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Joseph-Antoine

Joseph-Antoine
À peine débarrassé d’une terrible affaire dans Paris, le commissaire Luc Bergerac de la Criminelle est aussitôt appelé en renfort à Rouen pour enquêter sur un crime des plus sordides : la découverte d’un cadavre atrocement égorgé dans la rue Massacre, à côté du Palais de Justice. À première vue, un meurtre plutôt banal. Si ce n’est qu’il s’agit du corps d’un ancien collègue, le commissaire Serge Latour, qui a tenté de le contacter pour le seconder sur un meurtre identique, quelques jours plus tôt. Épaulé de la fidèle commandante en chef Sophie Lavillaire, Bergerac se lance alors sur les traces d’un tueur en série à l’intelligence redoutable. Pourtant, ce dernier sera très vite arrêté quelques jours plus tard par sa collègue, et ira même jusqu’à se suicider après son arrestation. Affaire définitivement close.

Enfin, Bergerac reste néanmoins dubitatif. Jamais il n’aurait imaginé un serial killer aussi naïf. Un détail lui aurait forcément échappé dans toute cette histoire.

Et il n’a pas tort.

Car pendant ce temps-là, Paul H., simple parisien, reçoit un colis. Dedans, un tableau. Mais pas n’importe lequel. Il s’agit de l’Autoportrait, l’origine de tous ses malheurs…
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Joseph-Antoine
L'Infaillible, nouvelle policière extraite du recueil Les Mystères Normands, par Joseph-Antoine.
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Joseph-Antoine
Poèmes et acrostiches, par Joseph-Antoine.
Pour varier des histoires policières à suspense...
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Joseph-Antoine
Le Rêve, nouvelle à suspense.
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Joseph-Antoine
" Tout le monde ignore l’affaire de la « Rose Violette », pourtant regorgée de détails des plus sibyllins !

Tout le monde, sauf moi.

Et je vais vous raconter pourquoi.

Cette affaire a commencé comme ça..."

Nouvelle à suspense
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Défi
Joseph-Antoine
Le jour de ses 21 ans, Ely reçoit en héritage un miroir brisé, accompagné d’un seul mot gravé à l’arrière : "Regarde." Ce soir-là, quand elle ose enfin le faire, quelque chose la regarde aussi… Mon Dieu, quelle horreur ! Ely lâche aussitôt le miroir, qui rebondit et vient se plaquer contre le mur de sa chambre, intact. Elle pâlit de terreur à la vue de la monstruosité qui lui fait face. Une forme oblongue, grisâtre, granuleuse, a l’air de l’observer de ses yeux jaunes globuleux et répugnants. Les pupilles dilatées striées de vaisseaux sanguins éclatés, ils se balancent sur leurs nerfs optiques depuis leurs orbites. A ce masque effrayant s’ajoutent une gigantesque trompe immonde, comme celle d’un moustique, remplie d’une sorte de mucus, de pus jaunâtre, ainsi qu’une considérable langue mauve flasque mais vigoureuse, qui s’échappe d’une bouche tordue et dégoutante munie d’une redoutable rangée d’incisives noires, scintillantes. Létales. Soudain, deux horribles serres crochues de jais, enveloppées d’amples plumes cinabre, jaillissent du miroir, écrasant le mur de sa chambre. Ely reste pétrifiée. Mais quelle est donc cette Chose ? Qu’est-ce que je peux faire ? Elle est à l’autre bout d
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Défi
Joseph-Antoine
"Je sais qui l’a tuée.
Ce n’est pas moi, non, c’est Lui !
L’homme au complet marron, Philip Morris,
L’origine de mes pires cauchemars…"
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Joseph-Antoine
L'Aveu, nouvelle policière issue du recueil Les Mystères Normands par Joseph-Antoine.
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Joseph-Antoine
Une histoire complètement barjo, par Joseph-Antoine.
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Joseph-Antoine
« Oderint Dum Metuant »

« Qu’ils me haïssent pourvu qu’ils me craignent » !

Telle est la première citation de Caligula que l’on retrouve aux pieds d’un cadavre dans un presbytère à St MaryHead, et qui n’est autre que le corps du révérend John Grance, mort empoisonné par du cyanure.
Jacob Sguinfield, inspecteur de Scotland Yard en charge de l’enquête, n’a pas de doute : il reconnaît là l’œuvre du « Latin Lover », un serial killer fanatique du latin qui accompagnait ses meurtres de citations latines signées de sa propre main !

Cependant, « Le Latin Lover » tant recherché est en fait un assassin mort. L’affaire était d’ailleurs déjà classée vingt ans auparavant, en 2012.

Serait-ce donc son esprit qui se venge, tel un fantôme qui sème la terreur sur les londoniens? Pas possible! Sans doute un autre psychopathe qui tente de l’imiter à son tour. Ou alors pire: Scotland Yard se serait-il trompé d’individu depuis le début de l’affaire? On n’est pas à une étourderie près!
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