Suivez, soutenez et aidez vos auteurs favoris

Inscrivez-vous à l'Atelier des auteurs et tissez des liens avec vos futurs compagnons d'écriture.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
Image de profil de null

Hòru Arekusandà

Hòru Arekusandà
Extrait tiré de mon recueil de poésie contemporaine, Hypoxie Sentimentale.

J’y explore l’essoufflement intérieur : ces états flous où l’âme peine à respirer, où le corps devient témoin muet d’un chaos invisible.
Chaque texte est une tentative de lucidité — brute, intime, sans artifice.

Ce poème n’est pas un appel, mais un constat.
Celui d’une lente disparition. D’une survie à travers l’écriture.
Une manière de traduire ce que les mots ordinaires refusent de dire.
10
7
2
9
Hòru Arekusandà
Hommage à des chants que ma mère écoutait.
1
12
0
4
Hòru Arekusandà
Tendresse et Fierté
par Hōru Arekusandà

Tendresse et Fierté est un recueil d’éclats intimes — des textes à mi-chemin entre la confession et la déclaration.
On y parle d’amour, oui. Mais surtout de ce qu’il nous coûte, ce qu’il nous révèle, et ce qu’il nous rend.

C’est un livre pour celles et ceux qui ont aimé trop fort, trop seul, ou trop longtemps,
et qui ont appris à se redresser sans devenir froids.
Un livre pour les voix douces qui ont dû apprendre à crier en silence,
et pour les cœurs fiers qui ont dû partir — non pas par haine, mais par dignité.

Chaque texte explore les nuances d’un départ, d’un souvenir, d’un pardon intérieur.
La plume y est directe, lucide, mais toujours traversée par une forme de tendresse obstinée.
Pas de lyrisme creux, pas de revanche criée : juste la parole droite d’une âme qui se relève sans s’excuser d’avoir aimé.

Tendresse et Fierté n’est pas une vengeance.
C’est une main posée sur soi,
et un regard droit porté vers demain.
0
0
0
2
Défi
Hòru Arekusandà
Dans une France où la pensée s’efface plus vite que les slogans, cette nouvelle explore ce qui disparaît sans bruit. Pas par censure frontale, mais par glissement doux. « La fête de l’oubli » interroge la frontière entre conformité et consentement, entre mémoire et disparition.C’est une fiction. Mais peut-être un peu moins qu’on le croit.— Hōru Arekusandà
0
3
0
2
Défi
Hòru Arekusandà
— Hōru Arekusandà

La lettre M,
c’est pour Mémoire.
Pas les souvenirs qui sourient —
ceux qui s’accrochent, même quand t’as pas choisi.
M, c’est aussi pour Manque.
Un mot qui rime avec banc,
parce que parfois t’es juste assis là,
à attendre un train qui revient jamais.

La lettre É,
c’est pour Écho.
Parce que tout ce qu’on te dit rebondit bizarre.
Et ça te parle, mais en décalé.
É, comme Éteint,
parce que parfois même ton feu sacré s’allume plus.

La lettre L,
c’est pour Lenteur.
Pas celle des gestes —
celle du cœur.
Quand il bat au ralenti comme s’il savait
qu’il n’y avait plus d’urgence à aimer.

A, c’est pour Absence.
Pas forcément de quelqu’un.
Parfois, c’est toi qui manques à toi-même.

N, c’est pour Nuit.
Pas celle qu’on dort —
celle qu’on traîne même quand le soleil est debout.

C, c’est pour Chute.
Les petites. Les invisibles.
Celles où tu tombes en toi-même
sans que personne tende la main.

O, c’est pour Ombre.
Parce que même les beaux jours projettent un fond gris
quand t’as plus envie de lever la tête.

L encore,
c’est pour Lâcher.
Ce truc qu’on n’arrive pas à faire.
Lâcher les regrets, lâcher l’idée qu’on aurait pu faire mieux.

I, c’est pour Inaperçu.
Parce que la mélancolie,
ça crie pas fort.
Mais ça existe,
dans chaque recoin qu’on oublie de regarder.

E, enfin.
E comme Encore.
Parce que ça revient,
même quand tu crois que c’est fini.
Même quand tu vas bien,
y a un fond de toi qui pleut doucement.

Mélancolie

Inspiration Grand Corps Malade
2
2
0
1
Vous êtes arrivé à la fin
0