
Tim Uriac
Les plus lues
de toujours
Qui que tu sois, ne cherche pas à me contacter. Je ne veux plus voir d’humain sur cette Terre. Alors, je te conseille de fuir dans un trou bien profond avant que je ne vienne t’exécuter. L’humanité avait ce, je ne sais quoi de pourri et ce n’est pas l’apocalypse qui l’a changée.
Je ne doute même pas que tu lises la suite. La curiosité est tellement banale chez les humains. J’en ai payé le prix fort.
D’ailleurs, tu ferais bien de te dépêcher de lire. Si je te vois, je n’attendrai pas que t’ai fini pour te faire exploser la cervelle. Peut-être même que tu ne connaîtras pas ce moment de surprise quand j’aurai mon Colt braqué au sommet de ton crâne.
Comme tu le vois, la solitude est ce que je préfère le plus. C’était totalement différent par le passé.
Je vais t’expliquer mon histoire qui commence à peine un jour après ma naissance.
Je suis né en 2035 à l’hôpital Newburgh de Portland. Bien que je ne m’en souvienne pas, ce fût le seul jour de ma vie que je ne subissais pas. Ne sois pas surpris, je n’ai jamais dit que ce serait une histoire heureuse.
Bref.
Ce jour-là, comme toutes les personnes qui venaient de donner naissance à leur enfant, mes parents se tenaient des heures devant la vitre du dortoir. Je ne sais pas comment ils appellent cette pièce. Et je n'en ai fichtrement rien à faire.
Ma mère était plutôt grande, un mètre quatre vingt et mon père la dépassant de presque dix centimètres. Elle était blonde, les cheveux jusqu’au bassin quand ils bouclaient naturellement.
Mon père, comme moi, était brun avec une coupe militaire pour cause : son métier.
Adam Lane. Ce nom te dit peut-être quelque chose ? Oui. Le militaire le plus décoré de tout le pays. Il était même dans sa tenue lorsqu’il est arrivé à l’hôpital. Car moi, ce bébé qui chialait si fort qu’il faisait chialer les autres bébés, j’avais décidé de sortir treize jours plus tôt que prévu. Heureusement pour mon père, il n’était pas de terrain en cette période.
Mon père était riche. Vraiment riche. Si riche qu’il s’était un jour décidé d’acheter le Shelter Arbor Inn – qui était un hôtel – et d’en faire la maison familiale.
Ma mère ne travaillait pas. Pour elle, travailler était un métier d’homme. Elle me racontait parfois que quand mon père partait et qu’elle en avait terminée avec le ménage, elle s’asseyait en tailleur sur le canapé pendant des heures à l’attendre. C’était son idée de la femme féminine.
Elle disait :
“ – J’ai tellement de chance d’avoir ton père. Et si peur qu’il lui arrive quelque chose, Jamais de sa vie, il n’a dévié de son but de vouloir rendre le monde meilleur.
Et quand j’en parlais à mon père, il me répondait :
– Et moi, tu ne vois pas la chance que j’ai ? Ta mère est courtisée par tous les hommes qui la croisent. Je suis terrifié à l’idée qu’un jour, le regard qu’elle porte sur moi atterrisse sur quelqu’un d’autre. Que ta mère en aime un autre que moi, même l’enfer ne pourrait faire pire.”
C’est ce dont je me souviens. Après mes cinq ans, c'était compliqué de parler de mon père dans la famille.
Mais je garde ça pour plus tard.
Revenons-en au lendemain de ma naissance. Mes parents étaient partis se coucher. Ou plutôt, mon père dormait au chevet de ma mère, laissant les infirmières s’occuper de nous, les sirènes ambulantes.
Au milieu de cette nuit sans étoile, une infirmière m’a pris dans ses bras.
Excuse-moi de ne pas me souvenir. Je ne fais que raconter ce que j’ai entendu de mes parents et je les ai toujours crus. Croyant jusqu’à la moelle, le mensonge était péché, même pour le plus petit d’entre eux.
