Chapitre 17 . Jeux nocturnes 

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### Rosa ###

Lorsque je suivis Frank dans les couloirs de la mission, j’avais encore mon intimité humide. Je sus que je devrais patienter jusqu’au soir pour profiter de la pénétration de mon maître à moins de trouver un endroit très tranquille. Ça, ce n’était pas garanti avec l’affluence des victimes.

Mais la journée s’avéra totalement différente ! Il y eut une urgence effroyable à traiter immédiatement. Je sus que Frank avait suivi la directrice dans son bureau. Le câlin très démonstratif qu’elle avait offert à Frank laissait présumer un moment très chaud dans l’intimité de son bureau.

Mais la porte était restée entrouverte ! La directrice ne fit pas dans la dentelle ! Elle était pendue au cou de Frank lui offrant ses mamelles encore bien arrogantes. Je toquai sur l’huis ce qui n’eut pas l’air de plaire à la femme et elle se détourna pour se rhabiller.

Je guidai Frank vers la blessée tout en matant l’entrejambe impressionnant de mon Maître.

C’était effrayant ! La femme évanouie perdit du sang en abondance. Jamais je n’avais vu une réaction aussi rapide. Il donna à Happy l’instruction d’injecter un anesthésiant local pendant qu’il ouvrit le ventre de la femme. Je n’avais jamais vu une opération en direct. C’était à la fois effrayant et merveilleux ! Frank bloqua l’écoulement du sang puis me demanda de serrer la pince pendant Happy et lui suturèrent le vaisseau sanguin.

Frank m’autorisa à relâcher la pince. Frank vérifia l’étanchéité de sa suture avant de recoudre très soigneusement l’incision puis il fit pareil pour la blessure au couteau. Jamais je n’eus envisagé qu’on pouvait opérer ainsi dans une chambre ordinaire sans avoir à disposition tous les équipements d’une salle d’opération.

Lorsque Happy eut quitté la pièce je trouvai que la bosse de son érection mérita mes soins urgents. Je défis mon vêtement d’infirmière pour m’agenouiller devant le sexe de mon Maître.

Non seulement Frank se laissa faire mais lorsqu’il sentit sa verge dans ma bouche, il fut pris dans un accès frénétique : c’est lui qui se masturba entre mes lèvres à décrocher ma mâchoire. Intérieurement je criai victoire, mon maître toujours si mesuré avait perdu son sang-froid !

Je crois qu’il comprit trop tard qu’il avait perdu toute mesure.

– Pardon ma chérie, je ne me maîtrisai plus du tout. Je suis devenu un animal pareil à ceux qui ont commis ces crimes horribles.

– Non, Maître, tu as juste été emporté par ton désir pour moi, j’ai adoré !

– C’est à peine croyable !

– Qu’est-ce qui te fait douter ?

– Je n’ai encore jamais perdu les pédales avec Maggy ou avec toi !

– Et tu regrettes ?

– Non, tu as voulu être mon esclave sexuelle, j’en ai profité !

– Tu recommenceras ? J’espère car j’ai beaucoup apprécié.

Son sexe était toujours dressé, lorsque je repris le massage de sa lance, il y eut encore du sperme qui s’échappa de son méat. Avec ma langue je lapai avec délice son gland, je bloquai son gland décalotté qui vibra encore à chaque coup de lèche. Frank tendit ses mains vers mes seins pour les caresser sur toute la surface. Je vis mes tétons se dresser. Frank me retourna contre son ventre. Je sentis son bâton se glisser entre mes fesses. Je fis bouger mon cul pour qu’il glisse contre mes lèvres intimes. Lorsqu’il entendit mes gémissements il écarta mes cuisses et vint caresser mon bijou.

C’était beaucoup trop bon ! Puis il m’obligea à me pencher et enfonça son pieu au plus profond de mon vagin.

– Ne bouge pas murmura-t-il, je te sens bien !

Ses doigts et sa verge me firent grimper au sommet du plaisir. Dans un râle puissant il lâcha sa salve encore vigoureuse. Je perdis conscience pendant un bref instant. Mais il ne se retira pas, ses allers-retours se firent encore plus intenses.

– Oh, Frank ! Continue ! Ça revient !

Je ne pus retenir mes cris. Je devais être très bruyante, car la porte s’ouvrit pour laisser entrer la directrice !

Je voulus me dégager mais mon Maître me retint. La directrice referma la porte dans son dos et s’approcha de nous.

– Quel spectacle ! dit-elle. Voilà le docteur qui se défoule ! Rosa ! Tu as l’air d’apprécier, je veux ma part !

Elle découvrit ses seins en disant :

– Rosa, suce mes seins ! J’aurais bien voulu prendre ta place mais ce sera pour une autre fois.

