#10 Myr, Myr, Myr... FACTS

13 minutes de lecture

Myr, Myr, Myr…

Cela fait plus d’un mois, que je n’ai reçus, aucune, nouvelles de toi. Je ne penses pas, qu’il soit utile de t’écrire. Je déclarerai tout ici.

Sais-tu seulement pourquoi je t’ai choisi ce prénom ?

J’ai sélectionné une lettre parmi trois autres.

L’une pour « merveille », l’autre pour « caresse douce », et la dernière pour « éveil à la lumière »

Effectivement, quand j’ai commencé à écrire ce carnet, j’étais encore dans l’imaginaire, l’espoir, et remplie, d’une immensité d’amour pour toi.

Je n’avais pas encore, intégrée le symbolisme.

De plus, je n’étais pas mon centre. Si je ressentais quelque chose qui n’allait pas. Je me remettais en questions. Je cherchais des explications dans ton comportement, te trouvais des excuses. J’acceptais et comprenais tes émotions, au dépend des miennes.

Au début, tout aller bien. Il n’y avait que nous.

Tu venais tout les week-ends me rejoindre, on sortait, on s’aimait. Je me rappelle la première fois que je t’ai dis je t’aime, le vrai « je t’aime », pas le je t’aime trop, qui sort à tout va.

Il faisait beau, il faisait chaud, je me souviens, du soleil, de mon énergie, de la route. Tout était gris et terne mais pourtant, l’ambiance était éclatante.

Nous nous dirigions vers un open air.

Je te l’ai dis naturellement en toute authenticité : « toi, je ne t’aime pas trop, je t’aime ». Tu m’a répondu, avec un grand sourire, que toi aussi.

Le monde continua à tourner autour de nous.

Tout était beau, enveloppé de la chaleur de l’été, illuminé par notre bonheur, bercé par la techno, saupoudré de MD.

Puis vint mon déménagement, ma première déception. Ce fut une véritable galère, je l’avoue. Pourquoi étais-je déçue ? Tu t’es engagé toi et ton frère à m’aider, à être là pour moi. J’aurais pu trouver d’autre solution, mais tu as insisté « t’inquiète ».

Vous êtes arrivés, en lendemain de soirée.

Après, j’étais en chambre chez l’habitant. Donc soit, je rentrais avec toi, soit je te rejoignais le week end. Tu habitais à une heure d’ici.

J’ai adoré ces moments. Découvrir une vie de famille, une maison, les balades dans la nature, le jardin, et ta mère.

J’ai beaucoup aimé ta mère.

Ce regard, cette affection qu’elle portait sur toi.

La facilité, avec laquelle nous nous sommes entendues.

Tout les moments, que j’ai passé avec toi, chez tes parents. C’était la découverte, d’une famille. Qui s’entend, plutôt bien, qui discute, qui rit. Qui est là.

Ce que je n’avais jamais vécue.

Tu m’as offert ton amour, ta douceur, ta tendresse. Tu m’as aussi offert un soupçon de famille, dans laquelle, je me suis sentie vue, entendue, comprise, bienvenue.

Je te serais toujours, reconnaissante, à toi, et ta famille, pour ces moments auprès de vous.

Puis, ton frère et toi, avaient emménagé ici. Au début, je passais beaucoup, de week end chez toi. Je ne pouvais pas m’empêcher de tout ranger, de faire le ménage. Apriori, c’était un problème. Le fait qu’on se voit tant, aussi. Sous vos conditions de vies, qu’il est tout à fait légitime de respecter.

Je ne pouvais pas respirer. Alors je réduis mes visites.

*À partir d’ici, les souvenirs ne seront pas forcement chronologique.*

Vint une seconde déception, on était en soirée, je n’en pouvais plus. Il restait à peine une heure. Tu m’as répondu, de prendre les clés, un Uber, de rentrer. Je suis restée.

Cela faisait quelques semaines, ou plus, que vous viviez là. Tu étais au chômage. Je travaillais.

