Je m'ennuie de toi Je suis malade de toi Je suis amoureuse de toi Je suis folle de toi Je suis imparfaite sans toi Je me meurs sans toi Je verse des larmes sans toi Je suis faible sans toi Je suis heureuse avec toi Je suis moi avec toi Je suis amoureuse avec toi Je suis parfaite avec toi Je suis faite pour toi

C'est une fiction, les dates sont vraies, la plupart des personnages de l'histoire ont existés comme c'est le cas pour notre personnage principal et narrateur : Le grand dauphin. C'est donc une fiction. Louis est le dauphin, l'héritier du trône de France, pourtant il est désespérément malheureux il essaie a tout pris d'attirer l'attention de son illustre père : Le roi Louis XIV. Seulement cette envie d'attention va le mener a faire une terrible erreur.

C'est la première fois que j'en fais . Alors soyez francs !

La vie est belle, non ma vie est belle. Celle des autres je ne sais pas ,mais la mienne est sublime. Après tout, je fais ce qui est en mon pouvoir pour la rendre magnifique, ce qui je le reconnais n'est pas à la portée de tous. Certaines personnes n'ont pas les moyens ou le courage de rendre leur vie unique. Oui c'est vrai, je plains ceux qui n'ont ni projets d'avenir ni souvenirs d'enfance. Je plains aussi ceux et souvent ce sont les mêmes, qui n'arrivent pas à prendre plaisir avec les choses simples. Je pense que la vie ne va pas à tout le monde, la vie va à ceux qui font tout ce qu'ils peuvent pour la vivre à fond, certains se contentent de la vivre et d'autres la subissent. Cependant, il m'arrive parfois le soir comme un petit coup de cafard, lorsque je rêve d'une vie qui n'est pas la mienne, pourtant, je reviens toujours à me dire que je ne voudrais être quelqu'un d'autre. On entends souvent des gens dirent " tu vas rater ta vie." Mais c'est quoi pour eux rater sa vie ? C'est ne pas avoir un emploi assez rémunéré ? C'est ne pas avoir d'enfants ou en avoir trop jeunes ? Et réussir sa vie c'est quoi ? C'est avoir une piscine dans son jardin qui entoure une grande et chère maison

Mon corps est sauf de la pluie, abrité par Le pont sinistre. Mon esprit ,lui, est englouti, Aussi sombre que du bistre. Solitude est mon seul partenaire, Pas même un vieux marginal. Seulement à mon annulaire, un vieil anneau peu loyal. Au loin, j'aperçois un arbuste, Isolé autant que je le suis. Sous ses airs robustes, Je le sens bien triste le joli. Je sors de mon humide cachette La pluie me pénetrant avec rage. Je me rapproche de sa silhouette, Avec douceur lui donne mon bagage.

Voilà un mot que j'apprécie C'est vrai qu'il est bien joli Il est rapide et il est court Comme peut l'être l'amour
Il peut écourter une discussion Il peut commencer une Chanson Ainsi Je déclare alors ce doux mot Le plus magnifique en bref, le plus beau

Que sa plume est jolie, que ses romans sont plaisants. D'émerveillements en émerveillements, je retourne enfant. Je lis et relis sans jamais me lasser. Je tourne une page avec hâte pour découvrir la suivante, quand vient la dernière je déchante. Savoir que j'ai fait le tour de son écriture me désole, j'essaie de lire d'autres écrits mais rien ne me console. Le soir lorsque je ferme les yeux, les pensées me transportent. Un soir je suis en Russie avec le général Dourakine, puis l'autre soir, je suis en vacances avec Sophie, Camille et Madeleine. Chaque nuit est un voyage unique inspiré de ses récits, et quand vient le matin c'est avec impatience que j'attends de pouvoir à nouveau rêver. J'aimerai lui dire merci, alors je me tourne vers les étoiles et le lui dit. Elle est là haut, veillant à la bonne lecture des ses fabuleux romans. La Belle insouciance qu'elle nous offre, je la garde précieusement. Malgré les malheurs de sa vie, elle a su nous apporter bonheur et rêverie.

