Chapitre 2

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Cela faisait plusieur minute que les deux jeune enfant marcher en silence dans les couloir sombre du manoire, seul leur pats ainsi que le crépitement des chandelle résonner contre la pierre froide du couloir, il avait déjà passé deux interstice, revenu au même point ou moin une dizaine de fois avant qu’enfin, face a eu se découvre une salle dissimuler par de large rideau de velour rouge.

Une lumière vive les accueillie de l’autre côté, de nombreuses richesses et joyaux rouges trônet de par et d’autre de l'immense salle de bâle.

Plusieurs poupées valser au rythme d’une douce musique, elles en était limite a se désarticuler, comme entrainer et guider par une force invisible.

A droite de la grande salle se trouvait un deuxième rideau de velours, cachans la sortie.

Michael remarqua alors qu'à l'opposé de cette sortie se trouvait un immense trône en forme de coeur, sur celui ci tronet, un garçon de son âge, les cheveux blond coiffé en epie, une couronne rouge se trouver sur la droite de sa tête, sa tenu rappeler en tout point un roi, celui ci était assis, jambe croisée, son coude posé sur l’un des accoudoire , soutenait sa tête, poser négligemment dessu, ses yeux clo ne les avais pas remarqué.

Aria lui fis signe de la suivre, tout deux se mirent à longer le bord de la salle, en direction de leur sortie, hélas, à leur arrivée, deux garde les accueillirent , lance en main, pointe dresser dans leur direction, les deux jeune gens riculaire les bras en l’air.

Michael déglutit alors qu’il se rendit compte que la salle était devenu des plus silencieuse et froide.

— Vous ne pensiez tout de même pas vous évader du domaine du cœur, sens saluer le Roi.

La voix gringalette venait du garçon endormi, Michael n'avait pas à se retourner qu’il sentait son regard tranchant sur eux.

Les deux gardes les firent alors se tourner vers le roi, piquant leur dos afin de les faire avancer. Une fois devant le trône, ils les forcèrent tous deux à s'agenouiller, avec autant de délicatesse qu’un hérisson.

Le jeune garçon sur le trône les observer en rictus mauvais au coin des lèvres.

— Et bien et bien qui avons nous la.

Roucoula il en zieutant les deux jeune enfant face à lui tout en se levant, il n'était gerts plus grand que Michael et encore moin qu’Aria, mais le Roi les regardais de haut comme si il n'était que deux vulgaire souris qu’il etait pret a pietiner.

D’un pat lent, il saprocha en premier du brun, lui tournant autour tel un fauve qui analysé sa proie, puis se fut le tour de la pauvre Aria, celle si nu gerts de meilleur chance, le regard du garçon était à présent bien plus charmeur et envieux, il finit par prendre le menton d’Aria, a fin de la faire le regarder.

— Toi. Que dirais tu d’une petite danse.

Ce n'était pas une question, a peine avait il finit sa phrase, qu’il se saisit des main de la pauvre Aria qui nu pas le temps de reagire, celle si se retrouva au centre de la piste de danse, une main tenu en l’air par le Roi, pendant que sa deuxième se trouver sur l'épaule du jeune garçon, sa main sur sa hanche n’avais pas l’air de bien lui plaire.

Michael, quand à lui avait été déplacée près de la sortie, cette fois ci debout mais toujour encercler et surveiller par les deux gardes, le jeune garçon pensa qu’il pouvait peut être tenter une percée, mais, il se refusa à abandonner Aria entre les main de ce Roi, qui n'avait d’yeux que pour elle dans l'instanté.

— Il est bien périlleux pour une jeune fille de s’aventurer dans les étage a theme, tiens tu vraiment à la vie si ton souhait est de descendre dans le domaine du trèfle

Roucoula le roi, virevoltant avec grâce suivie d’Aria qui ne se débattait pas une seule seconde, restant comme toujours silencieuse, son regard lançait pourtant des éclairs.

La jeune femme n’avais que faire des parole mesquine et desireuse du rois.

Soudainement, alors que la valse venais à peine de débuter, un glapissement s'échappa des lèvre du roi, celui ci venait de se faire piétiner le pied par Aria, celle ci se mit alors à sprinter vers la sortie faisans , par la même occasion, signe a Michael de la suivre, ce qu'il fit, les deux garde n'ayant pas le temps de reagire face à une si soudaine attaque.

Alors que les deux enfants traversèrent les rideaux de velours, Michael ne put voir que le regard de rage du roi qui sautillait en se tenant le pied. S'en attendre une seconde, à peine les deux jeune gens regoins, Aria se saisit de la main ganté du jeune garçon et repris sa course effréné.

Tous deux traversèrent un couloir sent réellement remarquer le début de sa fin, avant de déboucher dans une salle, dont le plafond était recouvert de lustre, tout les plus majestueux les un des autres, des cordes les retenant était parsemer de part et d’autre des mur de la salle, retenant les lourds chandeliers.

Soudainement un cri de rage retentit derrière eux, le roi était là, une immense hache en main, son regard était emplie de haine à leur égards.

— Bande de salle renégard ! vous allez payer pour cet affront !

