Fin du chapitre 26
Claudio
Cette fille était vraiment merveilleuse, je l'aimais de plus en plus... même si je n'arriverais jamais à oublier Alessandra avec qui pourtant je n'ai aucun avenir. Je m'approche d'elle, la prend par la hanche, elle ne se défend même pas, elle souris. Ses cheveux fous que le vent ballotte en tous sens me chattouillent mon visage, alors que je tentais de l'embrasser, elle se dégage mutine et me dit :
- Et tu crois que je les ai sortis de n'importe où et nimporte comment ces passages, surtout le second ! Claudio, regardes moi bien dans les yeux, moi ce que je veux, ne me regarde pas avec cet air de sale gosse je t'en prie, tu l'auras ton baiser ensuite. Moi, ce que je veux avec toi, c'est qu'on s'aime pour la vie, qu'on construise un vrai projet d'avenir, a deux pour l'instant. Si tu c'est ce que tu veux toi aussi, on sera O.K, regarde ces montagnes Claudio belle gueule, promet moi que c'est ce que tu veux aussi ! promet moi que le mot amour n'es pas pour toi une véssiequ'on gonfle et qu'on peux crever à sa guise, sais-tu comme ça fait mal, quand ça pête une vessie pleine d'amour ? t'en es déja tu pris une dans la gueule ? Moi j'en porte encore la marque, la souffrance, ça ne s'efface pas, on appose dessus un peu de douceur, c'est tout. C'est pour ça que j'ai voulu te montrer tout ça, pour te montrer combien ce pays à souffert, et qu'il s' en est relevé. Nous irons dans une discothéque peut être ce soir nous amuser, tu verras, la jeunesse d'espagne a oublié tout ça... Et heureusement d'ailleurs ! Crois-tu vraiement qu'ils ont oubliés, je ne pense pas, ils ont apposés sur leurs douleurs un peu de douceur eux aussi, ils savent que l'orage peut gronder à nouveau... en attendant ils s'amusent et rient.
Que pourrais-je lui répondre, que pouvais-je répondre à tout ça ? Je l'aimais c'était une évidence, mais pourrais-je l'aimer un jour comme elle m'aime, serais-je capable de na pas la trahir à nouveau ?
j'avais une furieuse envie de l'embrasser, d'ailleurs c'est ce que je fis. Je l'embrassais comme un fou, comme un perdu... Devais-je vraiement lui répondre ?
Oui moi aussi j'ai souffert, moi aussi je voulais apposer un peu de douceur sur mes anciénnes brulures. Est ce que je l'aime, oui certainement. Est ce que je l'aimais assez pour construire un avenir à deux pour commençer ?
A cette question, maintenant, je ne pouvais répondre, Je me contentais de l'embrasser de touts mes forces, en espérant que ce baiser passioné lui suffise comme réponse. De toute façon, je n'avais que ça à lui offrir .
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