Angus (grossier, sexe sans protection)
À trente-six ans, marié et père de deux petits garçons, je me suis récemment lancé à mon compte. Je suis électricien de formation et j’ai longtemps travaillé pour des patrons tous plus ingrats les uns que les autres. Ça faisait des années que je parlais de m’y mettre et j’ai enfin sauté le pas.
Je vis avec ma tribu dans la banlieue de St Andrews, une petite ville tranquille au bord de la mer du nord, en Écosse.
Étant donné que les affaires se portent bien, j’ai décidé il y a quelques mois de me faire aider d’un apprenti. C’est comme ça que j’ai rencontré Gowan, vingt et un ans, jeune à problème en réinsertion, expatrié d’Édimbourg depuis peu. Le courant est tout de suite passé entre nous, sans mauvais jeu de mots.
Au début, je comprenais pas pourquoi j’aimais tellement être avec lui. Je l’ai présenté à mes potes et l’ai même invité à rejoindre notre équipe de rugby. Je trouvais ça sympa de passer du temps avec lui en dehors du boulot, d’aller boire un verre ou manger un morceau.
Un dimanche après l’entrainement, j’me suis retrouvé seul avec lui dans les douches des vestiaires. J’ai toujours trouvé excitant de me retrouver à poil dans ce genre d’endroit, mais là, j’ai pas pu m’empêcher de le mater, de détailler son corps, ses muscles fins, ses tatouages, son p’tit cul ferme.
Que les choses soient bien claires, j’suis hétéro et je l’ai toujours été, mais y a un truc chez ce mec que j’sais pas expliquer. Quand il me regarde et qu’il sourit, j’ai envie de lui sauter au visage pour l’embrasser. J’ai jamais ressenti ça pour un gars avant.
J’ai vu que lui aussi me matait et ça m’a encore plus excité, à tel point que je me suis mis à bander, mais bander sévère. Je fais un mètre quatre-vingt-onze et cent-vingt kilos de muscle, je peux vous dire que la nature s’est montrée généreuse avec moi, sans me vanter. Bref, j’étais super gêné et quand il l’a remarqué, j’ai dit que ça venait du frottement de ma coquille. Il a pas détaché son regard de ma bite en se mordant les lèvres et m’a dit que si ça me mettait dans cet état, je devrais la porter plus souvent. J’suis resté con.
Un autre soir, je l’ai invité à venir voir un match à la maison. Nora était chez sa mère avec les gosses, alors je lui ai proposé de rester dormir, comme on avait abusé de la bibine. J’ai déplié le canapé et lui ai prêté un t-shirt, évidemment trop grand, il doit pas mettre plus que du M alors que je fais du XXL. C’était excitant de le voir dans une de mes fringues, à tel point que j’me suis enfermé dans les chiottes pour me branler. Ça faisait très longtemps que ça m’était pas arrivé, j’ai eu honte.
Dans la nuit, j’me suis levé pour me chercher un verre d’eau et j’suis tombé nez à nez avec lui. Il avait retiré le t-shirt et il se promenait en caleçon, j’ai bandé direct. De la cuisine, je l’ai regardé pendant qu’il pissait debout, la porte grande ouverte. Quand il s’est retourné et qu’il a remis sa bite à sa place, j’ai vu une goutte de pisse tomber de son gland sur le sol. J’ai dû m’enfermer aux chiottes une deuxième fois.
Dans les jours qui ont suivi, j’ai essayé de me montrer plus distant, de le sortir de ma tête, mais dès que je fermais les yeux, mon cerveau partait dans des délires de malade dans lesquels je lui faisais des choses inimaginables pour un hétéro. J’en étais à un point où je me masturbais dans les chiottes en sentant son odeur sur mon t-shirt, à n'importe quel moment du jour ou de la nuit. J’avais honte, mais c’était plus fort que moi.
Un matin, j’suis passé le prendre pour aller sur un nouveau chantier. On devait refaire une partie de l’installation électrique de plusieurs chambres d’un hôtel de luxe, le Rusacks St Andrews. Je suis monté sur l’échelle pour passer un câble dans une gaine au plafond, quand j’ai senti sa main me caresser la bite.
— Qu’est-ce que tu fous ?
— Ça fait des semaines que j’en rêve, tu veux bien que j’y goute ?
J’suis resté con, je savais pas quoi faire, j’en avais tellement envie. Et ce trouduc qui me regardait avec ses beaux yeux verts.
— Vas-y…
J’avais le souffle coupé, impossible de faire un mouvement. Il a doucement ouvert ma braguette, ses doigts étaient si chauds que j’ai cru que j’allais tout lâcher. Quand il a réussi à la sortir, il m’a regardé, l’air impressionné.
— Putain, elle est vraiment trop belle !
Il m'a masturbé en se mordant les lèvres, j’étais en transe. J’ai mis ma main sur sa nuque et l’ai forcé à la prendre au fond de sa gorge. J’ai joui en une minute et il a tout avalé. J’arrivais pas à reprendre mon souffle, j’avais le cœur sur le point de sauter hors de ma poitrine. Il s’est tourné vers le lit et a baissé son froc avant de se mettre à quatre pattes et de m’offrir son p’tit cul. J’ai bandé de plus belle, à tel point qu’elle me faisait mal.
— Bouffe-moi le cul ! J’ai envie que tu me lubrifies pour prendre ta grosse queue!
J’suis descendu de l’échelle et lui ai dévoré sa p’tite rondelle rose sans me faire prier. Je l’ai pénétré avec ma langue, je l'ai lubrifié, toujours plus profond. On m’a souvent dit que j’étais le roi des cunis. Je l’entends encore gémir.
— Vas-y, baise-moi ! Baise-moi comme n’importe laquelle de tes salopes !
Je me suis redressé et l’ai baisé comme jamais j’avais baisé quelqu’un. Son petit trou serré, légèrement sec, m’a donné des sensations que j’ai jamais ressenties, c’était un milliard de fois meilleur que toutes les meufs que je m’étais tapé jusque-là. Il gémissait à chacun de mes coups, toujours plus fort, toujours plus profond.
À un moment, il s’est retiré, a viré son pantalon et s’est mis sur le dos. J’ai chopé ses chevilles et l’ai pilonné pendant qu’il me regardait. Je l’ai dominé comme j’ai jamais dominé personne. D’un coup, il m’a attiré vers lui pour que je lui roule une pelle. La sensation de sa langue dans ma bouche et de nos salives qui se mélangeaient m’a poussé vers la fin. Je lui ai tout donné, au plus profond que je pouvais être, mais comme il avait pas fini, j’ai continué pour l’aider. J’étais dans un tel état que j’ai joui une troisième fois, cette fois sur lui et en même temps.
J’avais jamais rien connu d’aussi bon. Depuis, on baise ensemble dès que possible, parfois plusieurs fois par jours. Je sais pas où ça va me mener, mais je pourrai plus jamais me passer de ce mec.
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