Chapitre 16. Tentation par la directrice.

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### Rosa ###

En rentrant à la maison le soir, j’étais choquée. Maggy nous servit le repas et puis je me couchai sans délai.

Je repensai à ma journée et mon rêve. Comment lier l’image du militaire qui voulait me violer et ces hommes qui sont censés nous protéger ? Ces hommes qui abusaient de leur force, alors que par définition, ils devraient nous inspirer la confiance.

Je revoyais l’enseignante qui se croyait sauvée des terroristes et qui termina abusée à en mourir si Frank n’avait pas su la rattraper.

J’entendis Frank et Maggy me rejoindre. Je vis Frank embrasser longuement celle qui depuis leur première rencontre voulait se soumettre à son maître en remerciement. Par contre Frank refusait notre soumission. Car oui, moi aussi je voulais être son esclave et servir Maggy qui me caressa et me serra contre elle,

– Tu veux vraiment un bébé ?

– Oui Maggy, pour toi et Frank, mais aussi pour moi. Je veux lui appartenir, je veux t’aimer.

– Frank tu veux nous aimer aujourd’hui ? demanda Maggy.

– Oui, dit Frank, mais je vais commencer par Rosa, pour qu’elle profite du meilleur de mon sperme. Autant lui donner le meilleur.

– Merci Frank, viens maintenant.

Il se déshabilla sachant que nous, ses femmes admirions son corps.

Il se glissa nu dans mes draps, Maggy caressa mes seins pour me faire grimper dans les tours. Frank s’introduisit dans mon vagin en me regardant dans les yeux.

– Frank, je t’appartiens comme Maggy, je suis ton esclave, je suis ton jouet. Si tu veux un enfant, je t’en prie, donne-moi ta semence.

– Oui ma puce, tu es tellement étroite, je ne tiendrai pas longtemps.

– Ce n’est que le premier rapport, Frank, tous les jours tu pourras profiter de moi !

L’haleine de Frank devint oppressante, il recula la couverture pour admirer mes seins. Le médecin n’avait de cesse de promener ses doigts sur mon corps.

– Oh, tu es belle ! Je ne veux pas que tu sois mon esclave mais si tu y trouves ton plaisir…

Je sentis les doigts de Maggy s’insérer dans mes lèvres et titiller mon clitoris. Cela accentua encore l’érection Frank qui ne put retenir plus longtemps sa salve.

– Oh, c’est trop bon, cria-t-il.

Je fis bouger mes muscles pelviens pour mieux le serrer ce qui augmenta notre plaisir mutuel. Frank continua jusqu’au dernier spasme.

– Reste couchée dit Maggy en caressant mon ventre. Ça t’a plu ?

– Oui, Maggy et toi tu veux aussi jouir ?

– Oui ma puce, laissons Frank reprendre son souffle et son érection.

– Je peux arranger ça ! dis-je.

– Un peu de patience, dit Frank, rien que la vue de vos caresses et de vos baisers mutuels, me font un effet revigorant.

– Tu as des désirs particuliers ? demanda Maggy. Tu veux que je lèche ses seins ?

Moi j’eus une autre idée ; je descendis une main vers son gourdin qui reprit déjà de la vigueur. Frank comprit immédiatement ce que j’eus en tête. Je reculai le drap qui nous couvrit, exhibant l’objet de ma convoitise.

J’approchai mes lèvres tandis que Maggy décalotta son gland qui libéra le restant de sperme de notre étreinte. Ce fut une surprise pour moi comme la découverte d’une sucrerie cachée.

J’absorbai avec délice en suçant les fluides mélangés de sperme et de ma cyprine, ce qui fit gémir mon maître.

– Rose, pas trop vite ! Laisse-moi récupérer pour que ta sœur puisse sentir mon pieu bien dur et profond dans son corps.

Nos massages et caresses combinés redressèrent son coq, Maggy s’empala avec un soupir sur sa verge. Elle fit un galop du tonnerre, ce fut une copulation merveilleuse que Maggy clôtura en lui donnant ses seins en bouche. Frank les suça à tour de rôle, provoquant une nouvelle vague de plaisir pour Maggy.

Frank nous garda à ses côtés pour prendre un repos bien mérité.

°°°

### Frank ###

Le matin fut un peu difficile ! Mes deux compagnes de débauche de la veille voulurent remettre le couvert ! Je parvins à les dissuader en faisant des promesses que je n’étais pas certain de pouvoir tenir. Mais le travail à la mission était prioritaire.

Rosa parvint quand même à m’entraîner sous la douche, néanmoins elle resta sage en me lavant. Son corps de rêve me fit quand même bander, mais elle négligea l’invite.

Par contre je dus faire un gros effort pour ne pas me laisser tenter par ses seins d’ébène dont les tétons foncés m’invitaient à les sucer.