Je devais venir pour le déjeuner, enfin pour nous préparer à manger. Ce qui à toujours était le cas (sauf une fois, tu m’as fait des pâtes, très bonnes). Je t’avais accordé ma confiance, fait une liste de courses, que je t’avais envoyé le mardi ou le mercredi. Je suis venue le samedi. Tu n’avais pas fait les courses, cela ne m’affecta pas plus que ça.

En revanche, ton frère me dit, que tu allais en soirée avec eux, finalement. Que tu avais pris ta place, tu me l’a montra même sur ton téléphone.

J’étais en mode ok, j’irais à ma soirée solo.

Finalement, c’était une blague.

Mais le sang était déjà monté. Je t’ai donc reproché, factuellement, sans doute avec un ton un peu élevé, que tu ne faisais rien de tes journées, et que tu n’avais même pris le temps de faire les courses.

Tu y es allé.

Après ça, je ne t’ai jamais plus rien demandé, je préférais être responsable, que déçue.

Tu m’as bien fait savoir, plus tard, que ton frère t’avais dis :

« moi j’aurais pas aimé ».

Auquel je répondis, que pourtant c’était bien mérité, tu étais d’accord. « Et s’il n’avait pas fais sa blague, dans laquelle d’ailleurs, tu es rentré avec sérieux. Je l’aurais pris à la base presque avec humour ». Une part de moi, si attendais déjà. Mais le combo des deux, moins.

A l’époque, tu sortais déjà, du jeudi au samedi (bien rempli de taz à chaque soirée). Je ne sais pas, si c’était avant, ou après cet événement, mais un samedi, où nous étions sortit le vendredi. On devait rester tranquille ensemble, seuls. On était couché et tu m’a dis « ça te dérange pas si je sors avec les autres ? ».

J’ai répondu « non, tranquille ».

Je suis rentré dans une période, où j’allais de moins en moins bien. Déni de burnout, déni de dépression, et burnout social.

Je décidais d’arrêter les sorties, je restais le plus souvent, enfermée dans ma chambre.

Je te demandais alors, si tu pouvais m’accorder un jour sobre, qu’on se voit un vendredi aprem, sans que tu sortes le jeudi, tu acceptas.

Puis le jeudi, « ça te dérange si je sors mais sans taper ? En plus untel est dans un super mood, ya grave une bonne ambiance ». Je n’avais plus grand recul sur mes émotions, nous avons discuté en message. Tu as dis, je ne me souviens plus des mots exacts, mais quelque chose comme : « tu ne te met pas à ma place, si je ne voulais pas me mettre en couple à la base, c’est pour ne pas avoir à choisir entre toi et les soirées, tu m’empêche de vivre ma vie » dans l’idée, en tout cas, c’est ce que j’ai ressenti.

Dois je préciser, que je ne me suis jamais opposée à ce que tu sortes ? Qu’après plus d’un an de relation, je te demandais juste une après-midi sobre ? Parce que j’avais besoin de calme, de prendre soin de moi. Et qu’un mec en lendemain de soirée, c’est pas quelqu’un, qui est dans sa meilleure vibe.

Je lui répondis, en larmes bien sur, en gros :

« ok sors, je ne pensais pas, que je t’empêchais de vivre ta vie, et pour demain on oublie, c’est mieux si on ne se voit pas »

Tu répondis, « c’est tout ce que je voulais éviter, je ne voulais pas qu’on en arrive là »

Finalement, nous nous sommes vus le lendemain après midi. J’avais, carrément, écris, sur un papier, tout ce que je voulais te dire (j’ai tendance à beaucoup digresser).

Il ne s’agissait, à priori, que d’un mal entendu, due aux messages. Une de mes phrases, te fis penser que je te quittais (?!), ce qui te mis sur la défensive, et donc tendu. Tu me dis, que durant la soirée, tu pensais « je risque de la perde pour ça ? ».

Tu étais très ému.

