Chapitre 4

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L'atmosphère n'était plus la même qu'à leur arrivée, les peluches autre fois calme et enjouées, étaient présent livides et prêtes à fondre sur Aria et Michael a tout instant.

La Reine qui semblait jusqu’alors bienveillante, montre à présent son vrai visage, imbu d’elle même et obsédé par sa propre beauté.

Encercler par toutes ses peluches l’avenir ne leur était que très peu prometteur.

—Michael, a quoi bon rester avec cette coquille vide, tu serais bien mieu a mes coté

Le temps sembla se figer pour le jeune garçon, comment la Reine pouvais connaître son nom, il n'était au par avant jamais venu ici, sa mémoire avait beau lui jouer des tour, il se serait souvenu d’une personne tel que la Reine.

— Comment connaissez vous mon nom…

Demanda t il d’une voix emplie de crainte, il ne savait pas si il voulais réellement la réponse à cette question, après tout il ne se souvenais même pas de son arrivée en ses lieu, ni ce qu'il faisait au par avant, la Reine possède elle les reponse a toute ses interrogation ?

— Frère valet n’est pas reveiller

Railla en cœur les peluches autour d'eux, leur rire était tordu, tel une boîte à musique désaccorder. Que voulait- elle dire par frère valet, cette question tourne en boucle dans l’esprit du jeune garçon, il lui manque quelque chose, et cette chose semble être entre les mains de tous, excepté au creux des siennes.

Michael regarda alors la Reine attendant au moins la réponse à sa question, celle ci le regarder d’un regard perdu, avant qu’une lueur de malice ne traverse ses yeux de verre bleu.

— Mon chou, tout le monde connaît ton nom ici bas, tu es né pour servir, pourquoi ne pas te mettre a mes ordre, tu serais en bien meilleur compagnie.

Railla elle dans un rire mesquin.

Cela ne répondais gert a sa question, mais a vrais dire , il ne voulait rien savoir, son passé lui apporter peu, il ne souhaitez pas le decouvrire, du moin pas dans l'immédiat et non pas de la bouche d’un être qui ne pouvait que mentir ou falsifier comme bon lui chanter la vérité.

Une soudaine pulsion prit alors Michaël, d’un geste rapide, il se cites de la tasse d’Aria, jetant son contenu brûlant au visage de la Reine de Trèfle qui émettait alors un cri de douleur, résonna dans toute la salle.

Le jeune garçon se saisit alors de la main de la jeune fille, la tirant vers lui, la forçant à se lever, au moment même que les peluches firent un pas, le jeune brun poussa leur deux chaise sur eux afin de se faire un pont de fortune. Ce fut au tour d’Aria de tirer le jeune garçon, tous deux se mirent a courir vers la seule sortie de visible, a l’autre bout de la salle, poussens et frapans la moindre peluche qui leur barrer le chemin.

Les deux jeune enfant débarquèrent alors dans une salle remplie de miroirs et de bougies, toutes plus ou moins grandes, de différentes couleurs. Michael ne s’attarda pas sur la décoration, les peluches se pressaient déjà derrière eux, la sensation de vivre à nouveau la course poursuite face au roi serrer l’estomac de Michael.

Arrivant face à la porte de sortie, Aria lâcha la main de Michael, celle ci s'attendent à trouver une porte scellée, se précipita dessu, épaule en avant afin de l’enfoncer, hélas à son grand désarrois, ladite porte n'était pas fermée comme la précédente, celle ci s'ouvrit en fraqua laissant la pauvre jeune fille s'effondrer de l’autre côté, dans un bruit de craquement des plus désagréable.

Alors que le jeune garçon allait se précipiter vers sa jeune amie, celui si se fis restreindre par une main lui attrapa le poignet, d’un mouvement rapide il se retourna.

La Reine était la, lui tenant fermement le poignet, son regard était livide et emplie d’un rage quasi animal, la moitié de son visage avait fondu sous le coup de la chaleur de la boisson, laissant apparaître sa structure interieur, la ou se trouver autre fois son oeil gauche, se trouver à présent un orbite vide ou seul les ténèbre était visible.