Hurla- t- il, les prenant en chasse, brandissant son arme, bien plus grande et lourde que lui, il était même impensable pour Michael que le roi puisse porter une telle arme sans user d’une quelconque magie.

Il s’élança alors à leur poursuite, ses pas rapides résonnant sur le marbre sombre. La hache, traînée sur le sol, produisait un grincement strident qui faisait vibrer les lustres suspendus au plafond. Michael echangea alors les places, tirant Aria en avant, le souffle court, les jambes tremblant de peur.

Devant eux se dressa une gigantesque porte en bois sculpté. Fermée. Michael s’y jeta, la frappa de toutes ses forces, mais elle resta immobile, comme si le manoir lui-même refusait de les laisser sortir et échapper à une décapitation certaine.

Le Roi approchait, ses rires enfantins mais mesquins, mêlés d’une cruauté glaciale. Il leva sa hache, bien trop grande pour lui, et pourtant d’une légèreté effrayante dans ses mains fines.

Aria s’arrêta. Ses yeux immobiles se tournèrent vers le plafond. Un chandelier tremblait au-dessus du Roi, sa corde grinçant sous son propre poids. Sans hésiter, elle grimpa sur une table renversée, attrapa la corde, et tira de toutes ses forces. La matière émit un râle de protestation, puis céda dans un bruit sourd.
Le chandelier s’abattit sur le Roi, brisant son corps de bois dans un fracas assourdissant. La hache roula au sol dans un tintement métallique, bientôt noyée sous les débris.

Le silence retomba. Seule la respiration haletante de Michael et les flammes dansantes troublaient l’air.
Aria descendit, immobile, son regard tourné vers lui. Malgré son visage figé, Michael crut sentir dans ses yeux quelque chose d’insondable : un éclat de détermination.

A ses pieds avait rouler la hache ainsi qu’un œil du roi, cette orbite bleutée et vide était dorénavant son propriétaire.

La poussière se dissipa vite, laissant voir les dégâts que la chute du lustre avais causé, sou le métal déformer, jiser le corp démembré du roi, un bras avais voler a quelque centimetre d’Aria, une jambe était plier dans une position peu naturel, le visage rageur du roi était à présent briser en deux, son seul oeil restant fixer inerte le sol.

La scène était des plus morbide malgré que la dite victime ne soit composée que de matériaux non organique, du bois, du tissu, des yeux de verre, rien n'était réel, seulement du synthétique, de la pure création venant de la maîtresse de maison.

Un frisson parcouru le corp de Michael alors que son regard etait toujour fixer sur le corp sans vie du Roi, le jeune garçon ne remarqua pas Aria se saisit de la hache, il ne le vi que lorsque celle ci s'abat sur la lourde porte de bois, la faisant gémir sous les cou qui l'ouvrir de force, une fois celle ci éventré, la jeune fille jeta son arme au pied de la dépouille du jeune roi, invitant du regard Michaël à traverser l’ouverture qu’elle avait formé dans la porte.

Michael observa longuement la jeune fille, une crainte était née au saint de son être, et si il était en danger avec elle, après tout il ne l'avait rencontré que depuis peu, il lui avait fait bien trop vite confiance, le pouvait il réellement.

— Pourquoi as- tu fait ça ?...

Demanda il d’une voix tremblante, il comprenait bien la raison, ce qui lui échappait était la façon dont elle l'avait fait, s’en aucune hésitation ni regret, ses yeux ne refléter seulement une détermination sen faille.

La jeune fille sembla au début perplexe, son regard chancelant entre Michael et les restes du roi à leur côté, celle-ci repris alors son calepin avant de le présenter au jeune garçon.

“C’etais lui ou nous, tu aprendra vite que ici, c’est tuer ou etre tuer” ecrivat-elle sen un mot, sen meme un expression, se manque d’emotion commencer a vraiment a perturber le jeune homme, mais il devais s’habituer a cela, la porcelaine qui composer le corp de la jeune femme, ne permeter pas a son visage de se mouvoir comme un vrais etre humain, il l’oublier vite, la jeune fille n’etais pas comme lui, elle n’etais qu’une poupée animer par une consiente, comme toute celle qu’il avais croisé jusqu’ici.

Il se tue, faisant taire chacune de ses pensées paranoïaque avant que celle-ci ne l’envahisse, le jeune brun poussa simplement sa couette qui lui tombait sur l'épaule, en auchan la tête d’un mouvement lasse et résigné.

Aria lui tendit alors la main pour qu’il la prenne, le jeune garçon hésita longuement, la jeune fille s'apprête à retirer sa paume, quand Michael decida de la prendre d’une main peu sereine, comme si à tout moment la jeune fille pouvait décider de le briser à tout moment.

Tous deux s'engagèrent alors par la porte qui donnait sur un long escalier, il faisait si sombre qu’il leur était impossible de voir la fin de celui-ci.

C’est d’un pas peu rassuré qu’il s'engouffrent dans ce dédale ténébreux, Michael ne pu s'empêcher de regarder une dernier fois derrière lui, plusieur poupée qui autrefois virevolter dans la salle de bâle s'était attroupé autour des reste écraser du roi, leur yeux ne montrer pourtant aucune émotion face a cette tragedie.

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