Sombre d'Ombre
Salut à tous, merci de détacher vos ceintures et de lever les bras parce que "c'est plus drôle quand tu lèves les bras, Maurice !"
Ici Sombre d'Ombre, éternelle en retard, ne vous offusquez pas si je dis lire vos œuvres et que je commence à le faire l'année prochaine.
Je refuse toutes demandes en mariage après 3 h 04. Avant, c'est open bar, n'hésitez pas.
Si vous voulez me lire, n'oubliez pas de prendre un bon verre de rhum et trois bouteilles de whisky si possible. Si impossible, risque imminent de sombrer (check la référence à mon pseudo) dans les méandres de ma folie.
Projet en cours : Héritier en galère (genre : n'importe nawak, résumé : gros n'importe nawak)
Projets en pause : Tout le reste.
Si je ne réponds pas, il faut me harceler, ou me conjuguer un verbe à l'imparfait du subjonctif. Et là, je vous épouserai.
Œuvres
Entre deux cours de rééducation, je pense à toi. Entre deux sourires, je pense à toi. Au détour d'un couloir, au croisement d'une ruelle, c'est toi que je crois voir. Mais tu n'es pas là. Tu ne l'es plus. Et il ne me reste que mes larmes pour te pleurer. Que mes larmes pour te regretter.
J'ai parfois envie de te détester. Tu m'avais promis ! Promis que nous nous reverrions tous les soirs à ce fameux café. Mais tu n'es plus là et pourtant, j'honore toujours cette promesse.
Et je t'attends. Je veux que tu reviennes. Entre deux lettres que tu ne liras jamais, entre deux sanglots qui me brûlent la poitrine, je me remémore les mots que je n'ai jamais osé te dire.
"Je t'aime".
UPDATE : Texte mis en pause théoriquement, mais je continue à publier. Enfin des fois, ça dépend. Je reste disponible.
AVERTISSEMENT : Œuvre TRÈS étrange et glauque. De piètre qualité, je m'en excuse par avance.