— Toi ! comment as- tu oser !

Cria elle resserrant sa poigne autour de son poignet, Michael pouvait presque sentir ses os craquer sous la pression qu'exercé la Reine.

S'en reflechire le jeune garçon, frappa avec force le crâne de la jeune fille qui vacilla sous le cou, lui lança un regard outré mélangée à de la stupeur.

N’hesitant pas un seul instant, Michael poussa brutalement le corp de la jeune fille contre la flamme d’une bougie non loin de la, la Reine pris alors aussitôt feu, la combustion étant aider par les innombrable couche de tissu que celle ci portait.

Un violent cri de douleur et d’outrage résonna dans toute la salle, la Reine se débattait, luttant contre les flammes qui ravageait déjà sa peau, la faisant fondre et perler sur le sol de marbre. S'en demandé son reste et sans réellement se soucier de son acte barbare, Michael se précipita de l’autre côté de la porte fraîchement ouverte, rejoignant ainsi Aria.

Le jeune garçon s’entrepris alors de fermer aussi vite qu’il le pouvait, le battant de bois, son esprit était embrumé par l'adrénaline, il ne réfléchissais plus nettement, la seul chose qui résonner dans sa tête était de survivre, quoi qui lui en coûter, qu’importe ses act.

Avec l’aide d'Aria, ils bloquèrent la porte avec quelque meuble qui traînait près de l’ouverture, les grattantements des peluches de l’autre côté les rassurer dans l’idée qu’il avait eu. De l’autre côté les cris de la Reine se firent plus distants avant de totalement se volatiliser.

Michael se laissa glisser le long du mur, la respiration courte et saccadée, son cœur pulser dans son crâne, chaque articulation lui faisait terriblement mal.

Il réalisait enfin ses actes, il avait tué quelqu’un, même si la reine n'était qu’une poupée, elle était dotée de conscience, elle était vivante, à présent ce n'était sûrement plus le qu’a.

Comme si la descente d'adrénaline ne suffisait pas il remarquer des fragment de porcelaine au sol, il releva alors vivement la tête vers son amie, celle ci se tenait l'épaule sens la moindre expression, la ou autrefois se trouver son bras était dorénavant vide, les reste de son membre jiser autour d’eu.

Cette vision fut de trop pour le jeune garçon, sa respiration accéléra alors qu’il sentait son estomac se serrer, un poid l'étouffant s'était crée sur son thorax, Michael se seras les bras dans une tentative d'étreinte rassurante, mais cela ne suffisait pas, il voulait pleurer, mais les larmes ne venais pas, malgré la brûlure qu’il ressentis au creu de ses rétine dépareiller. Tout tournait autour de lui, les sons lui parvenaient de manière distente, respirer lui devenait de plus en plus laborieux.

Soudain une douce étreinte lui parvint, c'était chaleureux et rassurant, Aria le tenait d’un bras contre elle, lui caressant le dos dans l'espoir de le calmer.

Au bout de laborieuse minute, Michael réussi à reprendre son calme, sa respiration revint à la normal comme sa vision et son ouïe, malgré tout il garder un goût amer au fond de la gorge, il ne savait pas si il s'en voulais ou si un autre sentiment se cacher au fond de son être.

Une fois entièrement calmait, Aria l’aida à se relever, tapotant son épaule, le jeune garçon la regarda un instant.

— Ai-je fait ce qu'il fallait ?...

Demanda il la voix tremblante.

Aria hésita un instant avant de répondre, elle hocha simplement de la tête pour affirmer un oui.

Un fraqua contre la porte les ramènea tous deux au présent. Les peluches maléfiques étaient toujours là, les deux enfants se regardèrent avant de reprendre leur route, dans un hochement de tête entendu.

Tous deux reprennent alors leur chemin dans les couloirs sinueux avant d’atteindre enfin un escalier, le dernier étage était à leur porter, la sortie n'était qu'à quelque pas.

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