Chapitre 13. Sept ans plus tard.

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### Rosa. ###

7 ans plus tard...

Je venais de fêter mon dix-septième anniversaire sans Grace ! Elle s'était s’éteinte dans son sommeil la semaine précédente.

Frank constata son décès au matin.

– C’est fini Rose, son cœur était usé ! Elle a été heureuse avec nous.

Comme elle l’avait souhaitée, son corps fut brûlé et ses cendres dispersées.

Dans son testament, elle me légua sa fortune. Fortune oui, car tout l’argent que Frank lui paya mensuellement durant toutes ces années se trouvait sur un compte d’épargne qu’elle avait récemment ouvert à mon nom.

Dans un an je serai majeure, j’allais pouvoir réaliser mon projet !

Maggy n’avait toujours pas d’enfant, je soupçonnais qu’elle était stérile. Était-ce le résultat de ses blessures ? Frank me l’avait laissé entendre à demi-mot lorsque nous en avions parlé un soir sans Maggy.

J’avais terminé mes études secondaires, aux dires de mes camarades, j’étais une très belle femme et certains me laissaient comprendre qu’ils voulaient coucher avec moi !

Aucun de ces garçons ne m’intéressait.

À la maison mon attitude et ma tenue n’avaient pas changé, je portais toujours simplement un pagne, souvent seins nus. Grace et Maggy m’avaient souvent suggéré de couvrir mes seins mais comme elles ne le faisaient pas non plus…

D’après Maggy mes seins étaient insolents de beauté alors que ceux de Grace à l'époque avaient perdu leur attrait et ceux de Maggy commençaient à s’affaisser légèrement. Fréquemment mes tétons se dressaient lorsque mon désir grimpait, ils devenaient très sensibles sous mon toucher et ça me procurait des vibrations dans le ventre.

Malgré les regards courroucés de Maggy, je m’introduisis encore régulièrement dans la douche de Frank pour notre jeu de lavage mutuel.

Même s’il m’avait demandé à plusieurs reprises de cesser ces enfantillages, je persistai et j’avais grand plaisir intérieurement à le voir bander. Il savait qu’il jouait à la limite de l’interdit lorsqu’il lavait longuement mes seins. Récemment Maggy venait nous accompagner, je crus que c’était pour nous surveiller !

J’avais remarqué que lorsque je lavais le corps de sa femme et spécialement entre ses cuisses, la verge de Frank gonflait encore plus intensément. Je crus à un moment donné que Maggy aussi joua avec la limite. À plusieurs reprises elle décalotta le gland et présenta ses fesses dans un simulacre de rapport intime.

Combien de temps devrais-je encore attendre pour le caresser, le sucer et lui donner ma virginité en échange d’un enfant ?

Oui, mon projet était toujours le même.

Maggy essaya à plusieurs reprises de me demander de dormir seule, mais je voulais toujours profiter de sa présence maternelle, de ses baisers et de ses caresses. Ainsi lorsque Frank venait dormir certains soirs, fatigué après de nombreuses opérations, il m’arriva de masser son corps car Maggy s’était endormie.

Hier soir encore, j’avais profité de la situation, après avoir longuement massé son dos, lorsqu’il se retourna je vis sa verge érigée.

Maggy dormait profondément, après quelques hésitations, je me décidai et entrepris de le caresser.

Est-ce que Frank ne réalisa pas qui le caressait ? Crut-il que ce fut Maggy ? En tout cas il accepta mes caresses.

J’eus la confirmation lorsqu’il murmura : "oh oui, Maggy, il y a longtemps que tu ne m’as plus massé ainsi !"

Puis il éjacula, je fus surprise de la soudaine éruption ! Je reçus la salve dans la figure et sur mes seins.

Bien entendu, je voulus goûter ce que Maggy, Grace et tatie Isa avaient bu avec tant de plaisir. Je fus un peu déçue ! Je m’attendais à quelque chose de sucré ! Ça l’était mais beaucoup moins que certaines pâtisseries que Grace me préparait.

