Un guerrier solitaire philosophe au comptoir de ses tours et parsème ses digressions de références multiples et chaotiques à la recherche de la vérité détenue par la secte de l'huître bleue.

Une petite genèse pour répondre à ce défi mythologique.

Il y a celle qui gronde sourdement au fond de soi, quelque part entre le cœur et les tripes et celle qui explose d'un coup dans le cerveau.
Il y a celle qui bout lentement, accessible tout le temps pour apporter un surplus d'énergie et celle qui chauffe à blanc et suspend le temps.
Il y a celle qui se forge, qu'il faut remettre constamment sur le métier et il y a celle qui s'écrit, qui se gueule, qui se chante, qui frappe.
Il y a celle qui est passive, qui s'utilise à bon escient, qui réchauffe la nuit. Et il y a celle qui donne envie de tout foutre en l'air, de retourner l'existence, de taper sur l’écran, de hurler à la Lune. Celle qui t’emmène, la bave aux lèvres, sur les routes de la révolte, la tête pleine de rêves, la bouche pleine de slogans et les yeux pleins de sang.
Il y a celle qui se contrôle, qui est personnelle qui se garde comme un secret et il y a celle qui se partage, abrutit les foules et les contrôle.
Il y a celle qui construit et il y a celle qui détruit.

Qu'est-ce qu'on se dit quand on est tout seul, dans l'intimité de notre cerveau ?

J'avais le début d'une phrase, je me suis lancé, le reste est venu comme ça. Une petite relecture vite fait, pour pas chercher à trop polir le texte et voilà...

A la mort d'une jeune chanteuse par overdose, les médias, les critiques, les fans et ses proches essaient de se rappeler de sa vie et cherchent à découvrir si la mort était une fatalité pour cette star ou si elle aurait pue être évitée.

Des extraterrestres sont en approche de la Terre. Comment les humains vont-ils réagir à cet événement ?

C'est une sensation en mmmmmmmmhhhhh... Le genre de sensation qui te fait fermer les yeux, lever le menton et inspirer longuement.
C'est la sensation que tu as lorsque tu déposes une cuillérée de mousse au chocolat sur ta langue. Tu fermes la bouche, tes lèvres glissent sur la cuillère pour en arracher tout le goût. Puis la mousse se met à fondre et le goût du chocolat s'étend dans toute la bouche.
Le cerveau enregistre ce bonheur et envoie une onde dans tout le corps. Le long de ta colonne vertébrale un frisson te parcourt. Au bout de tes doigts une légèreté s'installe. Tout ton corps semble s'élever, arraché à la gravité du monde, pour participer de ce plaisir simple et ultime.
C'est une sensation de mousse douce et fondante et de chocolat sucré et amer. C'est une sensation de mousse au chocolat.