Ambroisine Marin de la Tour d'Aguet doit épouser le duc de Solmignihac, propriétaire de mines d'or en Guyane. Mais le futur marié n'est pas rentré de ses "terres" comme prévu. La jeune femme décide donc de partir à sa recherche, accompagnée d'un garde-du-corps taciturne et d'une capitaine de caboteur, plutôt forte tête.




Attention, l'histoire se passant dans un passé imaginaire mais se voulant réaliste, certains termes ont été utilisés pour l'atmosphère. Il ne reflètent en rien la pensée de l'auteur.
Certaines des scènes décrites ne conviennent pas à un public mineur et/ou sensible.

La Guyane recèle bien des légendes, dont celles des terribles Oyacoulets ! Mais toute histoire, même inventée, possède un fond de vérité. Celle-ci fait-elle exception ?

Plongez dans l'enfer vert en compagnie de deux explorateurs intrépides et vérifiez-le par vous même.



Nota : Cette nouvelle est extraites de mon roman Les brumes du Maroni. Elle contient une scène de violence.

22 juin 1941, le premier sergent Piotr Džunkovskí et ses camarades se retrouvent plongés dans l'opération Barbarossa. Une guerre d'une sauvagerie sans nom les emporte. Mais dans la fureur des combats, surgissent les fantômes d'un passé tourmenté. Et lorsque le commandant Boriz Iliǒvenko, officier honni, réapparait dans la vie du pilote, une lutte à mort semble alors s'engager.

"L'ultime preuve" était mon premier texte sur le fétichisme des chatouilles. Il me trottait cependant l'idée d'une œuvre plus grande, plus complète sur le sujet. J'ai longtemps tâtonné, essayé de rédiger d'autres scènes, parfois un peu folles, sans jamais arrivé à être satisfait.

Je vous propose ici un ensemble de courts textes illustrant différents points. Cela va de la pratique générale à des prérequis essentiels comme... le consentement et... la confiance mutuelle à établir entre partenaires - et qui semble une espèce disparue dans des oeuvres populaires. Prenez-les comme vous le voulez, une porte d'entrée pour en savoir plus où une simple distraction coquine... voire un truc pour vous marrer. Mais n'hésitez pas à me laisser vos retours.

Comme il s'agit d'une œuvre à dominante érotique, elle est déconseillée au moins de 18 ans.

Un ensemble de textes plus ou moins courts, écrits au gré de mon inspiration.

Mais qu'est-ce qui m'a pris de relever ce défi ? J'ai à peine eu le temps de voir la flèche de la souris que l'option était sélectionnée ! Le stoïcien qui sommeillait en moi a vu l'occasion de s'exprimer.

"Ne cherche pas que les évènements arrivent comme tu veux, mais veuille les évènements comme ils arrivent, et le cours de ta vie sera heureux", alors maintenant que le "mal" est fait profitons de l'occasion qui nous est donnée.

Screugneugneu ! Encore des micro-nouvelles ! pesteront certain·e·s.

Oui, je micro-novellise. Mais, je me suis fixé un défi supplémentaire : faire entrer ces minuscules textes dans le même thème. Vous aurez compris grâce au titre.

Ce texte est dédié à Magda Smuelovicius.

Petit extrait de mon roman (encore inachevé) "Une histoire d'honneurs".

Pas besoin d'avoir lu les chapitres précédents, ce morceau peut se suffire à lui-même. Je l'ai déjà modifié pour qu'il cadre mieux avec le contexte du défi. De mon point de vue, cela le rendra plus intéressant et permettra de mieux répondre à la lectrice qui m'a suggéré une des idées de base - encore merci Emystral.

Le texte a cependant besoin de vos avis pour arriver à créer le renversement voulu. Piotr, bouleversé par ce qu'il va apprendre sur sa "compagne" Marďijcka, tentera de trouver réconfort et consolation auprès de la personne qui lui a ouvert les yeux. C'est l'idée de ce chapitre, montrer le désir qui nait du dépit, du besoin de le faire disparaître... et le plaisir fugace qui en nait.

-18 ans, allez faire vos devoirs !

CV

Un petit texte écrit sur le pouce et sans prétention mais avec l'espoir de vous plaire.

À Pierre Clostermann, à qui je dois tout.

"Sûr de l’affection de notre admirable armée qui lutte, avec un héroïsme digne de ses longues traditions militaires, contre un ennemi supérieur en nombre et en armes ; sûr que, par sa magnifique résistance, elle a rempli ses devoirs vis-à-vis de nos alliés ; sûr de l’appui des anciens combattants que j’ai eu la fierté de commander, sûr de la confiance du peuple tout entier, je fais à la France le don de ma personne pour atténuer son malheur. [...]
C’est le cœur serré que je vous dis aujourd’hui qu’il faut cesser le combat."

"Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des armées françaises, ont formé un gouvernement. Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s'est mis en rapport avec l'ennemi pour cesser le combat. [...]"

Vous croyez vraiment qu'on va la rejouer ? Comme si l'histoire n'avait que ça à faire, de repasser les plats !