des chats, nous sommes faibles, et c'est un bien grand mot. Le mien a passé un accord tacite avec celui d'un voisin pour échanger leur place à l'hôtel. Le mien pour l'instant introuvable, Mickey, lui, m'a tout l'air d'un usurpateur d'identité, mais de gamelle surtout. C'est donc la cat'astrophe. Il mange deux fois plus que la normale, comme si j'étais punie de l'avoir recueilli. Je suis donc devenue la "cat'in" de ces maîtresses de félins. Je n'ai plus qu'à me barrer en cat'imini...

Plongez dans un univers où chaque mot éclaire les recoins de l'âme.

Dans 100 Phares, l'auteur vous invite à traverser des récits tantôt lumineux, tantôt sombres, reflets d'une introspection sincère et d'une quête d'authenticité.

Écriture viscérale et poésie brute, cette œuvre unique dévoile un chemin entre vulnérabilité et résilience, pour mieux saisir la lumière dans l'obscurité.

A lire seulement si vous n'avez pas froid aux yeux...

Voici tous mes textes plus ou moins courts que j'ai préféré rassembler en un seul morceau pour ne pas encombrer mon profil et que mes lecteurs se concentrent sur l'essentiel, à savoir des romans, des textes divers, des réponses à des défis d'écriture, des guides pratiques et autres.

Dommage que je ne puisse pas garder chaque commentaire mais je garde en mémoire tous ceux qui m'ont aidée et qui y ont participé.

Merci !

DEFI : "La peur du blanc, de la médiocrité ou du trop long. La peur qu'on ne lise pas ou qu'on ne lise déjà plus. La peur de l'IA plus rapide et plus simple ou la peur de ne pouvoir s'exprimer et de voir les mots remplacés. Qu'est-ce qui vous freine et vous ôte l'ancre de la plume ? (totalement libre, mais pas plus de 5 min, n'hésitez pas à prendre des libertés!)" Alors répondre à ce défi en cinq minutes sans avoir réfléchi avant, ça va être coton. Ma manière à moi d'écrire, c'est de poser quelques lettres, puis un mot, un mot qui se déforme en une expression, qui devient à son tour une phrase. Je ne sais pas faire de page blanche. Lorsque j'écris c'est justement parce que j'ai des - idées, ressentis, souvenirs, histoires etc. - à raconter sinon je ne prends même pas la peine de sortir le stylo. Donc, dans l'absolu, cela signifie : dans ce cas-là je m'occupe à autre chose. La feuille blanche n'est pas blanche pour très longtemps, car mon imagination déborde généralement avant que je puisse noter tout ce qui me passe par la tête. J'en ai presque honte. Je n'ai pas encore dépassé la vitesse de la lumière... ou les paradis artificiels de notre intelligence*. Plus que quelques secondes

Les clés du silence Tous les détails autour de la mort de son père restaient flous, incohérents. Pleins de zones d’ombre. D’abord, cette tache de sang au sol. Puis le trou dans la vitre, causé par les pompiers — du moins, c’est ce que sa mère lui avait raconté. Mais Agathe avait fini par comprendre qu’on ne pouvait croire un seul mot de ce que cette femme disait. Ni hier, ni aujourd’hui. Et puis, il y avait ce coup de téléphone. Un appel étrange, à peine quelques jours avant sa mort. La voix de son père, inhabituelle, presque tremblante, lui demandant de venir le voir au plus vite. Il n’avait donné aucune explication, juste un vague : « Je t’expliquerai. » Un ton alarmé, une urgence incompréhensible. Ou était-ce une énième tentative de la rendre folle ?  Agathe avait hésité. Mais elle se souvenait aussi de tout ce qui avait été dit au tribunal… des actes qu’il avait commis sur sa petite sœur. Et malgré ce doute, cette étrange impression qu’un danger couvait, elle n’avait pas trouvé la force de répondre à cet appel. Mais ce n’était pas tout. La police l’avait contactée pour lui remettre les clés de l’appartement de son père, à elle — sa fille. Et pourtant, lorsqu’elle s’y rendit, c’

Nous avons tous entendu parler de la crise économique, de l'isolement social, de l'inflation galopante, de la crise du logement, et des inégalités qui ne cessent de se creuser.