La femme poussa ses seins dans ma bouche mais cela ne lui suffit pas. Elle prit la main de Frank coincée entre mes cuisses pour la placer dans son ventre. Frank comprit son désir et la masturba énergiquement.

Ce ne fut pas long avant qu’elle ne criât son plaisir. La femme s’agrippa à ma tête écrasant mes lèvres contre ses seins. Ce n’est qu’après de longues minutes que ses spasmes moururent et qu’elle abandonna la position.

– Demain je vous veux tous les deux dans mon bureau ! Sinon je vous dénonce ! Vous me donnerez ensemble les caresses que je réclame.

Frank fut étonné et je crois même choqué par l’agression de la directrice.

– Il est hors de question que j’entame une relation avec cette femme ! dit-il.

– Je crois que j’ai une solution, dis-je. J’en parlerai avec Maggy.

Frank me regarda attentivement, j’étais encore nue contre le ventre de Frank. Je ne voulus pas me désengager, d’autant plus que je sentis son sexe se durcir dans mon vagin.

Je tournai ma tête vers lui. Il sentit les contractions de mes muscles pelviens et me sourit.

– Je suis sûr que ton idée va me plaire !

– Ne te fais pas de soucis, dis-je, on reprendra cette relation tout à l’heure.

En arrivant à la maison, Maggy comprit que quelque chose ne tournait pas normalement. Elle s’approcha de Frank pour le cajoler.

– Je vois à ta figure qu’il s’est passé quelque chose à la mission, raconte !

– La journée fut très mouvementée ma chérie, dit Frank. D’abord la directrice m’a agressé demandant des faveurs sexuelles. Je fus sauvé par l’arrivée de Rosa me cherchant pour une intervention urgente. Ce fut réellement un cas très grave qui nécessitait une opération sur-le-champ sans le protocole habituel. J’ai réussi à sauver la patiente avec le concours de Happy et de Rose qui a été très courageuse.

– Puis j’ai calmé Frank ajoutai-je, car il ne pouvait pas circuler entre les lits des filles avec une érection aussi apparente. Seulement la directrice nous a surpris en plein coït ! Frank et moi on l’a caressé jusqu’à l’orgasme. Et elle en veut à Frank de lui avoir refusé un rapport. Demain, elle nous veut dans son bureau pour baiser !

– Comment tu vas t’en sortir ? dit Maggy.

– J’ai une solution ! dis-je, Maggy et moi on va lui donner une dose d’orgasmes qui vont la saturer pendant quelques jours ! Et lorsqu’elle refera surface on caressera son bijou jusqu’à la calmer et elle ne saura même plus se masturber ! Et toi Frank, tu inonderas sa bouche jusqu’à épuisement de ton foutre et à décrocher sa mâchoire comme tu as fait ce matin ! Plus tu seras brutal mieux ce sera.

– Rose quel programme ! Je mouille déjà rien qu’en entendant ta description ! Frank baise-moi, je veux te sentir au plus profond de moi !

### Maggy ###

Lorsque Rosa et Frank me racontèrent leur journée à la mission, je sentis mon intimité s’humidifier avec intensité ; j’eus soudain envie de me caresser avec plusieurs doigts dans mon vagin.

Je pris ma sœur en amour par les épaules et défis son top pour dévoiler ses seins et pour exciter notre Maître. Le piège fonctionna à merveille.

Le pantalon de Frank gonfla au niveau de son entrejambe, au point que celui-ci dut déplacer son sexe sans doute douloureusement coincé. Toutes les deux nous eûmes le réflexe de délivrer son bâton, Rose fut la plus réactive.

Elle ouvrit le pantalon du maître offrant l’espace à son engin. Mais j’embouchai sa flûte, je dus sans doute le mordre dans la précipitation car Frank gémit faiblement. Comme je reculai légèrement ma bouche, Rose insinua sa langue dans l’espace et Frank se trouva emprisonné entre deux appendices léchant à tour de rôle comme une sucrerie.

Frank eut le temps de nous avertir qu’il ne maîtrisa plus la montée de son jus.

Je parvins à capter la grande partie de son éjaculation que je partageai avec ma sœur. Puis nous reprîmes le léchage jusqu’à une deuxième éjection qui fut un peu douloureuse. J’aurais encore bien poursuivi mais Frank retira son gland violacé de nos bouches gourmandes.

– Oh les filles, stop ! Vous avez vidé mes bourses ! Il faudra trouver autre chose pour satisfaire votre vice !