J’étais sur le point de repasser en mode, on se voit, mais on est pas en couple. Ce qui m’aurait permis, symboliquement, d’être moins investi, et donc moins touchée par ton attitude.

Mais je t’aimais, tu m’attendri, et t’entendre expliquer ton point de vue, me fit oublier le mien.

Mais je retenue, deux choses, plus jamais je ne te demanderai quoi que ce soit, ou te parlerai de ton rapport aux drogues et aux soirées.

Et que malgré, le fait que tu sortes, trois fois par semaines, le bon mood d’untel, avait plus de valeur, que mon état émotionnel.

Après ça, on s’est vu, plusieurs après midi, pour déjeuner, moi sobre, toi, j’avais arrêté de chercher à savoir.

Je t’acceptais comme tu étais.

C’était des bons moments. Je retrouvais un peu de nous (deux), plutôt que nous (le groupe).

Il y eu une autre soirée, où je suis partie plutôt. Cette fois, accompagné d’un pote à toi. Le vigile te fit la remarque que tu ne devrais pas me laisser rentrer seule. Cela t’énerva profondément, tu lui répondis qu’un pote serait avec moi. Tu pris bien le temps, de le checker devant le vigile. Moi, à ce stade je m’en foutais un peu, j’avais déjà commencé, à mettre tellement de part de moi de côté, pour ne pas être touchée par ton comportement, que cela me fit presque sourire intérieurement. Ton attitude, ta réaction face au vigile, en disait long.

J’ai d’ailleurs passé, un super moment avec ton pote, sur le retour et en vous attendant.

J’obtins, enfin, mon appartement !

Enfin seule, enfin libre, enfin chez moi.

Nous pouvions à nouveau nous retrouver à deux.

Rentrer chez moi, après les soirées, dans mon énergie. Nous commandions parfois, ou bien je nous faisais à manger. On passait, nos journées, à regarder des séries ou des films, sur vidéo projecteur, allongés dans mon lit, l’un contre l’autre, dans la tendresse et la douceur absolue.

Petite pause weed, lorsque c’était nécessaire.

À partir de là, je crois que mon état mental, à commencé à empirer.

Tout ce que j’avais bien enfouie, par mécanisme de défense, était entrain de remonter à la surface.

Je ne supporterais plus rien. Je passais mes journées à pleurer. Je t’expliquais, que j’étais dans un phase très anxieuse, que j’étais fragile, et que par exemple, attendre une réponse, 24h plus ou moins à mes messages — sachant le temps que tu passes sur ton tel — ouvrait la porte, à un chaos noir interne, de doute, de remise en question, et d’une intense tristesse.

Tu me dis que tu ferais attention.

Parfois, je t’envoyais des messages, sans arrière pensée, tu le prenais mal, tu t’énervais.

Je décidais alors de réduire au maximum les messages.

Parfois, tu te servais, de ma venue, pour expliquer tel ou tel choses, qui te mécontentais, que tu le faisais pour moi, qui n’avais rien demandé.

Parfois, encore, tu répondais pour moi, lorsque je discutais avec un de tes potes.

Tu ne partageais, sur Insta, presque rien me concernant, souvent, juste tes potes et les soirées. Ce que j’acceptais complètement.

Mais un jour, il y a ces storys, où l’on met six photos (ou quatre), du résumer du mois, ce que tu ne fais pas tout le temps.

Tu choisis six photos, et de mettre une fille, que tu savais que je n’aimait pas spécialement. Je t’exprimais mon mécontentement, tu choisis « cette » fille, et moi, je n’apparaissait nulle part. Sauf quand parfois tu repostes mes storys, qui sont souvent plutôt artistique, où nous n’apparaissons pas vraiment.

Tu me répondis : « Elle est comme la meuf de mon frère, ya rien, je la vois comme une pote ou une soeur, je savais pas trop quoi choisir et je trouvais la photo marrante.

Et toi, en plus t’aime pas les photos ».

Tu t’excusa, tu compris, tu ferais attention la prochaine fois.

