Chapitre 06

13 minutes de lecture

❤️ BETTY-LOU ❤️


Mon réveil m’arrache violemment de mon sommeil. Je tends le bras pour l’éteindre et pivote sur le côté pour poser au sol mes deux pieds.


Quelques minutes après être restée assise au bord du lit, je décide enfin de me lever.


Emmitouflée dans mon pilou-pilou, je marche jusqu’à la cuisine familiale pour prendre mon petit déjeuner. Je me mets sur la pointe des pieds pour pouvoir me saisir du paquet de biscottes qui se trouve sur le dernier rayon du grand placard. Je verse dans ma tasse un doux nectar d’abricots que je porte à mes lèvres. C’est au tour de la confiture de s’étaler sur la biscotte.


Mes cheveux sont en pagaille et ma mine doit être épouvantable. Je textote quelques sms matinaux avec Avana, c’est une habitude que toutes les deux nous avons prises. C’est avec elle que j’ai le plus de liens amicaux, on se dit tout! Aucun secret, aucun mensonge. Une envolée de petits cœurs de toutes les couleurs afin de me mettre de bonne humeur. Quelques selfies avec nos têtes au réveil.


Je débarrasse mon coin de table et me prépare hâtivement. De toute façon, pas le temps ni l’intérêt de faire la belle.


Chez les pompiers pas besoin d’être maquillée comme un camion volé, ni d’être tirée à quatre épingles puisqu’il y a toujours un effort physique à fournir qui viendrait ruiner tout ce travail de minutie.


Le grand portail s’ouvre et je fais une manœuvre en bataille arrière.


Je passe mon badge dans le boîtier qui immédiatement ouvre la porte de la caserne.


Le lieutenant beau gosse semble venir dans ma direction pour probablement m’accoster.


Ethan me gratifie d’un sourire aux dents éclatantes et parfaitement alignées. Est-ce qu’il a des défauts au moins ce gars ?


  • Bonjour Betty-Lou ! La forme ?! Me demande t-il.

Je suis surprise par son élan pour me faire la bise, ce n’est pas pour me déplaire. Je me permets de poser amicalement ma main sur son épaule lors de notre accueil mutuel.


  • Oui toujours ! Déclarai-je heureuse de mon nouveau lieu de travail. Quel est le programme d’aujourd’hui ? Est-ce qu’il y a des tâches à effectuer prioritairement ?

  • Déjà, tu iras voir sur le banc de ton vestiaire, il y a un gros carton ! Je l’ai déposé pour toi. C’est tout ton équipement ! Répond Ethan avec un visage chaleureux.(Ce qui est naturel chez lui). Alors oui... c’est une sorte de stage d’entraînement pour toutes les recrues de la caserne, je vais diriger cette journée mais ne t’inquiètes pas j’en ferai tout autant que vous ! Déjà on va s’occuper de l’entretien des véhicules (ma tête est en décomposition totale) .... oui en tant que femme j’imagine que cela ne te parle pas trop! Tu dois être plus douée en maquillage et tout le tralala dit il taquin. (Je lui rends son sourire) donc nous allons vérifier la pression des pneus, les niveaux d’huile et tout le tsoin tsoin ! L’état des phares.... faire briller les carrosseries, lavage de vitres. Il y a des machines à faire tourner car hier soir des collègues sont intervenu sur un incendie... je te ferai voir les marches à suivre. On doit faire le ménage pour soulager la personne qui habituellement le fait. Et peut-être que l’on pourra se faire une petite séance sportive coaché par moi même. (Il m’a totalement perdue je crois, et si je n’y arrivais pas?) Ah je crois que je t’ai fais un peu peur ! T’inquiètes pas tout va bien se passer tu verras !

Son air jovial fait beaucoup de bien en ces jours hivernaux. Ethan est drôle, sympa, très simple.


Bon, je ne dois pas me décourager, c’est la même densité de travail que lorsque je bossais à l’hôpital mais version caserne. Donc ça m’est un peu inconnu tout ça.