Une infirmière, comme je disais, m'a pris dans ses bras, moi qui commençais à pleurer.
Mes parents apprirent plus tard que cette femme-là avait normalement terminé sa journée à dix-sept heures pétante et il était aux alentours de trois heures du matin.
Sa chevelure rousse était la seule parmi tous les employés de l’hôpital et même la toque sur sa tête ne cachait pas sa longue tresse le long de son dos.
Les sages-femmes de la veille ont fait pâle figure quant à la facilité que celle-ci avait pour me calmer en me laissant jouer avec ses cheveux comme j’étais son propre fils.
Les caméras ont facilité la tâche d'identifier cette femme contrairement à sa disparition et à mon berceau vide lorsque mes parents se sont réveillés.
Tu peux te dire “ça arrive. Des parents qui ont perdu leurs enfants seraient prêts à tout pour vivre comme un parent.”
Pas quand il s’agit du huitième enfant enlevé dans l’année. Et pas quand les seuls enfants enlevés sont ceux de personnes importantes.
Il y avait dans cette liste les enfants de :
– Katarina Ankov, prix Nobel de la paix (quelle ironie). Donnant naissance à une fille qui ne connaîtra jamais son père, parti lors de l’annonce de la grossesse.
– Stanley Whittaker, le nouvel auteur sensation dans le monde du polar. Sa fiancée morte pendant l’accouchement. Lorsqu’il apprit la disparition de sa fille, il s’est pendu. Sa cravate a craqué avant qu’il ne rende son dernier souffle et les infirmières l’ont sauvé de justesse. Pas malin de tenter de se pendre dans un hôpital.
– Adam et Charlotte Lane – mes parents – ont bien failli divorcer par ma faute. Ma mère devenait de plus en plus “masculine” comme elle disait. Elle ne voulait plus dépendre de rien. Mon père la laissait faire, mais c’est lui qui avait commencé à faire les papiers du divorce qu’il cachait dans un endroit que maman et moi avions retrouvés après sa mort.
– Christian Tyler et Janette Moirene Rain. Bien que leur relation ait été discrète, ils ont eu du mal à cacher la disparition de leur fille. Christian à arrêter son travail de bureau et est devenu homme au foyer, quant à Janette, elle n’a fait que des rôles piteux lorsque les directeurs de casting avaient pitié d’elle et parce qu’elle était Janette Moirene Rain. Elle est morte d’une crise de foie, plongée dans l’alcool.
– Aurore Sage et Sarah Sterling. Ces deux dernières étaient un cas aussi étrange que spécial. Aurore, étudiante en master psychologique, major de promo alors qu’elle n’avait que dix-neuf ans, s’était fait violer au milieu de Londres sans que personne ne lui vienne en aide. C’est Sarah, sa petite amie qui dès qu’elle a appris l’atroce nouvelle a convaincue Aurore de partir avec elle dans l’Oregon une fois le procès terminé. Aurore avait décidé de garder l’enfant, ou plutôt les quatre enfants qu’elle avait mis au monde. Cela ne lui faisait ni chaud, ni froid de voir que les quatre avaient disparu le lendemain, tandis que, Sarah fit plusieurs crises de panique dans la journée.
Toutes ces disparitions ont évidemment été très médiatisé pendant un. Cette connerie humaine qui disait “regardez, quelqu’un souffre, ça ne doit pas faire du bien.”
Les gens avaient ce sourire sournois alors que la première page laissait une grande place pour des politiciens ayant trompé leurs femmes ou envoyés leurs bites à des mineurs.
Les forces de l’ordre étaient enfin affectées dans les hôpitaux. Il ne leur a fallu que huit enlèvements pour agir.
Tu veux que je te dise ce qu’il s’est passé ensuite ?
Rien.
Absolument rien jusqu’à la nuit de Noël. Soit, quatre mois plus tard.