– Rose, tu es très belle, même trop belle, mais je vais juste me contenter d’embrasser tes seins. Puis on file à la mission.

– Oui, Maître, c’est pareil pour moi ! Ton gourdin en érection m’invite à la copulation. Mais j’attendrai ce soir.

Je n’en crus pas une parole, elle était capable de me coincer dans une pièce sans passage de la mission. Encore qu’avec la crise, beaucoup de place était occupée par les victimes.

Je notai quand même que ce matin elle revêtit un pantalon saroual à jambes très larges de couleur beige et un top gris clair à manches sans décolleté. Je trouvai le choix très astucieux car beaucoup d’hommes surtout les militaires étaient attirés par sa taille et jambes fines.

Comme je la matai ostensiblement elle me demanda,

– Tu me trouves jolie malgré tous mes efforts pour être discrète ?

– Oui, tu as une allure d’une femme du harem !

– De ton harem alors ! dit-elle en riant.

Malgré cela elle fut le point de mire en arrivant ! Isabelle, elle était en tenue de camouflage, les filles s’embrassèrent en riant. Je supposai que c’était un complot.

La directrice de la mission me salua affectueusement, c’était assez inhabituel. Elle était vraiment élégante ce matin, Je la vis sous un jour nouveau. C’est la première fois sur toutes ces années que je remarquai sa beauté et sa jeunesse.

– Bonjour Docteur Frank ! Je profite de l’occasion pour vous remercier. J’aurai aussi besoin de votre avis pour trier les petites, mon intention est de ne garder ici que celles qui requièrent vos soins et de repartir les autres dans les orphelinats des environs.

– Je suis entièrement de votre avis, Madame. D’autant plus que le Préfet de Police nous envoie toutes les victimes, nous sommes le centre d’accueil attitré.

– Oui, mais le Préfet nous a aussi attribué une somme importante pour notre fonctionnement, et je lui suis reconnaissante. Car les donateurs sont rares et peu généreux.

Cela expliqua sans doute son attitude. Lorsqu’elle se pencha au-dessus du premier lit je vis les globes magnifiques de ses seins bouger sous l’effet de son mouvement et de la pesanteur. La vue était très agréable, ce qui fit tressaillir mon bas-ventre. Rose et Isa ne virent pas les efforts de séduction car elles rejoignirent l’enseignante qui avait quitté son lit pour la première fois.

Cette tentative était bien calculée, je vis qu’elle suivit mes yeux bien accrochés à sa poitrine ! Je pris son exhibition pour un geste de reconnaissance. Nous passions de lit en lit et mon attention fut dérivée par les cas à examiner, jusqu’à ce que je sente sa main sur mon épaule, puis sur mon cou.

Je ne fus pas trop surpris et compris qu’elle voulut m’entraîner vers son bureau. En fait le couloir était encombré de lits placés provisoirement, je fus distrait à plusieurs reprises de l’examen des blessées par sa façon de se placer dans mon champ de vision.

Parfois pour bien examiner les fillettes je défis les draps qui les couvraient.

– Elles sont adorables, dit-elle soudain. Comment est-ce possible que certains hommes soient attirés par ces corps nubiles pour leur faire du mal ?

– Oui, dis-je certains hommes dans leur recherche du plaisir sont attirés par les corps à peine formés.

– Et comment va la petite Rosa ? C’est devenu une belle femme maintenant.

– Oui elle a terminé ses études et m’assiste avant de choisir l’orientation de sa vie.

– Oh, elle continue de vivre avec vous ?

Je vis que cette femme voulut m’embarquer dans des conclusions scabreuses. Voulait-elle insinuer que Rose ne m’intéressait plus parce qu’elle était adulte maintenant ?

– Oui elle vit avec Maggy et moi, nous formons une cellule familiale.

– Ah oui, Maggy, la femme que vous avez sauvée d’une mort affreuse ! J’ai cru un moment que vous alliez la prendre pour femme ?

– Non, elle a été trop traumatisée avant que je ne la trouve. Elle reste avec moi par reconnaissance de l’avoir sauvée.

– Elle est votre servante ? Elle vous rend peut-être d’autres services ?

Entre-temps nous étions arrivés dans son bureau. Je vis que subrepticement elle tenta de bloquer la porte. Je l’en empêchai et laissai la porte ouverte. Puis elle se tourna vers moi.

– Frank, appelle-moi Joy, si tu n’aimes pas les fillettes peut-être voudrais-tu une femme mature ? Je peux rendre ta vie plus agréable. Tu es un bel homme !

Disant cela, elle défit quelques boutons de sa robe exposant ses seins magnifiques encore bien fermes.