J’enlève mon gros manteau de saison pour le suspendre à l’intérieur de mon casier. À l’aide des ciseaux empreintés sur le bureau de l’accueil, j’ouvre le gros carton dans lequel se trouvent mes affaires.


Les sachets plastiques se font déchiqueter par mes doigts habiles. J’extrais mon polo d’uniforme puis mon pantalon assorti. Avec empressement je les enfile et m’admire dans le grand miroir. Je teste mes bottes de sécurité. Je me trouve pas mal ainsi!


Je range le reste dans mon casier.


Je fais de nouveau irruption dans le hall d’entrée avec mon carton vide que je place à côté de ceux qui doivent partir au recyclage.


Puis je courre retrouver les autres dans le hangar, je frissonne n’ayant pas l’habitude du froid.


  • Sympa l’uniforme ! Tu le portes bien ! Me déclare chaleureusement Ethan.

  • Merci... je me fondrai mieux dans le décor ainsi.... avouai-je.

  • Tu es des nôtres a présent ! Aller viens tu vas regonfler les pneus des camions !

Je le regarde avec des gobilles rondes comme des billes. Je m’accroupis à côté de lui.


  • Et si je dégonfle involontairement les pneus ?! Demandai-je.

  • aucun risque Betty-Lou! Tu n’es pas plus bête que les autres me rassure Ethan.

Je dégoupille la valve et installe le compresseur à côté de la roue pour faire monter la pression en bar.


Les pneus se rehaussent, je rebouchonne la valve, mes doigts sont maculés de tâches noires. Involontairement je me gratte la joue ce qui me vaut un maquillage de garagiste ce qui amuse mes collègues.


Très vite, j’ai regonflé les pneus de tous les véhicules présents ici.


  • Tu fais du bon boulot ! Déclare Ethan. Viens avec moi, on va vérifier les niveaux d’huile, essuie-glaces et compagnie !

Je le regarde faire avec attention pour tacher de m’en rappeler pour les prochaines fois.


Ethan soulève le jerricane d’huile, son biceps se gonfle instantanément ce qui me laisse bloquée, les yeux sur ses muscles saillants.


  • -Tu arrives à suivre ? Demande mon lieutenant en se rendant compte que je l’ai maté un peu trop. Si je vais trop vite, tu me coupes! (Ajoute t-il avec son plus beau sourire ce qui me donne la sensation que mon cœur se resserre sous ma poitrine).

Je me sens rougir.


  • Oui oui ça devrait être bon.....

  • Mouais on verra ça la prochaine fois tu m’avais l’air bien distraite. Dit il en me faisant un clin d’œil pleins de sous entendus.

Le bip du faxe retentit, Ethan se précipite dans sa direction pour en tirer le descriptif d’intervention.


Tous les autres pompiers font de même, je crois qu’il va falloir que je m’habitue à voir autant d’agitation.


Certains me bousculent comme si c’était normal, mon sang ne fait qu’un tour mais je me contiens. Il faut dire que je me trouve en plein milieu du passage.


  • Alors qu’est-ce que tu fous ?! Rétorque Ethan déjà assis dans le véhicule d’intervention. Betty-Lou?!

Je regarde autour de moi pour être certaine que c’était bien à moi qu’il s’adressait.


  • Moi ?!

  • Tu en connais d’autre des Betty-Lou ?! Tu es la seule femme de la caserne la miss. Aller magnes toi un peu ! S’exclame Ethan.

  • Mais je..... tu m’as dis que je suivrai une formation et qu’il ne m’était pas possible de partir en intervention pour l’instant bafouillai-je.

  • Faut bien commencer à un moment ou un autre ! Dépêches toi ! Dit il en souriant.

Je me précipite pour m’asseoir à côté de lui. Le véhicule démarre et sort de la caserne en trombe.