Mon état, était de pire en pire, je demandais un arrêt (j’y suis encore). Je t’expliquais tout ça.

Je sortais encore, mais moins.

Une après midi, je vu en story, que tu étais à genre, 15/20 minutes de chez moi à pied, en mode posé sur les quais. Je te dis « comment veux tu que je me sentes inclus dans ton groupe, alors que tu sors juste à côté de chez moi sans me prévenir ». Tu me dis, que ce n’étais pas prévu, que vous ne deviez même pas y aller à la base, que c’était pour l’anniversaire d’unetelle.

Tu compris, tu t’excusa, tu ferais attention la prochaine fois.

Puis j’arrêtais, complètement, les soirées.

Tu ne me demanda, jamais, de mes nouvelles.

Tu ne me proposa, jamais, un moment sobre avec toi.

Tu me rejoindrais le dimanche en lendemain de soirée.

Et un fameux dimanche, le combo ultime, de :

« Ok. Là, faut que je te quitte » arriva.

- Tu passais ton temps sur son tel, alors que tu mettais une éternité, à répondre à mes messages.

- Toutes tentatives de ma part pour créer un rapprochement, n’avais aucun effet.

- Lorsqu’on regarda un film, tu te mis bien à l’extrémité contre le mur.

- La tendresse, ou douceur ne venait que de moi.

- Tu t’énervas contre moi, alors que j’essayais simplement de te soutenir, tu te rattrapas, t’excusas prestement, avec un bisou sur le front et une légère étreinte.

- Je fut, plusieurs fois aux bords des larmes, et tu ne remarqua rien. Bien sur, je fit mon maximum, pour garder ça à l’intérieur.

Quand tu es partie. J’ai pleuré. J’ai su.

En écrivant ces mots, en me souvenant de ce moment, je suis en sanglot, comme si je prenais conscience avec le symbolisme, de l’horreur, que fut pour moi cette journée.

L’acceptation, enfin, que cela devait s’arrêter.

Le week-end suivant, je t’appelais, pour la deuxième fois je crois (de toute notre relation). Cela faisait trois heures, que je t’avais envoyé un message, sans réponse. Pourtant, je savais que tu n’étais pas au travail, et que tu étais sorti la veille (Instagram sait tout). Tu répondis, innocent, la bouche pleine. Tu me demanda comment j’allais, je te dis très mal, que je t’avais envoyé un message. Tu n’avais pas vu, je raccroche te laissant manger.

Je voulais te voir tu me répondis :

⁃ Demain midi ?

⁃ Ok

⁃ Si ça te va bien sur ?

⁃ Non, j’aurai aimé, ce soir.

⁃ Je suis en lendemain de soirée, ça ne servirait à rien que je viennes dans cette état, demain je serai plus frais.

⁃ Ok

Alors, le lendemain, arriva. Nous sommes allez mangé, c’est toi qui m’invita.

Après un long moment, où, avec plaisir et envie, j’avais payé, souvent pour nous deux. En me disant avec confiance, que lorsque tu retravaillera, tu me le rendras bien. Tu n’aimais pas trop ça. Mais j’aimais, bien manger, avec toi.

Pendant, que nous étions au restaurant, nous discutions, normalement. Je te remerciais, de m’avoir invité, tu me pris par taille, me rapprochas de toi, me fit un bisou sur la bouche.

Je me souviens, encore parfaitement, de chaque sensation.

On avança, vers chez moi. Je commençais à te dire, que j’allais très mal, que je pleurais constamment, que je t’aimais, mais que si nous restions ensemble dans ces conditions, ça aller mal finir. L’obscurité en moi, aurait ternis notre relation. Je voulais continuer à t’aimais. Pour ça, je devais te quitter, et guérir.

On finit le trajet, sans à peine un mot.

Arrivés chez moi, je te demandais, si tu comprenais, si tu avais quelque chose à dire.

Tu comprenais. Tu n’avais rien à dire.

