NDA : Voilà, je m’y attendais depuis quelque temps, mon fidèle compagnon électronique est mort ! Heureusement, j’avais une copie de sécurité (back-up) de mes textes. J’ai donc pu récupérer mes récits et mes brouillons.

Après avoir choisi un nouveau laptop et attendu longtemps la livraison, j’ai pu patiemment reprendre de nouvelles habitudes. Nouveau software (Windows 11 au lieu de Windows 7 !), relancer les copies et me voilà ! Désolé pour cette interruption.

### Maggy ###

Rose et moi nous nous réveillâmes avant le lever du jour, Frank dormait encore. Nous fîmes donc le jeu favori des esclaves, pour donner à notre maître un réveil plaisant. Nous étions nues toutes les deux et nous découvrîmes délicatement les draps couvrant le corps de notre maître. Cela ne perturba pas son sommeil, mais son pic se redressa, n’ayant plus le poids de la couverture. De nous deux, j’étais la plus inventive, les nombreux maîtres qui m’avaient utilisée avant que Frank me récupéra, m’avaient donné beaucoup d’astuces pour amener mon propriétaire à la jouissance.

Je serrai sa queue entre mes seins, avec l'aide de ma copine. Là, Frank sentit le doux coulissement et ouvrit les yeux. Il ne dut pas voir grand-chose en dehors de ma peau noire ! À chaque passage Rose toucha le gland d'un peu d'huile qui laissa des traces entre mes seins. Rose fit en sorte que la verge du maître resta bien dans le sillon entre mes tétons.

Je pris la main de ma « sœur en amour » pour la glisser lentement sur le cylindre de sa trique puis je lui suggérai de prendre un peu de salive pour mouiller son gland. Frank sentit la manipulation et ouvrit lentement les yeux pour découvrir ses amies qui lui donnèrent les prémices du plaisir à son réveil.

– J’aurais aimé dormir encore un peu ! dit-il. Mais puisque vous semblez déjà bien occupées à m’astiquer la queue alors, donnez-moi une raison pour ne pas me rendormir.

– Oui Maître, dis-je, Rose va masser ton pic entre ses lèvres intimes. Puis, lorsque tu seras sur le point de donner ton jus, nous jouerons alternativement avec nos bouches et recueillerons ton sperme.

– Et où est Iona ?

– Elle prépare le petit-déjeuner, elle ne viendra que lorsque tu voudras recommencer un nouveau jeu.

– D’accord mais ce sera pour ce soir, j’irai d’abord examiner mes patientes et surtout celle que j’ai recousue après sa morsure de crocodile !

– On t’accompagnera, car Happy sera certainement en embuscade pour satisfaire ses envies ! J’ai vu le désir dans ses yeux, elle t’aurait bien embroché sur la table d’opération, si on n’était, pas présentes.

– Vous exagérez, dit Frank, elle aurait certainement attendu la fin de l’opération !

– Non, dis-je, à plusieurs moments, j’ai aperçu que ses mains glissaient sous ta blouse à la recherche de ta queue dressée.

– Oui, dit Rose, lorsque tu opères, tu as souvent des érections phénoménales !

– Je me demande d’ailleurs si lorsque tu m’as recousu, tu n’as pas eu la même réaction.

– Non, Maggy lorsque je t’ai trouvée, tu ne m’as pas excité. Par contre, après les nombreuses interventions, lorsque j’ai vu le résultat, alors que tu étais toujours dans le coma, j’ai bien dû bander quelques fois.

– Tu t’es masturbé ou Happy t’a-t-elle soulagé ?

– Non, je ne me souviens plus dit-il évasivement.

La conversation avait encore augmenté la tension et Frank arrosa nos seins de sa crème juste au moment où Iona entrait dans la chambre pour nous avertir que le petit-déjeuner était servi.

– Oh, vous ne m’avez pas attendue ! Disant cela, elle se pencha pour récupérer une partie de sa semence libérant ainsi ses seins gonflés.

– Viens dis-je, on va te calmer, tu pourras profiter ce soir de notre maître !

– Oui, merci, mais vous allez m’oublier !

– Mais non ! Tu passeras en priorité ! Nous veillerons à ce que le Docteur soit bien émoustillé avant de revenir à la maison !

– Dois-je comprendre que je resterai confinée ?

– Mais non, dit Frank, tu t’occuperas de Happy et tu as tes cours à assurer. J’ai eu des échos du succès de ton cours d’éducation sexuelle. Les élèves veulent en apprendre davantage.

– Oh, j’espère que ces rumeurs n’étaient pas trop négatives !

– Non, Iona, je n‘ai eu que des réactions positives ! Tu devras quand même éviter que tes élèves demandent des cours pratiques. J’ai entendu que tu as fait une démonstration avec un élève !

– Oui mais il était majeur et je ne l’ai pas forcé.

– Bien, fait quand même attention.

– Oui Frank, je serai prudente.

Nous partîmes toutes avec Frank, je remarquai quand même que le chauffeur Aki nous regarda avec insistance.

Frank passa en priorité au chevet de la patiente opérée la veille. Elle n’avait pas encore récupéré de la narcose. Happy fit rapport de la nuit tout en se collant au plus près du chirurgien.