Cela faisait maintenant une heure que j'attendais dans la salle d'interrogatoire quand, enfin, un inspecteur daigna pointer le bout de son nez. Il tira la chaise métallique qui était en face de moi et s'assit lourdement tout en claquant un énorme dossier sur la table. Il me fixa un instant avec ses petits yeux tombants, puis commença son interrogatoire. - Alors, voyons voir, vous êtes Henry Postiche, domicilié au 4 rue Rochemont dans la ville de Quevaucamp. C'est exact ? - Ça l'est répondis-je simplement. Un silence s'ensuivit, j'en profitai donc pour poser la question qui me brûlait les lèvres - Qu'est ce que je fais ici au just, Monsieur l'inspecteur ? je vous jure que je n'ai rien fait ! - C'est à moi de décider si vous avez fait quelque chose monsieur. Sa voix était si calme quand il prononça cette phrase que j'en eus des frissons. Il n'attendit pas que je réponde et enchaina tout de suite par d'autres questions. - Une femme de votre quartier a été tuée chez elle par treize coups de ciseaux. Certaines choses portent à croire que vous êtes l'auteur de ce crime. Il tira un feuille du dossier et me la montra c'était une photo de la victime. Une grande et belle femme à la peau très

Ah les poèmes, la poésie, Qu'est ce que cela signifie ? Des paroles plaisantes au coeur ? Des mots que nous transportent ailleurs ? C'est un art, celui de rêver. De sortir les mots de leur banalité. C'est un langage expressif, Qui traverse tous les sens, Qui peut être doux ou explosif. Et nous prouve ainsi notre existence.

Un livre qui fait partie de ton enfance ? Sans hésiter, le livre qui fait le plus partie de mon enfance est Les malheurs de Sophie de la Comtesse de Ségur. C’est Maman qui nous le lisait à mon frère et moi, lorsque nous étions encore trop jeunes pour lire. Par la suite, dès que je sus lire, ce fut le premier livre dont je tournai les pages. Un livre qui t’a marqué(e) ? Cette question est assez compliquée parce que des livres qui m’ont marquée, il y en a plusieurs. Cependant, si je suis vraiment obligée de faire un choix, il se porterait sur Une vie de Simone Veil. Après l’avoir lu pour la première fois, je n’ai pensé qu’à ce livre durant plusieurs semaines et je ne pouvais m’empêcher de relire certains chapitres une fois ma lecture terminée. Un livre qui t’a fait pleurer ? En attendant Bojangles d’Olivier Bourdeaut. Quand l’enfant dit : « J’allais pouvoir répondre à une question que je me posais tout le temps. Comment font les autres enfants pour vivre sans mes parents ? » Ce livre m’a fait pleurer, mais il m’a aussi fait rire et sourire. Un livre dont tu as adoré la fin ? Souvent, ce ne sont pas les fins que j’apprécie le plus. La pièce Incendies de Wajdi Mouawad. La toute fin est

La Feuille tout de blanc immaculé Ne veut pas perdre sa virginité. Je lui chuchote pourtant, des doux mots rassurants. Je lui dis que je veux écrire Que J'en ai besoin pour sourire. Sa réponse ne se fait pas entendre Alors j'arrête d'entreprendre. Son silence m'offusque, me frustre. alors je la déchire tel un rustre. J'en prends une nouvelle, Et je recommence de plus belle. J'attends patiemment, j'espère. Mais aucune pensée ne se libère. Elles restent toutes enfermées, Boudant mon papier. Pas une lettre, pas un mot ne danse, Juste mon stylo, qui, dans le vide se balance. Je n'essaie plus, j'abandonne, Puisque aucune idée ne bourgeonne.

Tout le monde se lèvent, je fais de même. Deux policiers me prennent par le bras et me dirige vers la sortie. Je ne pleure pas. Je sais ce qui m'attends, j'appréhende mais je comprends. Je suis arrivé, on m'a pris mes vêtements pour m'en donner d'autres. Encore une fois deux policiers m'attrapent le bras et me dirigent vers mon enclos. Je suis soulagé d'y être seul. Je prends, pour la première fois depuis le procès, le temps de penser à ce qui m'arrive. Je crois que jusqu'ici je n'avais pas encore réalisé. Mais je me souviens maintenant des paroles du juge. " Vingt ans de prisons ferme" disait-il. Je me souviens aussi des pleurs et supplications de ma mère à l'entente de la peine. Je me revois lui dire avec un sourire qui se voulait réconfortant " Ne t'en fais pas maman, vingt ans ça va passer vite, puis papa sera avec toi " J'avais dis ça sans réellement le penser accompagné d'un sourire faux, puis d'ailleurs maintenant que j'y pense mon père est mort. Je ne m'en voulais pas d'avoir commis ce qu'on me repprochait, j'en étais même un peu fier. Il faut dire qu'on ne parlait plus que de moi depuis quelques jours à la télévision. Mon seul regret et de ne pas avoir pris en compte la ca