Face à ces défis, beaucoup attendent des solutions qui viennent d'en haut : des réformes gouvernementales, des aides de l'État, ou des programmes qui semblent toujours arriver trop tard ou trop faiblement. Mais et si la solution était ailleurs ? Et si nous, citoyens, pouvions construire une autre manière de vivre ensemble, sans dépendre des institutions, sans attendre qu'une autorité extérieure intervienne ?
Le projet "Réparer la France" ne consiste pas à réparer un pays défaillant, mais à réinventer un pays où chacun se prend en charge, où l'on se soutient mutuellement. Ce livre est un appel à l'action. Il est une invitation à agir, à faire partie d'un cercle vertueux où solidarité, autonomie et échange ne sont pas des mots creux mais des pratiques quotidiennes.
À travers les histoires de Mme Lefèvre, Thomas, Sarah, Rémi, Mélissa, et tant d’autres, vous découvrirez comment chacun d'eux, à sa manière, contribue à cette réécriture de notre société. De la réutilisation des logements vacants à la création de bibliothèques mobiles, de l'agriculture de proximité à la transmission des savoirs, tous jouent un rôle essentiel dans ce réseau solidaire. Et tous en bénéficient, tout en conservant leur indépendance.
Mais comment rendre tout cela possible ? Le secret réside dans la construction d’un cercle d’entraide où tout le monde y trouve son compte : un panier de légumes pour ceux qui lisent et partagent des livres, des logements accessibles pour ceux qui travaillent, des produits locaux à prix abordables pour ceux qui s'engagent. La réparation n'est pas seulement matérielle, elle est avant tout humaine. Réparer la France, c’est renouer avec une économie de partage, un retour aux racines du troc, où l'humain et le local prennent le pas sur l'argent et la distance.



Ce livre est donc une carte, une boussole, un guide pour chacun d'entre nous qui souhaite contribuer à ce changement. Il ne s'agit pas d'attendre, mais de faire, d’agir, de participer. En cultivant des relations solidaires, en échangeant des services, en redonnant aux autres ce que l'on a reçu. Réparer la France n’est pas un rêve lointain, c’est une réalité à portée de main.

Alors, comment commencer ? Par où commencer ?

La réponse, c’est toi qui la donnes. Ce livre est ton invitation à prendre place dans une boucle vertueuse, un cercle ; à apporter ton expertise, ton temps, et ta bienveillance. Parce que, ensemble, nous pouvons construire une France plus juste, plus locale et plus fraternelle.

"Pas besoin d'un troupeau de moutons, pour savoir où l'on va". *parole reprise d'une cartomancienne, je l'ai trouvée extra, vraiment ;)

Tina Belmont n’a rien d’une héroïne ordinaire.

Autiste, hypersensible et passionnée de lecture, elle vit à travers les livres… et les critiques qu’elle écrit en secret sur des marque-pages qu’elle glisse dans les rayons de la bibliothèque.

Mais quand un agent de sécurité la radie brutalement, tout s’effondre. Forcée au repli dans une maison de repos, Tina entame un lent chemin de reconstruction.

Heureusement, dans l’ombre, une chaîne de solidarité se tisse autour d’elle :
Cody, l'informaticien au grand cœur ; Éléanore, sa sœur volcanique ; Josh, l’agent de sécurité rongé par ses propres démons…

Porté par une plume vive et pleine d’humanité, ce roman est une ode aux trop sensibles, aux oubliés, à ceux qui changent le monde en silence — un marque-page à la fois.

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21/05/2025 ... je l'écris, parce qu'apparemment même les psys sont incapables d'accepter la vérité. Et lorsque je parviens à décrocher la perle rare, bizarrement se présentent des défauts voire une suppression totale de connexion internet ! Que les choses soient claires : les gens que vous prenez pour des dieux, des sauveurs, des victimes ne le sont pas, vous êtes si naifs que vous en arrivez à inverser les rôles. J'ai le droit de le dire, de l'exprimer, de le hurler à vos oreilles même, si vous êtes trop cons ça pourra vous servir. En tout cas je n'ai plus aucune pitié pour ceux qui me font du mal, directement ou indirectement. Pareil à celui que j'ai éloigné de moi à la caisse de mon super U, en lui disant d'un ton ferme "RECULES !" parce qu'il me collait presque alors qu'on était que tous les deux dans la file, voilà vous étonnez pas que je m'énerve, aujourd'hui. Aussi, ça suffit de me faire croire tout et n'importe quoi, que je suis encore une gamine ; on me forcera pas à accepter que je n'ai pas confiance en moi, qu'il me faut faire ci, ne pas faire ça, que je dois apprendre de ça ou ça, toutes vos injonctions de merde, votre énergie négative et vos influences néfastes dans ma

Retrouvez mon recueil de nouvelles et bien plus sur :

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