Chapitre 1
Michael s'éveilla dans un frisson.
Son dos reposant avec douceur sur un canapé de velours des plus confortables et agréables au toucher.
Le jeune garçon d'à peine seize ans, ignorait quel était ce lieu ni se qu’il faisait ici, mais son regard fut attiré par le bûcher flamboyant se trouvant dans la cheminée tout de marbre sombre. Celle-ci projetait de forte ombre sur les murs, donnant l'apparence à la pièce celle d’une salle de balle hantée, parcouru par les ancienne mémoire de ses occupants qui valsé au mouvement des flammes de l'âtre.
Soudainement un craquement parvint jusqu’au longue oreille du jeune garçon, le faisant sursauter, il s'assit donc afin de voir l’origine de ce bruit peu agréable pour son ouïe. Cela ne venait ni du bois brûlant ni des poutres vieillies au-dessus de sa tête, Michael s'entreprit alors d’examiner la pièce ou il se trouvait, c'était un vieux salon d'époque, poussière, velour, et richesse enivrer le lieu.
Tout a coup, il remarqua une présence qui l'épier, la, dans l’ombre de la pièce, se trouver une jeune fille vêtue d’une simple robe de bonne, ses long cheveux blond était attachée en un couette raide, tombant dans son dos, ses yeux bleu et vitreux observer la jeune garcon.
Durant un long moment les deux individus se regardèrent en silence, se demandant sûrement qui ferait le premier pas.
Ce fus la jeune fille, une fois celle ci éclairée par la lueur rougeâtre de l'âtre, Michael pu remarquer son teint hallais, ses joue rose comme peint, aussitôt il remarqua les jointures de ses poignet, ce n'était pas celle d’humain comme lui, mais celle d’une poupée.
En la regardant de plus prêt, Michael put remarquer que la marionnette n'était pas de chaire, mais de porcelaine, une matière si belle et à la fois si fragile.
— Qui es- tu ?...
Demanda le jeune garçon en observant la poupée, celle-ci ne répondit rien, ses lèvres closes ne formaient aucun mot. S'approchant de plus prêt, la marionnette tendit la main vers le jeune garçon, qui recula de surprise, manquant de tomber du canapé ou il se trouvait toujours.
D’un geste vif, la jeune fille lui attrapa la main, lui évitant une chute des plus désagréable. Le jeune garçon frissonna au contacte, celui-ci avait beau portais des gants, il ne put que sentir la froideur de la peau de la poupée qui l’attiré aprésent vers elle, celle-ci se mit alors à tracer des traits sur la paume de la main de Michael.
Il la regarda faire l’air perplexe avant de remarquer que la sensation sur sa main n'était pas aléatoire. La jeune fille, tracé des lettres.
—A. R. I. A. Epella le jeune garçon avant de relever la tête vers la poupée, le regard pétillant de fierté d’avoir compris. Aria, c’est bien ton nom ?
Demanda il sourire au lèvre, en réponse la jeune fille hocha la tête pour confirmer sa déduction. Michael se mit alors à se tortiller sur le velour du canapé satisfait et fier d’avoir réussi à comprendre cela, mais une autre question lui bruler la gorge.
— Es- tu muette ?
Demanda le jeune garçon en observant la dorénavant nommer Aria, son visage de poupée n'était certe pas expressive, mais son regard l'étais, un voile de tristesse couvrait les yeux de la jeune fille alors qu’elle hocher la tête, confirmant la crainte de Michael, la communication promettait d'être laborieuse entre les deux individu.
Le jeune garçon observa autour de lui avant d'apercevoir un bureau dans le coin de la pièce, il se leva, titubant quelque peu, comme s' il avait passé des heures allongé sur le doux tissu du divan.
Une fois devant le meuble de bois sombre, sen se demander si cela était poli ou si il en avait le droit il farfouilla dans chaque tirroire du meuble, avant de dénicher un carnet et de quoi écrire, qu'il vains rapidement remettre à Aria qui sembla surprise de cette act de bienveillance.
