
Joseph-Antoine
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de toujours
L'Infaillible, nouvelle policière extraite du recueil Les Mystères de Cherbourg, par Joseph-Antoine.
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À peine débarrassé d’une terrible affaire dans Paris, le commissaire Luc Bergerac de la Criminelle est aussitôt appelé en renfort à Rouen pour enquêter sur un crime des plus sordides : la découverte d’un cadavre atrocement égorgé dans la rue Massacre, à côté du Palais de Justice. À première vue, un meurtre plutôt banal. Si ce n’est qu’il s’agit du corps d’un ancien collègue, le commissaire Serge Latour, qui a tenté de le contacter pour le seconder sur un meurtre identique, quelques jours plus tôt. Épaulé de la fidèle commandante en chef Sophie Lavillaire, Bergerac se lance alors sur les traces d’un tueur en série à l’intelligence redoutable. Pourtant, ce dernier sera très vite arrêté quelques jours plus tard par sa collègue, et ira même jusqu’à se suicider après son arrestation. Affaire définitivement close.
Enfin, Bergerac reste néanmoins dubitatif. Jamais il n’aurait imaginé un serial killer aussi naïf. Un détail lui aurait forcément échappé dans toute cette histoire.
Et il n’a pas tort.
Car pendant ce temps-là, Paul H., simple parisien, reçoit un colis. Dedans, un tableau. Mais pas n’importe lequel. Il s’agit de l’Autoportrait, l’origine de tous ses malheurs…
Enfin, Bergerac reste néanmoins dubitatif. Jamais il n’aurait imaginé un serial killer aussi naïf. Un détail lui aurait forcément échappé dans toute cette histoire.
Et il n’a pas tort.
Car pendant ce temps-là, Paul H., simple parisien, reçoit un colis. Dedans, un tableau. Mais pas n’importe lequel. Il s’agit de l’Autoportrait, l’origine de tous ses malheurs…
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Défi
"Je sais qui l’a tuée.
Ce n’est pas moi, non, c’est Lui !
L’homme au complet marron, Philip Morris,
L’origine de mes pires cauchemars…"
Ce n’est pas moi, non, c’est Lui !
L’homme au complet marron, Philip Morris,
L’origine de mes pires cauchemars…"
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L'Aveu, nouvelle policière issue du recueil Les Mystères de Cherbourg par Joseph-Antoine.
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« Oderint Dum Metuant »
« Qu’ils me haïssent pourvu qu’ils me craignent » !
Telle est la première citation de Caligula que l’on retrouve aux pieds d’un cadavre dans un presbytère à St MaryHead, et qui n’est autre que le corps du révérend John Grance, mort empoisonné par du cyanure.
Jacob Sguinfield, inspecteur de Scotland Yard en charge de l’enquête, n’a pas de doute : il reconnaît là l’œuvre du « Latin Lover », un serial killer fanatique du latin qui accompagnait ses meurtres de citations latines signées de sa propre main !
Cependant, « Le Latin Lover » tant recherché est en fait un assassin mort. L’affaire était d’ailleurs déjà classée vingt ans auparavant, en 2012.
Serait-ce donc son esprit qui se venge, tel un fantôme qui sème la terreur sur les londoniens? Pas possible! Sans doute un autre psychopathe qui tente de l’imiter à son tour. Ou alors pire: Scotland Yard se serait-il trompé d’individu depuis le début de l’affaire? On n’est pas à une étourderie près!
« Qu’ils me haïssent pourvu qu’ils me craignent » !
Telle est la première citation de Caligula que l’on retrouve aux pieds d’un cadavre dans un presbytère à St MaryHead, et qui n’est autre que le corps du révérend John Grance, mort empoisonné par du cyanure.
Jacob Sguinfield, inspecteur de Scotland Yard en charge de l’enquête, n’a pas de doute : il reconnaît là l’œuvre du « Latin Lover », un serial killer fanatique du latin qui accompagnait ses meurtres de citations latines signées de sa propre main !
Cependant, « Le Latin Lover » tant recherché est en fait un assassin mort. L’affaire était d’ailleurs déjà classée vingt ans auparavant, en 2012.
Serait-ce donc son esprit qui se venge, tel un fantôme qui sème la terreur sur les londoniens? Pas possible! Sans doute un autre psychopathe qui tente de l’imiter à son tour. Ou alors pire: Scotland Yard se serait-il trompé d’individu depuis le début de l’affaire? On n’est pas à une étourderie près!
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