Cela me fait un drôle d’effet de sentir notre beau véhicule rouge rouler à grande vitesse entre les voitures.


Je m’accroche à la poignée en l’air et mes lèvres se crispent.


  • Pourquoi tu m’as emmené Ethan ? Interroge ai-je.

  • Ça a l’air de t’étonner.

  • Oui assez je t’avoue.... j’ai peur de ne pas être à la hauteur...

  • Enlèves toi ça de la tête ! Si le capitaine Maverick t’a fait intégrer la caserne c’est que tu as tous les bagages pour t’en sortir !

  • Hum..........(je me mords la lèvre) et on intervient sur quoi ?

  • Accident de la route, le conducteur en tort est ivre me répond Oscar un des plus anciens pompiers de la caserne.

Mon visage se fige, mes mains se triturent entre elles.


  • Oh détends toi Betty-Lou ! Rigole Oscar.

Nous descendons du véhicule. Je me tiens derrière mes collègues.


Je sens qu’il y a de la tension dans l’air, les deux conducteurs sont en train de s’échauffer en plein milieu du rond point.


  • ALLER FERMES TA GUEULE ! FERMES TA GUEULE hurle la victime ce qui a le don de faire enrager encore plus l’autre conducteur.

  • AZY JE VAIS TE DÉFONCER SALE BALTRINGUE ! Répond l’intéressé.

Ethan tend son bras pour me dire de ne pas m’approcher d’eux. Oscar et d’autres collègues dont je n’ai pas encore retenu les prénoms s’occupent d’aller garer les voitures pour sécuriser la zone.


  • Messieurs, veuillez vous joindre sur l’accotement s’il vous plaît ! Rétorque mon lieutenant.

L’un des deux hommes l’envoie bouler.


Les conducteurs se jettent l’un sur l’autre.


Oscar s’empresse d’attraper la victime sous les bras pour le canaliser.


Ethan repousse en arrière l’homme ivre qui est déséquilibré sur le coup.


  • Du calme... du calme.

  • TU M’EMMERDES !!!! Râle celui-là.

  • Non, je suis pompier je ne suis pas là pour t’emmerder comme tu le dis. On va aller discuter plus loin répond gentiment le lieutenant.

  • VAS TE FAIRE FOUTRE ! S’énerve l’homme barbu en le montrant du doigt tout en bégayant.

La victime se remet à l’insulter. L’homme ivre tente de traverser la route, tout juste retenu par Ethan lorsqu’une voiture manque de les frôler.


Je ferme les yeux et les rouvre quand je comprends qu’il n’y aura pas d’impact.


L’ivresse le rend de plus en plus incontrôlable. J’admire Ethan qui reste calme et lui adresse des paroles rassurantes et censées.


Puis la situation dérape lorsque le poing du fautif atterrit violemment dans le visage du lieutenant.


Ethan grogne mais ne flanche pas, il resserre même sa poigne.


Dix minutes après, les gendarmes l’embarquent en cellule de dégrisement... et cela ne va pas s’arrêter là.


Je regarde Ethan avec pitié en voyant l’état de sa figure.


  • C’est des choses qui arrivent ma belle dit il de sa voix rauque.

  • Aller viens ! Je vais faire quelque chose. M’exclamai je.

L’autre homme est emmené par l’ambulance pour vérifier que tout aille bien.


Ethan s’assoit sur le par terre de notre véhicule. J’ouvre un sachet de compresses stériles, m’empare d’une d’entre elles et d’un peu de désinfectant que je vaporise dessus.


Avec délicatesse, je tamponne le sang séché qui se trouve au bord du nez d’Ethan qui me regarde avec ses beaux yeux gris. Il ne me quitte pas du regard de tout le long de mon acte.


J’applique quelques minutes de la glace sur ses lèvres gonflées.


  • Je te remercie Betty... dit il tout près de mon oreille.

Nous sommes si proches l’un de l’autre que je peux m’enivrer de son parfum, sentir son souffle sur ma joue, l’embrasser du regard. Sa présence m’est très agréable et le contact passe bien.