Entre vingt-trois heure et minuit, nous (tous les bébés) étions retrouvés au pied de la porte familiale, blottit dans un landau, dans un calme olympien. La seule différence que nous avions par rapport au jour de notre naissance était des cheveux en plus et une marque en lettre grecque sur l’avant-bras gauche. J’avais “Σ” bien visible sur mon bras. Mes parents – et je suppose que les autres aussi – ont effectué un test ADN concluant que j’étais bien leur fils.
Eux qui ne m’avaient toujours pas trouver de prénom et croyants au miracle de Noël ont alors décidé – en référence à cette marque – de m’appeler Sigma.
6
9
51
10
Après avoir été sauvé par ses parents de la guerre dévastatrice qui a englouti sa planète natale, Duhvhehd se retrouve inexplicablement échoué sur Terre. Bien que son corps ait grandi, son esprit reste emprisonné dans l'innocence de l'enfance. Livré à lui-même dans le tumulte d'une ville foisonnante, chaque bruit devient un écho de ses peurs, tandis qu'il tente désespérément de maîtriser les pouvoirs énigmatiques qui ont émergé depuis son arrivée.
C'est avec l'aide de la femme qui l'a sauvé qu'il apprend à maitriser se pouvoirs et ses peur, Skylar : une femme au pouvoir de feu, indifférente face aux humains qui ne souhaite que vivre sa vie.
À mesure que Duhvhehd fouille les recoins mystérieux de ses origines et de ses pouvoirs, sa planète d'origine conduit Skylar à le haïr, remettant en question chaque étape de leur parcours commun.
C'est avec l'aide de la femme qui l'a sauvé qu'il apprend à maitriser se pouvoirs et ses peur, Skylar : une femme au pouvoir de feu, indifférente face aux humains qui ne souhaite que vivre sa vie.
À mesure que Duhvhehd fouille les recoins mystérieux de ses origines et de ses pouvoirs, sa planète d'origine conduit Skylar à le haïr, remettant en question chaque étape de leur parcours commun.
0
0
0
15
Le condamné à la chaise électrique pour l'atroce meurtre de la serveuse écarlate prononce ses derniers mots. Il révèle alors tout le procédé qui l'a mené au jour de son exécution, se trouvant être bien plus sombre et différent que n'avaient pensés les autorités. Pourquoi ne parle-t-il qu'à l'approche de ses derniers moments ?
1
2
3
3
- Au feu! Je crie dans la bibliothèque, trébuchant contre une échelle et le noir complet.
Je me réveille en sursaut. Mon coeur bat à mille à l'heure. Je m'agrippe à quelque chose car je sens mon corps tombé. C'est d'un matière rèche. Du cuir. Un cuir noir. Je me relève et remarque que je suis assis sur un canapé. Ce n'était qu'un rêve ?
- Doucement mon pote, Me dit un gars.
Je tourne les yeux, la tête suit. Difficilement. J'ai des courbatures partout. A des endroits de mon corps que je ne connaissais même pas.
Le parquet est recouvert de feuilles et de cahiers et la table basse en verre est en mille morceau. Je suis somnanbule ravageur qui détruit tout sur son passage ?
Je vois deux énormes mollets veineux assis à côté de moi. Je lève la tête vers son visage. Une carrure aussi musclé qu'un bodybuilder. Des veines partout et prêtes à exploser. Et je suis presque sur que s'il se met debout, le crâne chauve de ce type fracasse le plafond. Etrangement, il ne m'effraie pas.
- Tu sais Damon, en ressuscitant ici, tu as faillit nous tuer Christine et moi. Tu devrais faire attention la prochaine
Qu'est-ce qu'il me raconte celui-là ? Bon. Au moins, je sais comment je m'appelle. Un début.
- Tu m'explique ce qu'il se passe ?
Wow ! Ma voix m'a fait peur. On la dirait sortie d'un autre monde. C'est comme si chaque mot sorti de ma bouche disait "mort, mort! MORT!". Je regarde mes mains. Elles sont fines. Squelettiques.
- De quoi tu ne te souviens pas cette fois ?
C'est pas la premère fois ? Je lâche un rire.
