
Joel koko
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Le Fils du Serpent
Un conte africain devenu légende vivante
Dans un village oublié du monde, un jeune garçon pauvre découvre un piège contenant un serpent immense — créature mythique crainte de tous. Poussé par un élan de compassion, il le libère… sans savoir que ce geste changera à jamais le destin de son peuple.
Perdu dans la forêt, il est conduit par des forces mystérieuses jusqu’à un royaume invisible, bâti dans la pierre et régi par les esprits anciens. On lui révèle qu’il a été choisi pour régner. Mais à quel prix ? Entre fidélité à sa terre natale et appel du destin, Akil devra choisir quel homme il veut devenir.
Roman initiatique, fresque politique, et fable philosophique, Le Fils du Serpent explore la mémoire, l’honneur, et la réconciliation entre deux mondes. Un récit puissant, enraciné dans les traditions africaines, porté par une écriture sobre et lumineuse.
Et si le véritable pouvoir était de ne pas oublier d’où l’on vient, même quand on devient roi ?
Un conte africain devenu légende vivante
Dans un village oublié du monde, un jeune garçon pauvre découvre un piège contenant un serpent immense — créature mythique crainte de tous. Poussé par un élan de compassion, il le libère… sans savoir que ce geste changera à jamais le destin de son peuple.
Perdu dans la forêt, il est conduit par des forces mystérieuses jusqu’à un royaume invisible, bâti dans la pierre et régi par les esprits anciens. On lui révèle qu’il a été choisi pour régner. Mais à quel prix ? Entre fidélité à sa terre natale et appel du destin, Akil devra choisir quel homme il veut devenir.
Roman initiatique, fresque politique, et fable philosophique, Le Fils du Serpent explore la mémoire, l’honneur, et la réconciliation entre deux mondes. Un récit puissant, enraciné dans les traditions africaines, porté par une écriture sobre et lumineuse.
Et si le véritable pouvoir était de ne pas oublier d’où l’on vient, même quand on devient roi ?
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L’ABÎME DE L’AMOUR
Quand le sentiment devient piège, reflet d’un monde où la sincérité se cache.
Et si l’amour n’était qu’un mirage ?
Et si, derrière les sourires, les promesses et les élans du cœur, se cachaient le calcul, la peur, l’échange et la domination ?
Dans ce texte puissant, l’auteur explore sans retenue les failles de l’amour entre les hommes — cet amour qu’on impose, qu’on joue, qu’on vend, qu’on vole. Amour conditionnel, amour intéressé, amour défiguré par les rapports de force et l’hypocrisie quotidienne. Même la foi, même la fraternité, même l’amitié ne sont pas épargnées.
Ce n’est ni un livre de consolation, ni un chant romantique. C’est un cri. Une incantation. Un miroir.
Avec un style libre, poétique et percutant, l’auteur vous entraîne dans les profondeurs d’un abîme…
Pas pour vous y perdre, mais pour que, peut-être, vous en ressortiez plus lucide, plus vrai, plus vivant.
Et vous, jusqu’où êtes-vous prêt à aimer sans vous trahir ?
Quand le sentiment devient piège, reflet d’un monde où la sincérité se cache.
Et si l’amour n’était qu’un mirage ?
Et si, derrière les sourires, les promesses et les élans du cœur, se cachaient le calcul, la peur, l’échange et la domination ?
Dans ce texte puissant, l’auteur explore sans retenue les failles de l’amour entre les hommes — cet amour qu’on impose, qu’on joue, qu’on vend, qu’on vole. Amour conditionnel, amour intéressé, amour défiguré par les rapports de force et l’hypocrisie quotidienne. Même la foi, même la fraternité, même l’amitié ne sont pas épargnées.
Ce n’est ni un livre de consolation, ni un chant romantique. C’est un cri. Une incantation. Un miroir.
Avec un style libre, poétique et percutant, l’auteur vous entraîne dans les profondeurs d’un abîme…
Pas pour vous y perdre, mais pour que, peut-être, vous en ressortiez plus lucide, plus vrai, plus vivant.
Et vous, jusqu’où êtes-vous prêt à aimer sans vous trahir ?
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Et si la malchance n’était pas un hasard, mais une blague cosmique ?
Bienvenue à Misérabilis, un village où tout va de travers… par principe.
Jean-Désastre glisse chaque matin sur une peau de banane venue de nulle part. Gisèle est sublime… mais uniquement dans le noir. Roger est boulanger, mais ses pains sont classés comme armes par la police. Et Bernard, éternel optimiste, a décidé de dire non au destin.
Quand l’univers lui-même devient leur principal bourreau, une bande de poissards va se révolter. Quitte à provoquer le chaos absolu. Et si, pour survivre, il fallait réécrire les règles ? Et si l’absurde était la seule vérité ?
L’Enfer, c’est nous, c’est une odyssée loufoque et vertigineuse, une fable moderne sur le libre arbitre, la fatalité… et le plaisir de râler un bon coup.
Un roman aussi hilarant qu’existentiel, pour tous ceux qui ont déjà maudit l’univers en glissant sur un Lego.
Bienvenue à Misérabilis, un village où tout va de travers… par principe.
Jean-Désastre glisse chaque matin sur une peau de banane venue de nulle part. Gisèle est sublime… mais uniquement dans le noir. Roger est boulanger, mais ses pains sont classés comme armes par la police. Et Bernard, éternel optimiste, a décidé de dire non au destin.