Aucun de nous ne cherche à rompre ce contact, sa proximité me trouble, j’aurai presque envie de l’embrasser. Ce mec est divin, la perfection à l’état pur! Quelqu’un avec qui on se sent en sécurité.


Mes yeux rencontrent les siens, Ethan se mord la lèvre. Mon dieu qu’il est craquant.


Mon cœur se met à tambouriner. Des picotements envahissent ma vulve, petit à petit je m’humidifie de cyprine. Pourvu que cela ne se ressente pas.


Le bel homme qui est assis devant moi me regarde avec envie, ce regard qui démontre que l’on a envie d’embrasser la personne qui se trouve en face.


Je me recule enfin après de longues minutes d’affrontement de regards.


Oscar arrive vers nous.


  • On va peut-être y aller ! Rétorque Oscar.

  • Euh oui! On ne va pas rester là ! S’exclame Ethan.

Je monte à l’arrière du véhicule et boucle ma ceinture. Durant tout le trajet, Ethan me jette des coups d’œil dans le rétroviseur central. Dès que mon regard croise le sien, il fait mine de regarder la route devant lui ce qui m’arrache de doux sourires.


Arrivés à la caserne nous rangeons nos équipements, certains s’occupent de la paperasse.


Je n’ai pas été d’une grande utilité durant l’intervention d’aujourd’hui, mais cela m’aura permis de voir comment cela se passe.


Je me rends au fond du hangar où sont regroupés tous les pompiers. Je comprends très vite pourquoi, lorsque la fameuse planche apparaît dans mon champ de vision.


  • Je parie cinquante euros qu’elle n’y arrivera pas ! S’exclame un de mes collègues.

  • Je suis certain qu’elle réussira confirme Oscar d’un signe de tête.

Génial, j’ai la pression maintenant ! En plus de ça, il y a le lieutenant.


Tous les hommes m’attendent bras croisés, regard fixe.


Je lui lance un regard noir.


  • Ah oui pourquoi je n’y parviendrai pas ? Parce que je suis une femme c’est ça ? Rétorquait-je la voix tremblante.

Le capitaine Maverick fait cesser les bavardages en un regard.


  • À toi jeune fille ! Déclare le capitaine alors que toute la caserne se tourne vers moi, je déglutis silencieusement.

Je m’avance à quelques mètres de la planche et la contemple plusieurs minutes. Je voyais ça beaucoup moins haut, beaucoup moins angoissant. Tout le monde m’a mis au défi et si je ne veux pas être la risée de la caserne je vais devoir y arriver !


Je prends mon élan et me retrouve suspendue dans le vide, les mains crispées sur le rebord de la planche. Je me rends compte que je n’ai aucune force dans les bras. J’ai beau pousser sur ceux-ci mon corps est tenté d’être attiré vers le bas. Je n’ai pas d’autres choix que de lâcher ma prise, ce qui vaut quelques moqueries de mes congénères lorsque mes fesses tombent lourdement sur le tapis.


  • ÇA SUFFIT !!! Tonne Ethan voyant que cela ne cesse pas. Vous n’êtes pas sympas ! Betty-Lou ce n’est pas grave, ressayes !

Ils m’ont tellement mis la rage ces cons de bonhommes que je vais leur montrer ce que j’ai dans le ventre !


Je recule puis m’élance de nouveau sur la planche. Mes coudes me maintiennent, je réfléchis à comment grimper?


Je balance ma jambe à plusieurs reprises qui finit enfin par passer sur la planche. Je me hisse avec la force de ma cuisse et me retrouve à genoux sur la planche.


Maintenant je dois redescendre en agrippant les bords avec mes mains puis me pencher en avant. Mes abdominaux doivent me retenir le temps que mes jambes soient à la verticale et ma tête dans le bon sens.


