
LexLamiral
Ici j'ai pris le nom de LexLamiral. Et si aujourd’hui j’écris des histoires, c’est parce qu’un jour, j’ai décidé que ma dyslexie ne serait pas une barrière, mais un moteur.
Très tôt, les lettres se sont montrées capricieuses. Les mots glissaient, se mélangeaient, se moquaient presque. Lire était un défi, écrire un combat. Mais à travers ces luttes quotidiennes, un monde parallèle s’est ouvert : celui de l’imaginaire. Là où mes yeux trébuchaient, mon esprit voyageait. Là où la lecture semblait difficile, les univers fantastiques, les jeux de rôle et la science-fiction m’invitaient à explorer, à rêver, à créer.
Des parties de JDR partagées entre amis, des heures passées à décortiquer des mondes dans les mangas, les comics ou les sagas de space opera... Tout cela a bâti une richesse intérieure que même la dyslexie ne pouvait étouffer. Bien au contraire : c’est parce que l’écrit me résistait que j’ai appris à le dompter avec passion. Pas pour faire comme les autres, mais pour donner forme à ce que je portais en moi.
Aujourd’hui, j’écris à mon tour. Je construis des mondes, des civilisations lointaines, des personnages qui doutent, évoluent, se cherchent. Mon univers, comme moi, est en marge des standards : un peu technique, un peu poétique, toujours profondément humain. Il parle d’exil, de transformation, de quête d’équilibre entre nature, technologie et liberté.
À travers cette aventure d’écriture, je veux montrer que l’on peut être dyslexique et créatif, maladroit avec les mots mais puissant avec les idées. L’imaginaire n’a pas besoin de permission. Il a juste besoin de passion, de persévérance et de sincérité.
Alors que vous soyez lecteur, rêveur ou simplement curieux : bienvenue dans mes mondes. Et souvenez-vous, les plus belles histoires naissent parfois là où on nous avait dit que ce n’était pas possible.
Œuvres
Avec le temps, ces descendants oubliés ont évolué seuls, jusqu’à devenir trois peuples aussi fascinants que divergents :
Les Symbiants, fusion mystique de l’homme et du vivant, guidés par un culte de l’harmonie biologique, où chaque individu s’efface au profit d’un ordre sacré et organique.
Les Technomorphes, bâtisseurs d’un empire industriel fondé sur la technologie et la productivité, en quête d’une immortalité numérique au prix de toute humanité.
Les Astréens, nomades de l’espace sous la tutelle de super-IA bienveillantes mais contrôlantes, qui vivent dans une utopie artificielle, protégés… mais prisonniers de leur propre confort.
Chacun voit Kérberos à travers ses croyances : sanctuaire sacré, ressource à exploiter, cocon stérile. Et pourtant, aucun d’eux ne peut fuir cette galaxie, vestige de l’âge d’or perdu des Primus.
Mais alors que l’équilibre semble figé, trois destins sont sur le point de se croiser. Portés par des forces anciennes, oubliées et puissantes, ils pourraient bien réveiller ce que les Primus ont laissé derrière eux… et bouleverser l’ordre établi.