On a beaucoup pleuré, je te faisais des câlins, je te rassurais, « ce n’est que pour un moment, je t’aime, on se retrouvera quand j’irais mieux ».

Plusieurs heures, passèrent, larmes, câlins, mots tendres.

Puis tu es parti.

Pour la suite, je penses que j’ai assez exprimé, dans d’autres textes, l’énergie de notre relation, en étant séparé.

Maintenant que j’existe, pour moi, que je ressens, mes émotions, pour moi. Que je suis une personne entière, et pas un objet au service des autres.

Que Lira Nihil, grâce au symbolisme de Lacan, est apparue.

Il est temps de dire ce qui est.

Je commencerai par le négatif, c’est plus beau, de finir sur une note douce, non ?

Dans ma relation avec toi, je me suis sentie, négligée, incomprise, déçue, blessée, triste, angoissée, sans importance, sans valeur, mise de coté, seule.

Je me réduisais tellement, pour éviter, la déception, la frustration ou le conflit.

Que je ne sais même plus, ce qu’il restait de moi.

Tu étais passif, non investi, égoïste, incapable de faire le moindre effort, irresponsable de tes actions, tu avais toujours une bonne excuse, tu t’énervais beaucoup, tu ne m’envoyais jamais de message personnel.

À ta décharge, j’ai grandi, et était élevée dans cette dynamique.

Ne pas prendre de place, ne pas m’exprimer, me faire toute petite, faire en sorte de détendre l’atmosphère…

Je ne me suis pas écoutée, je me suis négligée, je me suis adaptée. Tu m’as traité, comme je me traitais. Je n’avais pas, à l’époque, les outils pour voir, ce qu’il se passait vraiment.

Le positif maintenant.

- Les plus beaux moments de ma vie, ont était avec toi.

- Je ne me suis jamais sentie autant aimée.

- Je n’ai jamais ressenti autant de tendresse, de douceur, et d’affection.

- Je ne me suis jamais senti autant en sécurité, qu’avec toi.

- Tu m’as offert le bonheur, tu m’as permis de respirer, de vivre.

- C’est grâce à toi. Grâce à la beauté, que tu m’as offerte, que je n’ai plus pu nier, les ténèbres qui remplissaient mon être.

Ce qui était normal, ce que j’acceptais comme un quotidien classique. À tes cotés, pendant plus d’un an, même si ce n’était pas parfait, mon inconscient me criait, ce qu’était ma vie passée.

Je ne comprenais pas encore, je n’avais pas encore les moyens, mais je savais.

Tout comme je savais, qu’on avait atteint les limites de notre relation. Même si ça, je ne voulais pas l’accepter encore.

Tout est éphémère, n’est ce pas ?

Chaque expérience, nous offrent quelque chose. Avec toi, j’étais dans l’imaginaire, je n’avais pas le symbolisme, ce qui me permis de rester, de t’aimer, de partager avec toi, si longtemps.

Cette relation éphémère, m’a amené, vers le plus beau cadeau, que l’univers pouvait m’offrir.

La plus grosse, depression de ma vie.

La psychanalyse, les médicaments, tout ça pour quoi ?

Pour me retrouver, pour me pardonner, pour être libre d’être.

Alors, Myr, si j’avais été une meuf équilibrée, je ne serais, sans doute, pas longtemps restée avec toi.

Mais dans l’état, dans lequel tu m’as trouvé, tu es et tu restera, le plus beau cadeau, que l’univers m’ai fait.

Car grâce à toi, maintenant, je sais, que plus jamais, je ne ressortirai avec un mec comme toi.

Tu aura, à jamais, ma reconnaissance. Une fois la douleur et la déception passée. Je suis même sure, que j’aurais un amour tendre pour toi, dénué de toute attente ou passion.

Je te souhaite de rencontrer, ton Myr à toi, celle qui t’amènera vers la lumière de ton être.

Comme tu l’as fait pour moi.

Merci.

Annotations

Vous aimez lire Nerea Eïtas ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0