Je reste figée sur mes genoux mains posées à plat dans l’attente que l’on vienne m’aider. Je n’ai jamais été bonne en gymnastique. Je les supplie du regard.


  • Ethan tu t’en occupes ? Demande le capitaine à voix haute.

Il obtempère et s’approche tout près de la planche.


  • Aller Betty stabilises toi avec tes mains. Allonges tes jambes ! Oui bien et maintenant penches en avant l’avant de ton corps. Super encore un peu et lorsque tu ressents la descente tu contractes un maximum la ceinture abdominale pour ne pas te faire entraîner.

  • Je ne le sens pas.....

Mon corps se raidit et mes mains tremblent violemment.


  • Fais moi confiance me chuchote Ethan.

Sa main se positionne au milieu de mon dos, je soupire à ce doux contact posé avec attention. Je me penche un peu plus tout en contractant mes muscles. La main de mon lieutenant dérape involontairement pendant la chute et se retrouve sur mes fesses bombées.


Il la retire aussitôt sous les sifflements de nos collègues.


  • Tu vois tu peux le faire. Me chuchote t-il. Et désolé je ne l’ai pas fait exprès... je voulais te soutenir le dos et tu es descendue trop vite.....

Qu’il est mignon quand il est gêné ! Ses joues ont rougi et son front a quelques gouttes de sueur.


  • T’inquiètes pas tu m’as soutenu à ta manière ! Dis-je pour détendre l’atmosphère.

  • Ce n’était vraiment pas voulu! Me dit il avec sincérité.

  • Alors on passe des mains ?! Se moque un collègue.

Ethan ignore cette remarque et revient se positionner là où il était placé pour regarder les autres.


Vient son tour. Il ne prend quasiment pas d’élan ce qui me laisse sans voix. Et là où je suis encore plus sans voix c’est lorsque ses biceps le soulèvent avec facilité qu’en un temps record le voilà assis sur le rebord de la planche. Je ne peux détacher mon regard de son corps de pompier, il en ferait craquer plus d’une !


Avec agilité il roule, retient ses jambes à l’équerre avant de les déplier entièrement.


Notre séance sportive s’est bien passée ! Je suis fière d’avoir réussi cette épreuve que je redoutais tant.


Après une bonne douche, je peigne ma chevelure pour la laisser sans étreinte de tout élastique.


Je ressors ainsi sous le regard de mes collègues, Ethan y compris.


Cela me fait sourire! J’adresse un petit signe de la main à Oscar qui est en train de sortir les poubelles.


Oscar est un homme intéressant qui a beaucoup d’expérience. Il a eut la gentillesse de me faire part de quelques petites choses afin que je puisse apprendre.


Quelques minutes après j’effectue la marche avant pour sortir par le grand portail.


Je rentre à la maison, salue mes parents puis me dirige dans la cuisine pour grignoter des pains au lait avec un peu de nutella. Cette nouvelle journée m’a creusé le ventre.


Puis je monte dans ma chambre à l’étage me poser devant une série netflix enroulée dans un plaid polaire. Accompagnée de mon thé et de mon téléphone portable sur lequel j’envoie quelques sms à mes copines.


Je suis un peu distraite que j’ai du mal a comprendre ce que je regarde. Je repense à Ethan. Cette main qui s’est posée sur mes fesses et qui ne m’a pas été désagréable.


Cet homme me fascine, m’attire comme un aimant. Cela fait que deux jours que je le connais mais c’est plus fort que moi, quelque chose m’intrigue.


Je n’ai jamais vu un homme aussi beau, en plus il a la maturité avec ses quelques années de plus. Et... des muscles bien développés. J’ai du saouler mes amies une majeure partie de la soirée avec cela! J’ai même fais ma psychopathe en allant chercher sur internet ! Bingo ! Il ne m’a pas fallu longtemps pour tomber sur son profil Facebook. J’ai envoyé le lien à mes amies qui l’ont trouvé juste magnifique ! Canonissime !

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