
Liakey
Rien
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Œuvres
Imaginez le jeu du chat et de la souris , avec seulement une seul personne , le tueur peut il être en même temps un tueur ? A moins qu'il ne serait juste un homme souffrant d'une imagination débordante pour ce croire coupable de tels faits ? Ou serait il victime d'une machination ou d'un complot ?
Tant de questions qui reste non résolue à moins que vous ne lisiez ce thriller psychologique
J'essaierais de poster entre un et deux chapitres par jours
Tant de questions qui reste non résolue à moins que vous ne lisiez ce thriller psychologique
J'essaierais de poster entre un et deux chapitres par jours
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Dans les recoins sombres où se noue la nuit, Le corps de la femme, juste une marchandise de plus, Est exposé, vendu, aux enchères des désirs. Comme une scène de "Blade Runner", où l'humain est réduit À des pièces de rechange, à des objets à posséder. Elles sont Ève née à côté d'Adam, non pas des côtes, Mais dans l'ombre des fantasmes masculins, elles se flétrissent. Leurs visages, leurs formes, passent sous le scalpel, Telles les héroïnes de "Brazil", où la chirurgie dystopique Déforme la beauté naturelle en une grotesque parodie. Elles se font retoucher, comme des pages imparfaites, Dans un livre déjà parfait, mais qui n'est jamais assez. Comme le portrait de Dorian Gray, elles cachent leurs marques, Leur véritable essence emprisonnée derrière un masque De perfection artificielle, une illusion de contrôle. Mais dans ces ténèbres, une lueur d'espoir persiste, Comme le phénix renaissant de ses cendres, elles se lèvent. Elles refusent d'être réduites à de simples marchandises, Elles revendiquent leur liberté, leur dignité, leur vraie valeur. Dans ce monde dystopique, leur révolution s'annonce, Un appel à la vérité, à l'acceptation de soi, à la beauté authentique.
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27 juin 1988 — 04h02 Point de vue de l’enquêteur Je me suis réveillé au milieu du vacarme du monde qui n’existe pas encore. Au début, il n’y avait que le goût du fer sur ma langue et un bourdonnement aigu derrière les tempes. Puis la lumière m’a frappé — crue, blanche, artificielle — et avec elle la réalité : j’étais allongé sur un sol gluant, nuque raide, serviette de fortune serrée contre ma poitrine. Autour de moi, le bois craquait sous mes doigts et quelque chose de froid se collait à ma peau. Le sang. Partout, le sang. La pièce était une nef renversée. Des bancs renversés, des cierges consumés, une odeur âcre de cire brûlée mêlée à la putréfaction métallique du sang encore frais. Les murs étaient marbrés d’éclaboussures — petites étoiles carmin, larges rivières brunes qui glissaient jusqu’au sol. Le silence pesait, saturé d’un long frisson qui vibrait dans mes oreilles. Je me suis redressé, la tête tournante, et j’ai vu ce qui entourait mon corps. Il y avait un cadavre, pas loin — la position indiquait qu’on l’avait peut-être traînée, puis déposée en hâte. Les traits étaient flous, lupins, mais je reconnus le pendentif : un petit crucifix, brisé, posé près de la main. Ses doig
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs
Pourquoi écrivez-vous ?
parce que j'aime inventé des histoire
Listes
Avec L'Odyssée D'Elena...