- Tu veux dire : de quoi je me souviens, plutôt ? Rien. Tout ce que je sais, c'est que je m'appelle Damon parce que tu m'a appelé comme ça. A moins que ce ne soit une mauvaise blague ?
Il panique et en se caressant l'arrière de son crâne, me fait un sourire gêné tout en m'assurant qu'il s'agit bien de mon prénom.
- Et toi, t'es qui ?
Il fait des yeux si ronds que je croit y voir un visage de hibou pendant un moment. Ce qui aurait pu être comique si la situation était à mon avantage.
- Je... euh... Je m'appelle Létal. Je suis ton meilleur ami. Enfin... Je crois. Mais... Tu l'es pour moi. Mon... Meilleur ami
Ma voix, je commence à m'y faire. C'est comme si je pouvait faire peur aux gens rien qu'avec celle-ci. Et ça, c'est marrant.
Une femme rentre par la porte d'entrée. Elle n'y a pas insérée de clé. C'est bon signe. Ce qui veut dire que je ne suis pas enfermé. Mais ! Elle est pieds nus ! Et ses pieds fument sur le parquet. Je vois son regard se porter vers moi en-dessous de sa casquette qui me fixe sans broncher alors que ce "Létal" évitait mon regard.
Je vais tenter d'expérimenter ma voix sur celle-là. Ce qui ne devrait pas être compliqué.
- Toi aussi, t'es qui ?
Elle est figée et continue de me fixer. Létal me prends doucement le bras me disant d'arrêter mais je ne lui prête pas attention. C'est trop plaisant de faire peur aux autres. Surtout de voir ce genre de réaction.
- Hé oh ! Je te fait si peur que ça ?
Sans me lâcher du regard, elle fait un pas puis deux et plus elle s'approche, plus je vois son visage se crisper. Elle me jette l'intérieur de sa tasse bouillante à la figure. Du café. Noir. Je regarde le liquide coulé et je me rends compte que je suis aussi habillé qu'un naturiste. Ce qui apparement n'a l'air de gêner ni moi, ni les autres. Et j'ai une autre préoccupation. Cette salope qui m'envoie son café dans la gueule.
- Mais ça va pas !? Qu'est-ce qui te prends !?
- La prochaine fois que tu ressuscite dans le salon, c'est pas ma tasse que tu recevra dans la gueule mais mes flammes !
Elle me lance la tasse et me dit que je la nettoierai quand j'aurais rangé le bordel que j'ai foutu dans le salon. Bon. C'est officiel, je sais ressuscité. Létal me passe une lingette. Je m'essuie le visage. Il me passe un peignoir vert foncé et je lui demande ce qu'il se passe et qui est cette connasse qui vient de rentrée.
- On est tous les trois colocs et Christine, celle qui viens de rentrer est aussi notre meilleure amie-
- Elle n'en a pas l'air, lui dis-je en le coupant.
- Elle à toujours eu son tempérament et t'as toujours été le seul à pouvoir le gérer.
J'avais bien remarqué qu'elle avait son tempérament. Faut que je fasse gaffe à cette là. Je ne sais pas pourquoi mais je ressens une certaine animosité envers elle et le café n'a pas améliorer les choses. Peut-être qu'elle pourra m'en dire plus sur ce qu'il se passe. Je me lève mais Létal semble avoir compris ce que je veux faire et me retiens d'une de ses grosse mains poilues. Je tente de me dégager mais il me tiens fermement sans bouger d'un pouce. Mais c'est quoi ce mec ?
- Lâche-moi !
Ma voix résonne dans tout le bâtiment. Une légère secousse. Le plafond s'effrite, laissant couler un filet de poussière. Létal me lâche hâtivement et me marmonne un truc. Je dois approcher l'oreille et le faire répéter pour entendre ce qu'il me raconte.
- T'es peut-être son meilleur ami mais si tu la dérange pendant ses révisions, elle va te pulvériser.
- C'est toi qui a peur d'elle, pas moi.