– Joy, je suis venu en Afrique pour aider les personnes à résoudre les problèmes de santé individuels, pas pour en créer davantage. Tu es une très belle femme. Tu n’es pas la seule à me proposer des services sexuels. À la clinique, à la mission, dans mon entourage beaucoup d’adultes veulent m’offrir leur corps ! Non, les petites filles ne m’intéressent pas, je ne suis pas pédophile. Ici le hasard veut que ma connaissance et mon expérience chirurgicale permettent à de nombreuses personnes de survivre à des violences. Ne m’en veux pas.

– Frank j’aimerais tant te faire plaisir !

À ce moment Rosa frappa à la porte entrouverte et je vis au regard de ma chérie qu’il y avait une urgence.

– Docteur on a apporté une femme qui saigne abondamment, elle a besoin de votre intervention.

En parlant elle jeta un coup d’œil vers Joy qui se détourna pour masquer sa poitrine et se rhabiller. Sans parler à Joy, je suivis Rose, qui me fit un sourire sarcastique.

– J’ai bien vu ?

– Oui ma chérie, la directrice cherche à me séduire depuis ce matin ! J’ai échappé de justesse à une attaque en règle d’une paire de seins très appétissants. Elle voulut me remercier de la donation d’Ousmane à la mission.

– Oui, j’ai entraperçu une belle paire de nichons, désolé d’avoir interrompu ce tête à tête !

– Tu ne crois pas si bien dire ! Je me demandai comment éviter la confrontation.

– Frank, voilà la victime. Les soldats l’ont apportée dans l’état tel que découverte. Le poignard est encore enfoncé dans son ventre.

Comment peut-on être aussi cruel ! Elle avait reçu deux coups, un dans le vagin, le deuxième dans le ventre. Happy déjà sur les lieux essaya vainement de stopper l’hémorragie.

– Happy, Rose vous aller m’assister, on l’opère ici, sinon elle sera perdue !

J’ouvris le ventre comme pour une césarienne par une incision basse sans toucher au poignard. Happy administra un anesthésiant local ce qui permit de ne pas causer des douleurs supplémentaires. Je vis immédiatement l’artère utérine déchirée. Happy me présenta une pince pour bloquer le flux sanguin. Je demandai à Rose de tenir la pince. Happy m’assista pour suturer. Puis je retirai le poignard en évitant de causer plus de dégâts par le tranchant dentelé. Heureusement le couteau n’avait pas touché un vaisseau important.

La fille était sauvée ; elle reprit conscience beaucoup plus tard. Elle était faible mais hors de danger.

– Frank, je suis admirative dit Happy. Vous avez vraiment beaucoup d’expérience.

– Oui Happy, j’eus un maître de stage qui m’appelait à chaque fois qu’il devait pratiquer une césarienne. Mais ici j’eus beaucoup de chance.

Rosa s’approcha et me fit un câlin,

– Frank, tu es tout dur ! Qu’est-ce qui te mets dans cet état ?

Je compris à la remarque de Rose, que j’avais une terrible érection.

Elle regarda autour de nous, Happy avait quitté le vestiaire, elle ouvrit mon pantalon et exhiba mon sexe érigé.

– Mon Maître, veux-tu que je te soulage ?

– Depuis ce matin, je suis taquiné par le sexe ! Vous deux ce matin qui au lever de soleil voulurent déjà me caresser. Puis toi sous la douche ! Ensuite la directrice qui pense que les fillettes me font bander. Après un interrogatoire plein d’allusions sexuelles, elle m’aurait certainement proposé une relation que j’aurais peut-être acceptée sans cette urgence. Oui, Rosa, caresse-moi, laisse-moi exploser dans ta bouche.

– Oui Maître, regarde ma soumission !

Elle défit prestement son top. La vue fut magnifique ! Ses seins durs, par l’excitation, sur lesquels je vis quelques gouttes de sueur perler. Elle coinça mon bâton dans le sillon entre ses seins. Puis me fit une fellation frénétique. Mon jus ne fut pas long à monter dans mes bourses.

J’inondai sa bouche dans un râle à peine contenu ! Je revis dans un flash les obus de Joy devant ma bouche.

Je pris la tête de ma petite esclave et prolongeai mon orgasme et me masturbant entre ses lèvres. Rosa comprit mon désir et me suça jusqu’à la dernière goutte. Nous étions restés debout au milieu de la pièce, Elle se releva, et me fit un sourire pétillant puis passa la langue sur ses lèvres pulpeuses pour lécher les restes de sperme.

Ma lance encore dressée en voulut encore mais Rose avec un peu de regret remit mon engin à sa place dans mon pantalon. Elle remit son top en me regardant avec défi comme pour m’inviter à une suite.

Nous fîmes le tour des patientes, certaines réveillées me dirent merci, ou me firent un grand sourire. L’enseignante Ina tendit ses bras à mon passage, attrapa mon cou pour me rapprocher. Elle me fit un baiser très chaste sans un mot.

Je compris son message,

– Ne vous en faites pas, vous resterez ici sous bonne garde.

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