Ce n’est que lorsque j’entrepris de le mettre en bouche que Frank comprit qu’il était berné. Ses mains sur ma tête, il ne caressa pas les cheveux raides de Maggy mais ma tête de cheveux courts et bouclés.

– Rosa !

Mais je mis ma main sur sa bouche pour le faire taire. Ses yeux exprimaient l’étonnement si pas l’horreur !

– Non, Frank ne dis rien ! Ça fait longtemps que je voulus te donner ce plaisir, ne réveille pas Maggy !

– Mais c’est de l’inc… parvint-il à murmurer.

– Non Frank, je ne suis pas ton enfant, seulement une fille que tu as recueillie ! Ne parle pas ! Je veux réaliser mon rêve ! Je veux être ta femme, ton esclave, être l’objet de tes désirs sexuels et je veux un enfant de toi !

Frank me regarda, il comprit qu’il ne devait pas faire de bruit sous peine de réveiller Maggy. Je tins toujours son pic dans ma main. Oh, combien de fois sous la douche j’ai voulu le masturber comme Maggy, tante Isa ou Grace ! Combien de fois j’avais caressé mon minou dans mon lit en solitaire en rêvant qu’il me prenne comme un homme prend sa femme.

Il était à ma merci, je sentis sa verge se durcir dans ma paume. Avant qu’il n’eût le temps de réagir, je me mis au-dessus de lui et m’empalai comme j’avais vu faire Maggy de nombreuses fois.

Je sentis une petite douleur. Je savais que je venais de perdre ma virginité, mes camarades d’école m’avaient prévenue. Je continuai à m’enfoncer jusqu’à sentir sa verge tout au bout de mon vagin. Je fis des allers-retours jusqu’à ce Frank me remplit de son sperme en criant « non ! »

Maggy se réveilla mais c’était trop tard ! Je sentis pour la première fois un orgasme provoqué par le sexe encore dur de Frank. Ma vision se voila quelques instants et ma tête retomba sur le torse de Frank.

Maggy ne dit rien, elle comprit ce qui vint de se passer.

– Rosa dit-elle, et elle m’embrassa longuement sur la bouche.

Je sus que j’avais gagné ! Je sus que je pourrai recommencer, que Maggy accepta le fait accompli.

Frank ne s’était pas encore retiré, mais en voyant sa femme qui m’embrassa, il se résigna.

À mon tour je l’embrassai passionnément, il ouvrit sa bouche et je sentis son sexe se raidir à nouveau dans mon intimité.

Maggy caressa ma tête et glissa sa main sur mon dos jusqu’à mes fesses. Elle descendit ses doigts entre les lobes et me sourit.

– Tu as enfin obtenu ce que tu voulais depuis tant d’années : être son esclave !

– Oui, répondis-je, et avoir son enfant !

– Rose, tu es encore si jeune, est-ce vraiment ce que tu veux ?

– Oui ! Je veux rester ainsi. Je veux être entièrement au service des désirs de Frank et de toi Maggy. Mais je ne t’autorise pas à me vendre ni à me prêter à d’autres hommes ou femmes. C’est exclusif !

– C’est d’accord dit Frank. Mais je te laisse jusqu’à ce soir pour réfléchir. Après il n’y aura pas de retour possible.

Je me relevai et je vis un peu de sang et de sperme mêlés s’écouler de mes cuisses.

– Va te laver ! dit Frank. Ensuite tu nettoieras mon sexe.

Lorsque je revins, Frank était en conversation avec Maggy, elle sourit en me voyant.

– Alors dit-elle, tu as réfléchi ?

– Oui Maggy.

– On te rassure, on ne te fera jamais souffrir. Si à un moment tu demandes une suspension tu pourras utiliser le mot magique (mot d’arrêt) que tu vas choisir.

– Maman, dis-je, le mot magique sera Maman, je ne l’ai jamais connue, c’est elle qui me protégera.

– Maintenant nettoie mon sexe, dit Frank, avec ta bouche.

Je m’approchai, le pénis était raide mais je parvins à décalotter son gland, avec ma langue, je léchai les traces de sperme et les quelques gouttes de sang qui prouvaient la perte de ma virginité.