En poussant Frank en arrière, je parvins à augmenter la distance entre Happy et mon homme, Rose fut assez maligne pour détourner l’attention de l’infirmière en glissant sa main dans l’échancrure de sa blouse. En touchant ses tétons dressés, elle suscita un gémissement discret, son désir puissant fit l’effet attendu et Happy entraîna ma Rose dans une pièce attenante.

Iona eut un sourire très fin en me faisant un clin d’œil complice. Frank profita de l’inconscience de la jeune fille pour évaluer l’amplitude des mouvements de son bras blessé, il sembla satisfait du résultat.

En examinant la fille inconsciente, je fus étonnée de sa beauté, Frank regarda son corps avec soin mais comme n’importe quel chirurgien. Sa réaction ne m’étonna pas outre mesure, mais un coup d’œil sous sa ceinture me fit comprendre que lui aussi était scotché, en admiration de la jeune endormie.

– Je vais la maintenir encore quelques jours sous narcose, dit-il, elle souffrira moins à chaque mouvement involontaire de son bras.

En sortant de la chambre, je ne résistai plus, son sexe tendu me donna des frissons. Une chambre vide me permit de m’isoler avec lui. Il n’objecta pas et se laissa faire. Mes mains furent rapides et efficaces pour ouvrir son pantalon et extraire son pénis. Il me sembla extrêmement tendu et je vis même une perle de liquide sur son gland. C’était trop fort, je m’agenouillai devant lui pour lécher la goutte et aspirer son gland entre mes lèvres.

Frank eut un moment de plaisir, puis se ressaisit et me souleva,

– Non, Maggy, pas maintenant, pas ici !

Il m’était quasi impossible de m’arrêter en pleine action, mais l’ordre de mon maître ne me laissa pas beaucoup de choix. Je fis donc ce qu’il me demanda non sans avoir donné un dernier baiser sur son sexe. J'étais pourtant très émoustillée mes seins étaient gonflés, mes tétons durcis et sensibles. Je sentis l’humidité croissante entre mes lèvres intimes. Lorsque tout fut remis en place, nous sortîmes de la chambre pour reprendre la tournée des patientes.

Nous retrouvions Happy et Rose, quelques minutes plus tard. À voir le visage écarlate de ma petite sœur, je sus qu’elles s’étaient données du bon temps. Je regrettai d’avoir obéi trop facilement à Frank, Rose comprit mon désarroi et me donna un baiser sur la joue.

– Tu n’as pas pu obtenir ce que tu voulais ?

– Hélas, Frank n’a pas voulu s’exposer à être découvert en position compromettante.

– Ne t’inquiète pas, lui répondis-je, on se rattrapera ce soir.

La journée se déroula sans autres incidents et le soir Iona nous rejoignit. Dès qu’elle s’approcha, je sus qu’elle s’était donnée pleinement dans son cours. Sa blouse montrait une fermeture incomplète de la rangée de boutons, me laissant voir le haut de ses seins. Le tissu était très tendu sur ses tétons dressés. Frank se rendit compte de l’excitation de notre amie.

– Tu as encore donné l’exemple dans ton cours d’éducation sexuelle ?

– Oui Frank, mais je dois être prudent, un des élèves encore mineur a voulu reprendre l’exemple de son aîné. Il n’a pas attendu le début du cours pour se mettre nu et il a fallu l’intervention de ses condisciples pour arrêter son envie de copuler avec moi. À la fin du cours, je l’ai pris en aparté pour le masturber afin d’éviter un accident avec une autre élève.

– Demain, dis-je, je viendrai aussi à ton cours, si ton élève est encore aussi excité, je lui donnerai quelques éléments de savoir-vivre et qu’il apprenne à dominer ses pulsions.

– Maggy, ne prends pas la peine, s’il ne se domine pas, je l’expulserai du cours.

– Et comment a-t-il réagi lorsque tu l’as masturbé ?

– Il s’est laissé faire, il a juste pris mes seins à pleines mains pour accélérer le processus. Je lui ai précisé après qu’il eut éjaculé dans son mouchoir que je ne lui ferai plus jamais cette faveur. Je crois qu’il a saisi.

À notre arrivée à la maison, Frank défit ses vêtements pour mettre son kimono. En fait, il ne prit pas la peine de fermer les pans de son vêtement. Rose y vit le signal de commencer les jeux d’esclave et très rapidement, elle coucha son maître dans le divan pour caresser son sexe sans précipitation. Sans précipitation, je les rejoignis pour gober son gland. Frank me prit par les épaules pour me forcer à remonter ma bouche à la hauteur de la sienne. Je sentis qu’il enfonça ses doigts dans mon vagin.

J’étais trop excitée et il ne lui fallut pas longtemps pour me donner un orgasme fulgurant. Encore toute tremblante, je sentis qu’il me pénétra et lâcha une salve rapide mais abondante. Mon orgasme se prolongea le temps de son éjaculation, puis Rose prit le relais pour ranimer l’érection de Frank.

Iona sur ce temps présenta son entrejambe devant la bouche de Frank, je vis clairement la langue de Frank se glisser entre les lèvres intimes de notre amie. Iona encore trop émoustillée des suites de son cours ne résista pas longtemps. Elle cria son plaisir pendant que Rose reçut sa récompense.

Nous restâmes encore longtemps serrées toutes contre lui, jusqu’à ce qu’il débande.