Je fus la plus rapide à présenter ma fente dégoulinante à la bouche de notre Maître qui aspira mes fluides avant d’insérer sa langue au plus profond de mon corps. Je ne résistais pas longtemps, mon orgasme alla de pair avec une giclée de mes fluides intimes. Je vis le serpent de Frank se déployer comme un cobra que Rose saisit comme …une dompteuse. Elle le garda longuement entre ses doigts, le cajolant comme un animal. J’admirai son corps gracieux et comme je vis sa crème couler doucement de son intimité, je lui cédai ma place sur la bouche du Maître.

Frank était avide d’absorber la fente de sa petite esclave. Il mit ses mains sur ses petites fesses, ce qui donna une nouvelle poussée à son érection. Son engin devenait encore plus attirant et je repris un massage lent de sa verge.

Rose changea plusieurs fois l’orientation de son corps à la recherche de la caresse la plus efficace.

– Oh oui Frank, tu es génial !

Je vis ses muscles se bander et puis elle décolla dans un orgasme que j’intensifiai en glissant deux doigts dans son vagin trempé. Rose dut s’accrocher à mes épaules pour garder l’équilibre. Je vis ses yeux chavirer sous le plaisir. Frank continua son massage lingual jusqu’au bout des vibrations de Rose. Je fus vraiment heureuse pour elle !

Rose se pencha sur le ventre de Frank, à nous deux nous lui fîmes des câlins sans pousser à l’orgasme.

– Demain on va affronter la directrice, allons dormir pour être en forme !

•••

Durant la nuit, j’eus des cauchemars qui réveillèrent des visions très anciennes, je succombai à des coups de poignards de mon dernier maître. La nouveauté fut qu’il me viola tout en me poignardant, mais le visage de mon tortionnaire se révéla être celui de Frank !

Je criai mon effroi au point de réveiller ma sœur en amour, Rosa comprit que j’hallucinai. Elle me prit dans ses bras et me caressa le visage pour sécher mes larmes. Il me fallut plusieurs minutes pour comprendre que je n’étais pas blessée et que je ne baignai pas dans mon sang ! Je sentis ses baisers sur mes joues puis sur mes seins intacts. De mes mains je parcourus mon ventre et mes cuisses à la recherche de mes blessures, mais bien entendu je ne découvris aucune trace de sang. Rassurée, je parcourus les tétons de mon amie qui frissonna et me caressa pareillement. Nos gémissements devinrent plus intenses qui réveillèrent Frank. Je sentis une érection phénoménale contre mon flanc, dans mon demi-sommeil, j’entamai une masturbation frénétique de son engin. Frank ne fut pas long à jouir et il grinça dans son orgasme. Je ne fus pas assez rapide pour recueillir le résultat de son plaisir.

Je sentis mes doigts pleins de sperme que je portai à ma bouche par réflexe, le goût me sortit de mon hallucination et j’entrepris de nettoyer avec ma langue les traces sur le corps de Frank. Mon exploration se termina dans la fente de Rose. Celle-ci bloqua ma tête entre ses jambes pour que je continue mon massage lingual. Rose explosa dans un cri de jouissance. Elle ne consentit à relâcher ma tête qu’après avoir refait surface. Je sentis ses mains rechercher l’espace entre mes cuisses. J’étais trempée de cyprine et ses doigts glissèrent avec grande facilité sur la bosse de mon clito. J’ouvris mes jambes en grand écart, j’espérai un échange de plaisir, elle fit mieux : elle serra son intimité contre la mienne et par frottis et coups de bélier nous entraîna dans un maelström sans fin. Ce furent des cris et gémissements sans retenue, Frank, bien réveillé finit par nous rejoindre distribuant des baisers sur toutes nos surfaces accessibles.

Sa lance régénérée chercha une pénétration qu’il trouva dans mon fondement. Je criai au début sous l’introduction brutale mais très rapidement la douleur fit place à une immense jouissance. Mon cul fut inondé et nous restâmes ainsi dans un nœud inextricable jusqu’au lever du jour ! Nous eûmes du mal à nous séparer à cause des fluides d’origine diverses séchées sur nos sexes et nos épidermes, ce fut la bienfaisance de l’eau de la douche qui apaisa nos corps saturés. Frank nous savonna toutes les deux en insistant sur toutes les surfaces, puis nous sécha et nous enduisit d’huile de corps. Frank enduisit nos seins pour son plus grand plaisir, faisant bourgeonner nos tétons. Nous, ses esclaves, fîmes un massage de son ventre et de son dos. Son sexe érigé fut l’objet de nos soins attentifs, nous eûmes quand même des difficultés à dégager son gland gonflé de sa gaine. Il fut enduit d’une huile douce, nos quatre mains enduisirent ses testicules, son anus fut pénétré par les doigts délicats de Maggy qui pratiqua un massage bienfaisant de la prostate.

C’est complètement détendus que nous prîmes la route vers la mission et sa directrice…

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