Le gland de Frank vira au rouge foncé, je voulus le masturber.

– Je ne t’ai pas autorisé à m’exciter ! Prends le lubrifiant et étale-le sur le cul de Maggy et enfonce ton doigt dans sa fleur.

– Ah, Rose, continue maintenant nous serons deux à servir notre maître !

– Oui, Maggy désires-tu un plaisir particulier ?

– Oui, mais d’abord tu dois exécuter l’ordre du maître. S’il a demandé de lubrifier ma fleur c’est qu’il veut me sodomiser.

– Aide-moi, mets aussi un peu de gel sur son gourdin.

Lorsque j’eus massé soigneusement l’anus de Maggy et qu’elle émit de petits gémissements Frank écarta les fesses de sa femme et pénétra doucement. Je détectai bien une grimace sur le visage de Maggy mais ce fut bref. Très rapidement un large sourire s’afficha, Maggy glissa ses doigts dans son vagin pour se caresser. Sans aucune pudeur, elle cria son plaisir accompagné d’un grincement de Frank qui libéra son jus,

Je m’approchai dans le but de caresser le visage de mon maître mais il me surprit en suçant mes seins.

Ce fut la toute première fois ! Il suça et mordilla au point que j’eus un petit orgasme. Maggy se joignit au festin provoquant une jouissance profonde, je sentis un fluide s’échapper de mes lèvres intimes. Ce fut prestement récupéré par Maggy.

– Oh j’adore ta cyprine, dit-elle, ce matin on ira en ville faire quelques achats pour te conformer à ton nouveau statut.

– À quoi penses-tu Maggy ?

– Ce sera ton maître qui choisira. Rappelle-toi même à l’extérieur de la maison, tu devras te montrer obéissante.

Frank indiqua le boubou que je devais vêtir, il était très sobre tant pour la couleur que pour la coupe. Bref, je ne me ferais pas remarquer. Il fit un petit signe d’approbation lorsque je fus prête.

À la sortie du compound notre escorte nous attendit. La circulation à Lagos ne s’était pas améliorée au cours des années, la sécurité non plus ! La seule chose qui avait changé c’était l’emploi de la sirène, plus personne ne faisait attention, certains usagers réagissaient encore au gyrophare bleu mais ils étaient peu nombreux. Il fallut les coups de bâton des policiers dans le pick-up, sur les voitures qui nous bloquaient, pour dégager la voie. Le magasin où nous stationnons n’avait aucune enseigne. Nous fûmes accueillis par une jolie fille qui montra ses tétons à travers un chemisier totalement transparent. Frank indiqua qu’il désira un ensemble sexy, pour Maggy et moi. Elle reçut un exemplaire pour essayer, la culotte était un string très serré qui rentrait entre ses lèvres. La vendeuse demanda si c’était confortable Maggy hésita à répondre mais Frank approuva.

Le mien fut encore plus réduit, l’avant du string comportait un espace permettant un rapport sexuel sans enlever le vêtement (enfin si on appelait cela encore un vêtement), le soutien-gorge transparent comportait des trous pour les tétons. C’était tellement serré que j’eus des frissons.

Frank approuva, je me demandai combien de minutes j’allais supporter cette pression. Puis il commanda deux séries de Plug anaux, chaque série était composée de quatre dimensions dont le plus gros me sembla impossible à introduire. La vendeuse m’expliqua avec un grand sourire que non seulement il fallait commencer par la plus petite taille et qu’il fallait le porter en permanence.

Si, si, dit Maggy, tu t’y habitueras !

Mets dès aujourd’hui le premier dit Frank ainsi tu seras prête en arrivant.

Frank commanda encore plusieurs tubes de lubrifiant et des capotes en grande quantité. Lorsque je pris place dans la voiture, le plug s’enfonça profondément, je ne pus empêcher un petit gémissement ce qui fit sourire Maggy.

Tu verras qu’en arrivant à la maison tu seras habitué à sa présence.

Ouais ! C’était plus un vœu pieux !

NDA : Rosa est grande maintenant !

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