
Ghostly Bloom
Hello!!✨✨
Je m’appelle Ania, j’ai 18 ans et je viens d’Algérie.
J’écris pour donner une voix à ce que les autres préfèrent taire — des poèmes sincères, des histoires profondes, souvent nées de la solitude, du silence ou de la vérité que l’on cache.
Je suis quelqu’un de sociable, avec un cœur ouvert, mais j’ai compris que certaines personnes te ferment des portes simplement parce que tu es jeune.
Moi, je pense que la maturité ne s’impose pas par l’âge, mais par ce qu’on traverse, ce qu’on ressent, et ce qu’on choisit d’être.
Alors j’écris.
Parce qu’à travers les mots, je laisse parler ce que le monde ignore.
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œuvres
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défis réussis
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"J'aime" reçus
Œuvres
Dans un village reculé balayé par le vent et le silence, une femme vit dans l’attente de l’homme qu’elle aime, disparu depuis un mois après lui avoir promis de revenir. Chaque matin, elle affronte le vide laissé par son absence : les souvenirs, les odeurs, les gestes effacés. À travers le vent glacial et les paysages figés, elle tente de garder espoir, mais le doute s’installe peu à peu. Le Dernier Souffle du Vent explore la frontière entre l’attente et le renoncement, la mémoire et l’oubli, dans un monde où le silence semble murmurer plus fort que les mots.
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Ce poème, intitulé « Les cicatrices du silence », explore la nature complexe de la souffrance. Il décrit la douleur comme un feu intérieur, silencieux mais puissant, qui blesse sans toujours se voir. À travers des images fortes, il souligne à la fois la fragilité et la résilience de l’âme humaine, montrant que la souffrance, bien qu’elle déchire, peut aussi forger une force nouvelle. C’est un hommage à ceux qui portent leurs blessures en silence et qui cherchent, malgré tout, la lumière au bout de l’obscurité.
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Ce poème est un cri silencieux.
Il raconte l’histoire d’une âme brisée, d’une personne qui portait en elle un rêve de liberté, un désir profond de s’envoler… mais que la vie a enfermée.
Chaque strophe est un reflet de la douleur intérieure, de ces chaînes invisibles que l’on porte : les attentes des autres, les blessures du passé, la solitude, le manque de reconnaissance.
L'image des ailes attachées représente le potentiel étouffé, la lumière éteinte, les rêves que l’on a empêchés de naître.
Même quand elle tente d’espérer, tout l’abandonne : le vent, la lune, le monde.
C’est un poème profondément triste, mais aussi d’une sincérité brutale.
Il ne cherche pas à consoler.
Il ose dire : « Je souffre. Je ne veux plus faire semblant. »
Et en cela… il touche droit au cœur.
Il raconte l’histoire d’une âme brisée, d’une personne qui portait en elle un rêve de liberté, un désir profond de s’envoler… mais que la vie a enfermée.
Chaque strophe est un reflet de la douleur intérieure, de ces chaînes invisibles que l’on porte : les attentes des autres, les blessures du passé, la solitude, le manque de reconnaissance.
L'image des ailes attachées représente le potentiel étouffé, la lumière éteinte, les rêves que l’on a empêchés de naître.
Même quand elle tente d’espérer, tout l’abandonne : le vent, la lune, le monde.
C’est un poème profondément triste, mais aussi d’une sincérité brutale.
Il ne cherche pas à consoler.
Il ose dire : « Je souffre. Je ne veux plus faire semblant. »
Et en cela… il touche droit au cœur.
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs
Pourquoi écrivez-vous ?
J’écris parce que c’est ma manière de respirer quand le monde devient trop lourd. Les mots me permettent d’exprimer ce que je ressens profondément, surtout ce que je n’arrive pas à dire à voix haute. J’écris pour transformer mes douleurs, mes pensées et mes silences en quelque chose de beau, même quand tout fait mal. C’est mon refuge, mais aussi ma manière de parler aux autres, de leur montrer qu’ils ne sont pas seuls.