Je sens une chaleur derrière moi. Comme si le soleil me caressait le dos. Comme s'il me caressait le dos, prêt à me réduire en cendre depuis l'intérieur de mon corps. Pourquoi n'ai-je pas peur ? Sûrement parce que je peux ressusciter. Je croise le regard de Létal. Un regard bancal.
- Elle est derrière moi, c'est ça ?
Il ne réponds pas mais garde les yeux rivés sur les miens. Je me retourne. Christine est revenue. Elle ne semble pas énervée. Elle semble plutôt... Indifférente. Je ne sais pas si c'est bon ou mauvais signe. Elle à gardée sa queue de cheval dans sa casquette mais par-dessus son large t-shirt blanc, elle est emmitouflée dans un cardigan gris qui ne descend même pas à la ceinture de son jean. Je la regarde. Elle me regarde aussi sans changer d'expression. Je remarque une autre tasse dans ses mains. L'intérieur semble être du café. Du café en ébullition.
- Si tu me renverse ce café, je te jure que tu va me le payer.
Je n'ai aucune idée de comment je pourrait me venger si elle le fait mais j'en trouverai une. Elle n'en fait rien et penche la tête pour regarder au-dessus de mon épaule.
- Létal ? T'as pas cours à cette heure-là toi ?
- Oh merde ! C'est vrai !
Je tourne la tête et je vois Létal mettre une veste de smoking vert foncé au-dessus de son veston de la même couleur. Il met la veste avec précipitation en prenant soin de ne pas la déchirer avec ses gros bras et son large dos. Il s'approche. Me fait un bref sourire et regarde la tasse dans les mains de Christine.
- Tu sais que c'est interdit d'utiliser tes pouvoirs en dehors des cours ? Lui demande-t-il.
- Tu as raison, lui répond-elle. Je finis celui-là maintenant et le prochain je le fait au micro-ondes.
Elle lève la tasse. Jusqu'à ce ce que son bras soit tendu au-dessus de ma tête. Elle n'oserai pas !? Je la regarde dans les yeux. Elle me regarde avec la même indifférence depuis tout à l'heure et je sens un liquide couler sur mes cheveux. Quelques gouttes tombent dans mon oreille gauche. Sur mes yeux. Je ne bouge pas mais mon expression change. Elle a osée !? Létal lâche un petit rire. Je le regarde avec rage. Il continu de rire. Je regarde Christine. Elle sourit. Un sourire de défi. Mais où est-ce que je suis bordel !?
- Tu devrais faire attention, Damon. T'as une petite tâche de café, tu sais, juste ici, dit Christine en pointant mon visage du doigt.
Elle me tourne le dos et se dirige droit devant vers la cuisine éclairée par le soleil. Létal à ma gauche vient de passé le pas de la porte d'entrée alors que je reste planté là comme une statue.
- Vous avez toujours été des cons ? Je leur demande. Ce à quoi Létal me réponds :
- Tu nous a choisi comme amis-
- C'est qui le con maintenant ? Continuat Christine en levant sa tasse en arrivant au fin fond de la cuisine.
Létal claque la porte et Christine prépare son café.
0
0
0
6
Pour la première fois, depuis dix ans de couple, Orah est forcée de quitter Julian pendant des mois après être acceptée au travail de ses rêves.
Cependant, comme le destin l'aurait fait, les circonstances conspirent contre eux, conduisant à une série d'événements imprévus qui les séparent de plus en plus longtemps. Qu'est-il arrivé à Orah ? Pourquoi Julian est-il si distant ?
Amour, Mensonge, temps qui passe. Comment le géreront ils les aléas de la vie ? Et comment arriveront ils à maintenir leur relation ?
Cependant, comme le destin l'aurait fait, les circonstances conspirent contre eux, conduisant à une série d'événements imprévus qui les séparent de plus en plus longtemps. Qu'est-il arrivé à Orah ? Pourquoi Julian est-il si distant ?
Amour, Mensonge, temps qui passe. Comment le géreront ils les aléas de la vie ? Et comment arriveront ils à maintenir leur relation ?
2
0
0
19
Vous êtes arrivé à la fin