J'ai toujours vécu, comme dans un autre monde. Pas vraiment à ma place dans ce monde. Toujours eu besoin d'amour que jamais je n'ai pas reçu. Peut-être étais-ce à cause de ma famille qui me rejetait ou car tout ça ne m'appartenait pas. J'ai eu le cœur tellement de fois brisé, par ces humains, que je ne cherchais même plus à avoir des contacts physiques. Tout le monde c'est que les humains sont des aimants. il ont besoin de contact que se soit dans une poignée de mains, soit un simple touché d'épaule. Pour ma part même ça je ne recherche pas. J'attends la fin de ma vie, ou une apocalypse. Qui c'est peut être ma place, serait dedans une orde de zombie. Mais pour le moment, je suis derrière ce bureau depuis cinq ans ou ce malfrat de proviseur, ne pense qu'à lui et a ces conquêtes. Un soir d'automne, alors que les feuilles sèches de la saison tombèrent, je rentrais chez moi, la journée était longue. Je tombais de fatigue devant cette église qui sonna le clairon. Un animal m'attaqua à la gorge, j'ai perdu les derniers espoirs de mon âme. Depuis se jour là, je suis restée Immobile dans cette rue une âme perdu. Personne ne pue me faire revenir à moi.

Le feux? Le feux ma toujours attirée tel un démon qui te tend les bras pour t'en menée au enfer. Se friçon que tu ressens, quand quelqu'un t'observe dans l'ombre de la nuit. J'en ai peur, malgré que sa m'attire tel qu'un aimond sur une porte d'un frigo. j'aime ces couleurs rouge, orange et jaune, cette chaleur qui rejette mon âme, si on le touche il nous crame sur l'instant. Doux, douloureux et dangereux, mais aussi beau qu'un coucher de soleil. Sur ce feu de camp, je fais cuire mon chamallow, tout on regardant ces flammes et ces braises qui s'envolent au vents. J'entends autour de moi, tout le monde parler et rire. Mais je suis comme figer sur ces flammes, je sens quand me porte des regards inappropriée sur ma personne. Rien ne peux me faire bouger en ce moment même, je suis figée dans cette atmosphère de bien être, que rarement je ressens. Le feux, de ces grande flamme me possède. Il a tellement de pression sur moi, que si il me donnerait un ordre, comme une esclave, je lui ferais que bon lui semble a jamais. Lexy.