— Comme cela nous pourons communiquer plus simplement
Lui dit le jeune garçon, son sourire bienveillant toujours aux lèvres. Les yeux de la jeune fille s'illuminairent alors, comprenant immédiatement le cadeau qu’elle venait de recevoir. Qu’importe à qui appartenait les dit objets, Aria s’empressa de l’ouvrire pour commencer à écrire, Michael l’observer, impatients de se qu’elle aller lui “dire”, celui ci perdit vite son chaleureux sourire en voyant les quelque mot que la jeune fille lui montra.
— Partir étais dans mes intention, mais j'ignore où je suis ni où se trouve la sortie…
Lui dit alors le jeune garçon, en réponse à sa demande de quitter les lieux ou il se trouvait. La jeune fille le regarda le regard déboussolé, comme si le fait que Michael ignore où il était été une réponse inimaginable, celle-ci se remit alors à griffonner.
Une fois les mot tracer, la jeune fille les presenta a Michael qui les lu avec perplexité, ses sourcil se fronçairent.
Comme ecrit noir sur blanc, tout deux se trouver dans le manoir d’une sorciere, celle si etans malveillante, il se devais de quitter ses lieux avant qu’elle ne les trouve et ne desside de les transformer en pantin manipulable.
Michael sembla un instant perdu, comment un être humain pouvait contrôler d’autre être humain, il ne pensa pas immédiatement à Aria, mais quand la condition de la jeune fille lui traversa l'esprit, un fort désir de protection l'envahit.
Le jeune homme voulait protéger Aria, il voulait a tout pris la faire sortir avec lui de se manoir au mur rongé par le temps et la poussière. Michael pris alors la main froide de la poupée, il lui sourit avec détermination.
— Tu vas sortir avec moi, tu ne risquera plus rien !
s’exclama le jeune homme quand soudainement les poupées de chiffon entreposées au quatre coins du salon s'animèrent, leur yeux éclairés d’une lueur violacée.
A l’unisson elles se mirent à émettre un rire mauvais et stridents avant que vois foncièrement mauvaise ne retentisse à l'unisson, venans de chaque être de tissu se trouvant dans la pièce.
— La liberté se mérite mes cheris~ arriverez vous à traverser le cœur et le trèfle pour la trouver ?
Cette voix n'était autre que celle de la maîtresse de maison, la sorcière, son rire machiavélique résonner encore dans la pièce ou se trouver les jeune enfants.
Sen tarder Aria se saisit de la main de Michael avant de le trainer avec rapidité en dehors du salon qui l'avait bercé durant son sommeil. Seul leur pas trahissait leur présence, les deux jeunes gens marchairent d’un pas rapide dans les couloirs sombres et décrépite du bâtiment, éclairée par de simple lanterne accrochée de part et d’autre de l'étroit passage. Chacun de leur pas résonne d’une mélodie funeste, les rires des poupées de chiffon résonnent encore contre les parois de pierre froide.
Leur chemin les menaires a une nouvelle salle, un second salon, départageant le couloir de chaque côté de la pièce. Tous deux s’arretaires, essoufflé d’avoir marcher aussi vite, Michael releva la tête vers la jeune fille qui observait autour d'eux, la crainte pouvait se lire dans ses iris bleus.
Reprenans calepin et crayon, qu’elle avait glissé dans la poche de sa robe, Aria se mit à nouveau à retranscrire ce qu'elle ne pouvait dire, cette fois si fus une indication ainsi qu’une demande.
Ils allaient devoir traverser le domaine du roi ainsi que celui de la rein a l’etage inferieur avant de pouvoir atteindre la sortie, mais c’est deux étage était dangereux à cause de la royauté et leur serviteur, la jeune fille finit par demander à Michael si il etais pret a prendre le risque d’entreprendre ce chemin semé d’embuche.
Le jeune homme hésita longuement, contrairement à elle, lui ne pouvait être réparé s' il lui arrivait la moindre chose, mais c'était un risque à prendre, si cela signifiait gagner sa liberté avec Aria.
Il hocha vigoureusement la tête, prêt à prendre se risque, ca détermination n'était que grandissante, si cela permit à la jeune fille de ne pas se retrouver menotté à ce lieu par la sorcière.
Tous deux se mirent alors en route, sous le regard mauvais de chaque poupée de chiffon.

Annotations