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Marcello
Ce soir je vais essayer d'être encore son mari.
Je la prends dans mes bras tendrement, je l'embrasse là où elle aime, dans le coin du cou , juste sous l'oreille à la naissance de l'os de la machoire. Mes mains pendant ce temps se perdent dans ses cheveux, pas les deux mains, juste la gauche, la droite plus hardie explore son dos, elle descend, s'arrette, bute contre le tissus réche du jean. le contourne, fais sauter un bouton, deux, trois, la peau est plus douce à cet endroit là, mes doigts ne rencontrent plus de tissus, la coquine n'a pas dû mettre de culotte ce matin.
J'ai chaud, je m'enflamme, je suis déjà en nage. ma main gauche à quittée sa chevelure, elle a rejoint la droite, et l'aide, pendant que l'une fais sauter le dernier bouton, la derniére préssion, l'autre tire sur le tissus, fréiné par les hanches , ces belles hanches évasées, le jean résiste, ça la fait rire. elle me susurre coquine :
- Tu ne sais plus faire descendre les jeans, je ne t'aiderais pas cette fois, tu devras te débrouiller seul.
Je ne répond pas, je sais ce que je dois faire, je passe mon bras sous son ventre bronzé et dénudé à moitié, je la destabilise, elle perd l'équilibre et tombe à plat ventre sur le lit. je tire d'un coup sec sur le tissus de son pantalon, ses fesses rondes commes deux belles pêches apparaissent pendant que son Lewis continue son voyage, sur ses cuisses, sur ses mollets, sur ses pieds.
- Alors, fanfaronnais-je, ne sais-je plus faire ?
Elle ne me répondis pas, son souffle deviennant bruyant, ses yeux ne regardant rien, elle aussi, se dégageant de mon étreinte d'un coups de rein entama mon éfeuillage, ses mains douces et fines sont précises, le gestes sont sur,elle ne tremble pas, n'hésite pas: braguette, boutonniére, boucle de la ceinture, le pantalon à terre, elle s'occupe du haut, ses ongles me labourent la peau du ventre d'abord, de ma poitrine, de mes épaules et de mon dos. un bouton de ma chemise fait de la résistance, sa petite main s'énnerve perd patience, d'un geste sec, elle arrache poil bouton et tissus.
Elle me contourne, se colle à mes jambes à mon dos, entravé comme je suis, le pantalon sur les mollets je ne puis trop bouger. Je n'ai pas envie de fuir de toute façon. Les pieds biens à plats sur le sol et les mollets durs, je garde mon équilibre. Ses deux mains sur mes épaules, elle finit de m'enlever cette fichue chemise. D'un geste sauvage, elle se débarasse de son pull, de son tee shirt. aucun soutien gorge n'entrave sa jolie poitrine.
Mon dieu qu'elle est belle, mon dieu que ma femme est belle, la grossesse n'a pas déformée son corps, tout juste si les seins sont un peu plus gros, son ventre légérement rebondi...
Mon regard s'attarde sur sur des détails, ah putain ! J'en ai révé dans cette chambre froide de ce corps souple et chaud, de cette peau halée sur les cuisses et le ventre, blanche sur les seins et le pubis.
Elle m'intime l'ordre de m'allonger sur le dos et de me laisser faire. Elle s'avance vers moi, se couche à mes cotés, elle m'embrasse désormais, me mord les lêvres, l'oreille. Elle pose ses deux mains sur mes épaules, son corps pivote, mes mains posées sur ses hanches, emprisonnent sa taille
Un deux trois,ensemble, je la souleve, elle prend appuis sur mes omoplates elle s'envole dans les airs et retombe à califourchon sur moi.
Dans la piéce d'a coté Fabrizio geint, ronchonne commence à pleurnicher, ça me déconcentre un peu, pas elle, le regard dur, elle dit :
- Il a mangé il y a quelques minutes, il veut les bras, il attendra .
Alors que je fais mine de me dégager, elle serre ses jambes et me dit, durement !
- quelques minutes, il peut brailler tant qu'il veut, ces quelques minutes sont à moi, il ne me les voleras pas... tiens, il ne fait déja plus de bruits, dépéchons nous !

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