Quand l’univers lui-même devient leur principal bourreau, une bande de poissards va se révolter. Quitte à provoquer le chaos absolu. Et si, pour survivre, il fallait réécrire les règles ? Et si l’absurde était la seule vérité ?
L’Enfer, c’est nous, c’est une odyssée loufoque et vertigineuse, une fable moderne sur le libre arbitre, la fatalité… et le plaisir de râler un bon coup.
Un roman aussi hilarant qu’existentiel, pour tous ceux qui ont déjà maudit l’univers en glissant sur un Lego.
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"LE DERNIER MASQUE" — Quand l’oubli devient poison, seule la vérité peut guérir.
Dans un village figé par le silence des ancêtres et l’ombre d’un passé interdit, un revenant surgit. Il ne revient pas pour se venger. Il revient pour dévoiler. Dévoiler ce que les générations ont enfoui sous les chants, les rituels et les faux souvenirs.
Le Dernier Masque n’est pas une simple pièce de théâtre. C’est un cri. Un feu sacré. Une secousse qui remonte depuis les entrailles d’un peuple trop longtemps bâillonné par ses propres mythes.
Chaque réplique, chaque geste, chaque silence vous arrache à l’oubli. Ici, la scène devient un autel. Les mots, des incantations. Et le masque… le dernier… celui que personne n’ose regarder en face… devient l’ultime vérité.
Osez le lire. Osez le monter. Osez l’habiter.
Car après cette histoire, rien ne sera plus jamais comme avant.
Dans un village figé par le silence des ancêtres et l’ombre d’un passé interdit, un revenant surgit. Il ne revient pas pour se venger. Il revient pour dévoiler. Dévoiler ce que les générations ont enfoui sous les chants, les rituels et les faux souvenirs.
Le Dernier Masque n’est pas une simple pièce de théâtre. C’est un cri. Un feu sacré. Une secousse qui remonte depuis les entrailles d’un peuple trop longtemps bâillonné par ses propres mythes.
Chaque réplique, chaque geste, chaque silence vous arrache à l’oubli. Ici, la scène devient un autel. Les mots, des incantations. Et le masque… le dernier… celui que personne n’ose regarder en face… devient l’ultime vérité.
Osez le lire. Osez le monter. Osez l’habiter.
Car après cette histoire, rien ne sera plus jamais comme avant.
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Ce poème, écrit dans un moment de solitude extrême, est un cri silencieux. Il dit l’abandon, le rejet, l’invisibilité. Il évoque une vie passée dans l’ombre, une enfance sans main tendue, un nom ignoré. Mais à travers ces mots, une vérité se lève : celle d’un être qui, malgré le mépris, a choisi de rester debout et de parler. Non pour accuser, mais pour témoigner. Non pour blesser, mais pour ne plus disparaître.
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Défi
Longuie 1 – L’Œuf L’Univers a fait une grimace ce matin-là. Une grimace discrète, certes, mais bien réelle. Une sorte de hoquet stellaire. Personne ne l’a remarqué, sauf Albert, et encore, il n’était pas sûr. Albert vivait dans une petite maison au bord du Néant. Il avait une belle vue sur l’expansion cosmique, avec, certains soirs, des éclairs d’antimatière qui dessinaient des formes suggestives dans le ciel — un chat triste, une théière fâchée, une formule de politesse désuète. Ce matin-là, donc, Albert a trouvé un œuf dans sa chaussure gauche. Pas un œuf de poule. Non. Trop lourd. Trop… élastique. Et il pulsait légèrement. Il a hésité à l’écraser mais s’est dit qu’un œuf qui pulse mérite qu’on l’écoute. Il l’a mis dans une boîte en fer blanc, l’a posé sur l’étagère entre le dictionnaire des langues oubliées et le manuel Comment réparer son destin avec une cuillère. Et il a attendu. Trois jours plus tard, l’œuf a éclos. Il en est sorti… un être. Ou une idée. Difficile à dire. Ça ressemblait à un enfant, sauf que ça n’avait pas de visage, seulement un miroir où chacun voyait ce qu’il redoutait le plus. Albert, lui, n’a rien vu. Le petit être l’a regardé (façon de parler), puis a d
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Défi
J’aime lorsque le ciel se tord dans ses colères noires, Quand le vent sans répit gifle la cime des pins, Et que la nuit s’éveille au fracas de l’espoir, Dans l’éclair incertain qui lacère les lointains. La mer, grondante bête au flanc bardé d’écume, Monte en mugissant vers les collines de peur, Et la pluie, en rafales, s’arrache du bitume, Comme un peuple en révolte ivre de sa fureur. Ô douce violence, ô berceuse d’aplomb, Tu viens avec le bruit d’un tambour d’apocalypse, Et je t’ouvre mon corps comme on tendrait un pont À la charge du feu, aux sabots de l’éclipse. Je marche dans la nuit, mes pas noyés de boue, Les branches me fouettant de leurs doigts en furie, Mais chaque coup de vent, chaque arbre qui se noue Me rend plus essentiel, plus vivant, plus en vie. Car l’orage, c’est Dieu qui claque des paupières, C’est l’univers entier dans un spasme brutal, Qui pleure et qui rugit, libérant sa lumière, En un râle éclatant, sublime et viscéral. Je me tiens sur la pierre, nu face à l’abîme, Le tonnerre en poing d’homme me frôle et me défie. Qu’il m’emporte à présent dans sa danse ultime ! Je veux être le cri, le chaos, l’infini. Dans le tumulte, l’ordre naît d’un grain de sable, Le mon
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