Dans un monde où chaque être naît lié à un démon ou un ange, Adriana a toujours été différente.
Sans marque, sans lien, elle a survécu grâce à la protection de sa mère... jusqu'au jour où tout s'effondre.
Fuyant une foi qui brûle les être comme elle, la jeune fille devras apprendre a survivre dans se pays qui lui reproche sa propre naissance.
Arrivera elle a changer les dogme de se pays en constante régression ou sombrera elle dans le néant de la destruction.

Prisonnier d’un sordide manoir au couloir infini, le jeune Michael se réveilla sans comprendre se presence au saint des tenebre de se manoir.
A ses côtés, une étrange poupée de porcelaine muette, nommée Aria, devint son seul repère dans cet univers obscure.
Ensemble, ils décident de fuir ce monde grotesque.
Mais le manoir n’est pas qu’un labyrinthe, il est gardé par d'innombrables marionnettes au cœur sombre.
Un roi de bois au cœur empli de désir et de haine, une Reine obsédée par sa beauté et régi par une maîtresse dans le sadisme dépasse l’imagination.
A mesure que les étages défilent, Michael découvriras une vérité plus terrifiante que les monstres qu’il rencontrera.
Entre espoir fragile et descente aux enfers, une histoire de fuite, de perte et de métamorphose, ou le monstre pourrait bien se terrer au saint de notre propre conscience.

Chapitre 2 — Toujour en retard —Gabriel…Gabriel. Gabriel ! Mes yeux s'ouvrirent dans un surco qui me fit tomber de mon cocon de plume. Me massan le crane je leva la tete vers Aurore, cette femme qui me regarder comme si j’avais etais son enfant jamais née, me regardée a present des plus sévèrement. —C’est-tu quel heure est-il ?. Me demanda-t-elle les poings sur ses hanches, ses ailes rétractées lui donnant une apparence bien plus chétif, mais le feu qui brûlait dans ses yeux ne prévois rien de bon. —La même heure qu’hier ?... Dis- je en tentant un peu d’humour malgré mon incompétence dans ce domaine là, le regard d’Aurore me fis baissée la tête, sachant très bien ce qu'il m'attendait. —Gabriel tu es censé faire partie du bataillon de protection ! ce n’est pas ainsi que tu survivras durant tes futures missions ! Beugla la jeune femme en me rapellan mon role, c’etais toujour ainsi, reveille soudain, reproche en rapellan mes obligation que j’igniorais comme tout mes camarade, avant de me trainer jusqu’a la salle d’entrainement, ou evidament se trouver surment deja tout mes colegue, et aujourd’hui ne derogea pas a la regle. La jeune femme m’agripas l’oreille avant de me tirer, me faisa